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KE.ED
37 abonnés
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2,0
Publiée le 15 novembre 2013
Une bande annonce frissonnante, un casting 6 étoiles, Scott aux commandes, aidé d'un majestueux McCarthy d'un point de vue scénaristique. Toutes conditions réunies pour que ce film soit en totale adéquation avec nos attentes de cinéphiles. Ben non ! Cartel déçoit. Outre la magnificence des dialogues et une bande son qu'on ne peut, en aucun cas récuser, le jeu de Diaz, Bardem et Fassbender, Cartel est un film vide, aux images remplies d'étoiles. Scott à voulu surprendre mais a mal surpris. Cartel a souhaité être un professeur de morale. On en tire pourtant aucune leçon. Il reste le père de ses propos et ne réussi pas à nous séduire.
Que voulez nous faire comprendre Ridley Scott ? Qu le monde le la drogue n'est pas un monde fréquentable !! ça c'est gagné !! Les interprètes sont au top mais l'histoire très fatigante, dommage de réunir autant de bon acteurs pour les perdent dans une histoire sans vraiment d’intérêt.
Un casting assez impressionnant et quelques scènes marquantes mais c'est tout. Pour le reste , l'histoire est assez confuse et donc jamais passionnante.
Difficile à comprendre , beaucoup trop de questions sans réponses , Ridley Scott à été plutôt bien inspiré avec son casting quatre étoiles mais c'est vraiment tout .
Mais qu’est-ce que nous fait le grand Ridley Scott (celui de La chute du faucon noir, de Gladiator, de Blade Runner et de tant d’autres excellents films) ? Serait-ce le film de trop ? Espérons qu’il saura encore nous captiver et surtout de plus nous ennuyer comme dans ce salmigondis maniéré et ampoulé, à l’histoire niaise et banale (émanant pourtant d’un grand écrivain), aux dialogues philosophiques ânonnés par des dealers de haut vol. Certes le savoir-faire et l’esthétique sont là mais n’ont guère de sens dans cette embrouille alambiquée. Certes le casting est impressionnant mais les stars, livrées à elles-mêmes, ne sont guère convaincantes et frisent même souvent le ridicule. Bref un film raté qui trompe le spectateur par le prestige des participants !
Si vous désirez réellement apprécier le film, il faut le voir deux fois pour bien tout comprendre. Un très bon casting mais une réalisation d'un ennui... ! Ridley Scott nous emmène dans un décor au casting 3 étoiles mais aux dialogues et au jeu terriblement ennuyeux ! C'est blindé de scènes inutiles ! Un homme qui arrive chez lui en moto, nourri son chien et se sert une bière, un gars qui pisse au bord d'une falaise, et j'en passe ! Pourtant, le scénario est bon et les quelques assassinats sont intelligents, idem pour l'intrigue. Mais tout est perdu dans de nombreuses scènes mollassonnes qui nuisent à l'ensemble et nous font perdre le fil et le pourquoi du comment. Pas terrible, spoiler: la mort originale de Brad Pitt ! et le physique de Cameron Diaz valent le coup d'oeil.
Le casting, le scénario, le réalisateur... Tout était là pour réaliser un film de qualité. Mais bizaremment, Ridley S. a voulu changer son mode de fonctionnement ; tout en dévoilant une BA comme il le faisait auparavant et nous vendant donc autre chose. Et pour attirer un peu plus la curiosité, met le casting en tête d'affiche. MAis malheureusement, son changement ; n'a pas tellement à la majorité du public. Sans parler d'action non stop et j'en passe. Le film est certes bien plus poussée niveau reflexion et psychologiquement. Mais le temps s'avère longuet et la mayo ne prend absolument pas. Ridley S. a voulu tenter autre chose, un pari donc risqué. Mais pour cela, à pris quand même les devant avec un casting "haut de gamme" et un scénario qui suivant comme il est mis en scène ; peu rendre quelques choses de qualité (même si le sujet peut se montrer déjà vu pour certains). Bref, sa prise de risque de risque, ou les critiques sont quand même unanime... Montre qu'il aurait du rester à ce qu'il sait faire avec brio et ne pas tenter une pente glissante ou la psychologie l'emporte plus que le film lui même (nombreux sont les gens qui regardaient leur montre et qui sont sortis déçu de la salle). Fait de sa manière (sans pour autant accentuer sur la violence comme certains l'évoque), le film aurait pu être une "bombe"! Mais là, le pari (et rien qu'au vu du sujet était trop risqué, puisque les attentes et la BA ne le vendait pas comme cela). Vendu autrement, la mayo aurait peut être pris. A contrario, ce n'est absolument pas le cas. Et pour trouver des qualités (car il en possède, certes un minimum mais quand même^^), il faut chercher. Jouant plus sur les dialogues, mise en situation... LE potentiel était là, mais une promo contraire au film final, à joué en sa défaveur. Donc oui, il a pris la tête du BO (la curiosité, le casting...), mais la deuxième semaine ne sera sans doute pas la même et le million et demi généralement aisément passé pour ce genre de film avec ce réal et ce type de casting ; n'y sera sans doute pas. Dommage. Espérons que la prochaine fois, il ne fasse pas la même erreur.
Michael Fassbender, Penélope Cruz, Cameron Diaz, Javier Bardem et Brad Pitt dans un film de Ridley Scott scénarisé par Cormac McCarthy, il y a du lourd à l'affiche de Cartel ! Avec une telle promesse, comment ne pas avoir envie de se ruer en salles pour découvrir ce film
Adapté plusieurs fois au cinéma avec brio, le romancier Cormac McCarthy (La Route, No Country For Old Men) s'essaye pour la première fois à l'écriture de scénario avec Cartel. Une histoire qui reste très proche de ses œuvres les plus sombres et particulièrement de l'ambiance de No Country For Old Men. Peut être parce qu'il se déroule lui aussi aux abords de la frontière mexicaine. Les belles villas et voitures et les paysages désertiques rappellent aussi le jeu vidéo GTA V même si cela n'est que pur coïncidence. On pense aussi au Savages d'Oliver Stone, pour sa chef de cartel manipulatrice.
C'est un scénario très bavard que signe Cormac McCarthy, il nécessite vraiment d'être écouté attentivement plus que d'être regardé pour ne pas être largué dès le début. Dans toute sa première partie le film accumule les scènes d'exposition trop flagrantes comme si le romancier était beaucoup moins à l'aise dans l'exercice du scénario que dans le roman. Trop de personnages, trop de lieux et des scènes qui s’enchaînent curieusement, On fini de toute façon par ne plus rien comprendre. Pourquoi des personnes qui semblent si surs d'elles au début se mettent subitement à flipper face à des menaces bien vagues ? On fini vite par ne plus trop savoir qui tirent les ficelles !
Fort heureusement si le scénario n'est pas au niveau de nos attentes, Ridley Scott a soigné l'esthétique de son film. Les maigres scènes d'action ou de tension donnent un peu de piment à cette histoire ennuyeuse. En dehors de quelques scènes chocs d'assassinat assez sauvage presque toute les autres scènes d'action sont en partie déjà dans la bande annonce. Difficile de toute façon de faire autrement car ce ne sont pas les interminables scènes de dialogues inutiles qui auraient pu attirer les foules au cinéma.
Pour avoir réussi à attirer une aussi belle brochette d'acteurs, on se demande si ils n'ont pas tous signer les yeux fermées sur la promesse de travailler avec un réalisateur qui n'a plus rien à prouver et un auteur talentueux. Ridley Scott retrouve ici Michael Fassbender avec qu'il avait précédemment tourné Prometheus tandis que Javier Bardem incarne à nouveau un personnage imaginé par Cormac McCarthy avec encore une coupe de cheveux assez a qui le film profite le plus c'est certainement Cameron Diaz dans un rôle totalement à l'opposé de ce qu'elle avait fait auparavant. Une sorte de redoutable couguar croqueuse d'homme qui cache bien son jeu. A coté la pauvre Penélope Cruz parait bien à Brad Pitt, on ne comprend pas vraiment quel rôle il tient dans l'histoire.
C'est la déception qui l'emporte à la vision de Cartel au scénario trop creux et trop bavard auquel on ne comprend pas tout. Un film qui manque d'enjeu et qui sous exploite des personnages qui paraissaient pourtant prometteur. Il en restera certainement la prestation de Cameron Diaz qui casse ici son image de bimbo écervelée.
Quel surprenant personnage que Cormac McCarthy. En 2013, le plus grand (et discret) écrivain américain vivant revenait de façon saugrenue sur le devant de la scène avec un scénario original intitulé "The Counselor" et traduit en français par "Cartel". À travers la descente aux enfers d'un avocat fauché, acceptant de participer à un trafic de cocaïne, le scénariste entendait donner avec la gravité qui le caractérise une définition du monde du cartel. Son entourage avait tout pour suivre avec Ridley Scott derrière la caméra. Le cinéaste est suppléé par une distribution de haut vol, comprenant Fassbender, Cameron Diaz ou Brad Pitt. Mais malgré toutes ces précautions et tant de promesses en perspective, le résultat est globalement un échec. On retrouve pourtant il est vrai quelques-unes des obsessions du romancier, déjà entrevues notamment dans "No Country for Old Men". Les déserts arides, l'homme qui sort du cadre "strict" de la vie et l'étincelle qui s'embrase lorsque la machine s'emballe, entraînant tout le monde dans les abysses. L'écriture tutoie parfois les sommets, mais à d'autres moments perd en intensité. "Cartel" présente un ensemble confus et inégal, dont les nombreuses longueurs achèvent son inaboutissement. Hésitant constamment entre sobriété et folie, certains de ses motifs frôlent même parfois le grand-guignolesque à l'image de la prestation de Javier Bardem. L'exemple-type du film où la mayonnaise ne prend pas.
Un film qui ne tient que par son casting impressionnant. 0Un film ni bon ni mauvais mais sans grand relief et décevant pour du Ridley Scott. Un peu d'ennui à la clé.
Ridley Scott nous plonge dans l'univers d'un Cartel de la drogue avec un scenario qui dès le début, l'intrigue a bien du mal à ce mettre en place, le rythme est absent et au final le twist est bâclé voir grotesque. Dommage, car la distribution a du potentielle.
Au milieu des nombreux films sélectionnés à Cannes qui sortent en ce moment sur les écrans, le nouveau film du grand Ridley Scott ne semblait pas avoir à rougir ou à faire le timide. Car Cartel ne se contente pas d'être réalisé par l'inventeur d'Alien ou le réalisateur du mythique Blade Runner, il jouit également d'un casting XXL international : Michael Fassbender, Javier Bardem, Peneloppe Cruz, Cameron Diaz, Brad Pitt pour ne citer qu'eux. Normal, à partir de là, que les attentes autour du film soient importantes. Or, si vous voulez arriver à suivre l'histoire, il va falloir vous accrocher. Lorsque le film commence, vous avez très rapidement l'impression d'être arrivé en retard et d'avoir manqué les vingt premières minutes du film, cruciales à sa compréhension. Sauf que non, vous n'avez rien manqué. Et vous en êtes sûrs, puisque vous vous êtes tapé les pubs pour Magnum, Carte Noir et Conforama avant d'avoir le droit à ce pour quoi vous avez payé cher votre ticket. Cette désagréable impression de ne pas savoir ce à quoi on assiste et d'être complètement paumé dans le récit persistera jusqu'à la fin, je suis désolé de vous l'apprendre. C'est le montage, de façon générale, qui pêche. L'histoire n'a globalement pas grand-chose d'intéressant, et fait bien pâle figure face au classique du genre, Trafic. Ridley Scott lui-même avait réalisé un chef d’œuvre il y a une dizaine d'années, American Gangster, qui traitait également du trafic international, de drogue en l’occurrence. Dans Cartel, les acteurs semblent perdus, déboussolés, à l'image du scénario brouillon. On ne gardera pas grand chose de ce film, véritable échec, dont le souvenir s'évaporera en un instant.
Avec un tel casting et un sujet avoisinant les complots et la poudre, il y avait de quoi salivait. Même si le film commence bien avec des dialogues aux cordeaux est une intrigue alléchante, le tout prend un chemin un peu fébrile passé la demi-heure pour s'aventurer vers un minimalisme vraiment chiant aux égards du casting, du réal et du budget. Alors on sera vraiment pris de court par quelques rebondissement, le message du film sur la prévention des chois que l'on fait dans la vie est bien, il y a une certaine noirceur au film qui est pas mal mais des trucs sont chiants. A voir quand même.
Film insipide et poussif manquant cruellement de panache alors que le potentiel était bien là. Une histoire certes pas original qui aurait pu être captivante et mordante. Au final on ne mord finalement que sa main déçu de voir un tel résultat sans réelle âme ni quelconque sentiment. La circonstance atténuante sera que ce film ait été tourné durant la mort de ce cher Tony. Et justement, pourquoi Ridley n'est il pas allé au bout, par le verbe, l'action ou tout autre scène qui aurait pu apporter un réel sens à tout ça ? En fait ce film est un ensemble de "aurait dû", "aurait pu" et finalement le Cartel gagne à la fin et tout le monde s'en fout.