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Nouveau film coup de poing de Pablo Trapero, à la mise en scène enfin assouplie. Résultat : un film qui brille surtout par la performance de ses acteurs.
Que manque-t-il, à ce très bon film, pour être immense ? Peut-être un peu de mystère. "Elefante blanco" est stylistiquement carré, politiquement nuancé, mais sans surprise.
Une version périurbaine de l'enfer, que le réalisateur filme entre documentaire et ferveur romanesque. Ce mélange singulier fait - le temps d'un travelling virtuose dans le dédale des baraquements - coexister le suspense et l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
On aurait pu aimer plus que de raison "Elefante Blanco", mais sa conscience de son excellence le cantonne à la réussite, tout en lui interdisant de véritables fulgurances.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
C'est une fresque humaniste, tendue et palpitante, que signe le cinéaste argentin Pablo Trapero, une fois de plus témoin de son époque. (...) Dommage que, sans doute écrasé par l'ampleur du récit, le réalisateur ne parvienne pas à répondre à toutes les questions si judicieusement posées.
(...) Pablo Trapero continue de gratter les plaies de son pays dans "Elefante Blanco". [Il] aime les situations de paroxysme [mais] le film perd son sujet à force de péripéties.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ricardo Darin est magnifique en prêtre vieillissant, (...) Jérémie Rénier illumine en défenseur du genre humain (...) et Martina Gusman l'emporte dans le rôle de l'abnégation athée et de l'objet du désir [mais] le récit peine à satisfaire l'exigence de ses ambitions, et la fresque en puissance qu'il porte ne se développe pas comme on l'espérait.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Le film, (...) s'il manque parfois d'émotion et de synthétisme narratif, prend des risques. Et fait preuve dans certaines scènes (...) d'une formidable maestria.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
On aurait aimé davantage de spontanéité dans le traitement d'un sujet aussi délicat en lieu et place d'un formalisme, certes étonnant, mais par trop artificiel.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
[La] vision documentaire [du film] (...) ne résiste pas à sa boursouflure formelle, et celle-ci, pour se justifier, a parfois besoin d'aller piocher deux ou trois motifs dans le genre (...) qui ne s'accordent pas au réalisme voulu.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Malgré l'intensité des comédiens et certains éclairs ponctuels, "Elefante Blanco" reste trop bourré de tics et d'effets de manche pour vraiment émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Fouillis. La priorité étant donnée au décor (...) et aux mouvements de foule, (...) le tableau est impressionnant, mais sans réelle cohérence dramatique. Le genre de sujet sur lequel on préférerait largement voir un documentaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
(...) En dépit de sérieuses qualités dans l'exécution, d'une interprétation hors pair et d'une totale sincérité dans le propos - si loin de la démagogie -, "Elefante Blanco" pêche hélas par didactisme et manque d'émotion.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
La misère ne sert que de décor à un scénario aussi indigeste qu'invraisemblable, et Trapero, se rêvant en missionnaire des temps présents, ne fait que filmer une réalité évangélisée par Hollywood.
Elle
Excellent Jérémie Renier ... Un film émouvant, violent et sous très haute tension.
Les Fiches du Cinéma
Nouveau film coup de poing de Pablo Trapero, à la mise en scène enfin assouplie. Résultat : un film qui brille surtout par la performance de ses acteurs.
Les Inrockuptibles
Que manque-t-il, à ce très bon film, pour être immense ? Peut-être un peu de mystère. "Elefante blanco" est stylistiquement carré, politiquement nuancé, mais sans surprise.
Télérama
Une version périurbaine de l'enfer, que le réalisateur filme entre documentaire et ferveur romanesque. Ce mélange singulier fait - le temps d'un travelling virtuose dans le dédale des baraquements - coexister le suspense et l'émotion.
CinemaTeaser
Tant de maîtrise et de précision impressionne, mais anesthésie également les meilleurs véhicules d'émotions que sont la spontanéité et le mystère.
Ecran Large
On aurait pu aimer plus que de raison "Elefante Blanco", mais sa conscience de son excellence le cantonne à la réussite, tout en lui interdisant de véritables fulgurances.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
C'est une fresque humaniste, tendue et palpitante, que signe le cinéaste argentin Pablo Trapero, une fois de plus témoin de son époque. (...) Dommage que, sans doute écrasé par l'ampleur du récit, le réalisateur ne parvienne pas à répondre à toutes les questions si judicieusement posées.
Libération
(...) Pablo Trapero continue de gratter les plaies de son pays dans "Elefante Blanco". [Il] aime les situations de paroxysme [mais] le film perd son sujet à force de péripéties.
Positif
Ricardo Darin est magnifique en prêtre vieillissant, (...) Jérémie Rénier illumine en défenseur du genre humain (...) et Martina Gusman l'emporte dans le rôle de l'abnégation athée et de l'objet du désir [mais] le récit peine à satisfaire l'exigence de ses ambitions, et la fresque en puissance qu'il porte ne se développe pas comme on l'espérait.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Le film, (...) s'il manque parfois d'émotion et de synthétisme narratif, prend des risques. Et fait preuve dans certaines scènes (...) d'une formidable maestria.
aVoir-aLire.com
On aurait aimé davantage de spontanéité dans le traitement d'un sujet aussi délicat en lieu et place d'un formalisme, certes étonnant, mais par trop artificiel.
Charlie Hebdo
[La] vision documentaire [du film] (...) ne résiste pas à sa boursouflure formelle, et celle-ci, pour se justifier, a parfois besoin d'aller piocher deux ou trois motifs dans le genre (...) qui ne s'accordent pas au réalisme voulu.
Critikat.com
Malgré l'intensité des comédiens et certains éclairs ponctuels, "Elefante Blanco" reste trop bourré de tics et d'effets de manche pour vraiment émouvoir.
L'Humanité
Fouillis. La priorité étant donnée au décor (...) et aux mouvements de foule, (...) le tableau est impressionnant, mais sans réelle cohérence dramatique. Le genre de sujet sur lequel on préférerait largement voir un documentaire.
Le Monde
(...) Pablo Trapero se prend (...) les pieds dans le plat avec ce récit ambitieux mais un rien pachydermique (...).
Metro
Hélas, Trapero perd le fil à force d'osciller entre brûlot et drame psychologique.
TF1 News
(...) En dépit de sérieuses qualités dans l'exécution, d'une interprétation hors pair et d'une totale sincérité dans le propos - si loin de la démagogie -, "Elefante Blanco" pêche hélas par didactisme et manque d'émotion.
Cahiers du Cinéma
La misère ne sert que de décor à un scénario aussi indigeste qu'invraisemblable, et Trapero, se rêvant en missionnaire des temps présents, ne fait que filmer une réalité évangélisée par Hollywood.