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Votre avis sur Ernest et Célestine ?
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un enchantement, tout simplement. Les dessins, les idées, l'histoire, la musique... C'est vraiment une grande réussite
Ce film est un véritable enchantement. Entre tradition et modernité. Le rythme est parfais: ni trop soutenu comme beaucoup de dessins animés actuels, ni trop lent. Il n'y a pas de temps morts. L'histoire est sympathique, les touches d'humour subtiles et avec une vraie poésie. Je me suis autant régalé que mes enfants et suis retombé en enfance le temps d'un instant.
A voir de toute urgence.
et n'en déplaise à Artemis06 qui critiques les avis mettant en avant le coté français du film, s'il est effectivement une coprod France/Belgique/luxembourg, la part française est quand même très prédominante. le film n'aurait jamais vu le jour sans Didier Brunner, le réalisateur Benjamin Renner est français (patar et aubier était là pour l'epauler car 1er long métrage pour lui), le film a été réalisé et animé à Paris (ce qui est rare), les studios belges ont bossé sur les décors et le Luxembourg sur les effets d'aquarelle. et la critique peut être retournée aux médias belges et luxembourgeois qui s'approprient parfois totalement le film ou point de ne meme pas nommer le réalisateur. il s'agit d'une coproduction certes mais à grosse dominante française. donc ne boudons pas notre plaisir!
A voir de toute urgence.
et n'en déplaise à Artemis06 qui critiques les avis mettant en avant le coté français du film, s'il est effectivement une coprod France/Belgique/luxembourg, la part française est quand même très prédominante. le film n'aurait jamais vu le jour sans Didier Brunner, le réalisateur Benjamin Renner est français (patar et aubier était là pour l'epauler car 1er long métrage pour lui), le film a été réalisé et animé à Paris (ce qui est rare), les studios belges ont bossé sur les décors et le Luxembourg sur les effets d'aquarelle. et la critique peut être retournée aux médias belges et luxembourgeois qui s'approprient parfois totalement le film ou point de ne meme pas nommer le réalisateur. il s'agit d'une coproduction certes mais à grosse dominante française. donc ne boudons pas notre plaisir!
Très belle histoire avec quelques passages qui font rigoler les enfants. Le dessin animé n'est pas trop long, sans gros temps mort (sauf les passages "psychédéliques" rêvés) et il y a de bonnes idées (le rapport entre la petite souris et la faculté dentaire, par exemple, que j'ai trouvé très sympa). Le gros point de controverse c'est le dessin en lui même qui plaira ou pas. Je trouve que ce dessin ne dessert pas forcément l'histoire mais n'en fait pas une grosse réussite non plus. Mais avec un enfant on passe de toute façon un bon moment.
Je suis aller voir ce dessin animé ce matin avec la fille de 4 ans, une merveille ! L univers est poétique, la musique de Fersen accompagne parfaitement ce conte ! Petite et grande ont été emporté dans cet univers et dans l histoire touchante de cette petite souris et de cet ours bougon !! À voir sans hésitations avec ou sans enfant !
Ce film est une merveille ! On rit, on pleure, on ne peut rester insensible aux aventures d'Ernest et Célestine. J'ai rarement ressenti autant d'émotions avec un film d'animation depuis Wall-E et Là-Haut de Pixar. Allez le voir, emmenez-y vos enfants si vous en avez, il est accessible à tout le monde.
une histoire pleine de poésie, d'originalité dans le dessin et aussi dans le dynamisme dans l'animation(les personnages).la relation atypique entre la petite souris et l'ours est pleine de vitalités et d’intelligence.C'est une histoire pleine d'humanité et musicale.
Après quatre années de réalisation, Benjamin Renner, Vincent Patar et Stéphane Aubier ont réussi à créer un chef-d’œuvre.
Les doublages sont fantastique, et l’association de l'image à l'audio est sublime, rien à redire, son prix du meilleur film jury jeune du festival de Sarlat est amplement mérité.
Les doublages sont fantastique, et l’association de l'image à l'audio est sublime, rien à redire, son prix du meilleur film jury jeune du festival de Sarlat est amplement mérité.
J'e l'ai vue en avant première !!
Je ne connaissais pas les albums,mais juste en voyant la bande annonce, cela m'a donnée envie et je n'ai pas regretter, j'aime beaucou,super migon
Je ne connaissais pas les albums,mais juste en voyant la bande annonce, cela m'a donnée envie et je n'ai pas regretter, j'aime beaucou,super migon
Requiemovies
Avec Panique au village, fruit de leur précédente collaboration, Stéphane Aubier et Vincent Patar avaient réussit à imposer, en version long métrage, leur style unique, film d’animation à l’humour débridé, hystérique, hors des univers numériques et à la génétique made in Belgique.
Benjamin Renner s’adjoint donc à ce duo pour livrer une adaptation des livres pour enfants, Ernest et Célestine.
Choix qui pourrait surprendre tant l’univers des deux films semble distant, au premier abord, voire totalement opposé. Il en résulte pourtant une douce magie, qui opère comme par délicatesse et qui donne à Ernest et Célestine ce charme disparu des films d’animation, simples, enchanteur et joueur de la forme même du support.
Graphiquement séduisant par son travail de pastel, le film n’est pas uniquement destiné aux enfants puisque les situations toutes plus malicieuses les unes que les autres invitent avec une facilité confondante les adultes dans ce monde polisson.
Le propos, véhiculé entre le monde des ours et des souris, n’est ici que vecteur d’un message de tolérance pour le moins original, sans ne jamais tomber dans la lourdeur que le récit pouvait imposer. La présence de Stéphane Aubier et Vincent Patar impose cette patte si drôle et touchante que les deux réalisateurs avaient déjà versés dans Panique au village. Plus ancrée dans le monde de l’enfance et moins cartoonesque, Ernest et Célestine n’en n’est pas moins délicieux, mais offre sur un autre support et dans une forme différente, l’émergence d’un conte où chacun, petits et grands, y trouvera son « conte », par enchantement, tendresse et jubilation de tours malicieux. Enfantin sur le principe, grand dans la réussite.
http://requiemovies.over-blog.com/
Benjamin Renner s’adjoint donc à ce duo pour livrer une adaptation des livres pour enfants, Ernest et Célestine.
Choix qui pourrait surprendre tant l’univers des deux films semble distant, au premier abord, voire totalement opposé. Il en résulte pourtant une douce magie, qui opère comme par délicatesse et qui donne à Ernest et Célestine ce charme disparu des films d’animation, simples, enchanteur et joueur de la forme même du support.
Graphiquement séduisant par son travail de pastel, le film n’est pas uniquement destiné aux enfants puisque les situations toutes plus malicieuses les unes que les autres invitent avec une facilité confondante les adultes dans ce monde polisson.
Le propos, véhiculé entre le monde des ours et des souris, n’est ici que vecteur d’un message de tolérance pour le moins original, sans ne jamais tomber dans la lourdeur que le récit pouvait imposer. La présence de Stéphane Aubier et Vincent Patar impose cette patte si drôle et touchante que les deux réalisateurs avaient déjà versés dans Panique au village. Plus ancrée dans le monde de l’enfance et moins cartoonesque, Ernest et Célestine n’en n’est pas moins délicieux, mais offre sur un autre support et dans une forme différente, l’émergence d’un conte où chacun, petits et grands, y trouvera son « conte », par enchantement, tendresse et jubilation de tours malicieux. Enfantin sur le principe, grand dans la réussite.
http://requiemovies.over-blog.com/
Critique complète >> http://www.cinecoulisses.fr/2012/12/critique-ernest-et-celestine/
Plus qu'une transcription, ERNEST ET CELESTINE est une adaptation de l'œuvre de Gabrielle Vincent. Touchant et attendrissant, le film rend hommage au style si particulier de l'auteure. Signée Daniel Pennac, l'histoire est agréable à suivre et malgré quelques lenteurs on se laisse (em)porter en douceur et sans difficulté par les images et les péripéties, ponctuées de quelques séquences plus oniriques. Au cœur du film, la relation entre Ernest et Célestine est construite avec justesse. Pauline Brunner et Lambert Wilson qui prêtent leurs voix aux protagonistes n'y sont sans doute pas étranger et nous offrent un travail irréprochable, s'appropriant réellement leurs personnages.
Indéniablement un des films d'animation de cette fin d'année et - à mon sens - le plus mignon, ERNEST ET CELESTINE est à découvrir pour les fêtes, en famille (à partir de 4 ans) ou même entre amis. Petit ou grand enfant, que vous ayez (ou non) grandi avec, il vous sera certainement très difficile de rester insensible au charme de cette petite souris et de cet ours marginal. Avec Les Mondes de Ralph et Les Cinq Légendes, il complète mon trio des films de ce Noël 2012 à ne pas manquer.
Plus qu'une transcription, ERNEST ET CELESTINE est une adaptation de l'œuvre de Gabrielle Vincent. Touchant et attendrissant, le film rend hommage au style si particulier de l'auteure. Signée Daniel Pennac, l'histoire est agréable à suivre et malgré quelques lenteurs on se laisse (em)porter en douceur et sans difficulté par les images et les péripéties, ponctuées de quelques séquences plus oniriques. Au cœur du film, la relation entre Ernest et Célestine est construite avec justesse. Pauline Brunner et Lambert Wilson qui prêtent leurs voix aux protagonistes n'y sont sans doute pas étranger et nous offrent un travail irréprochable, s'appropriant réellement leurs personnages.
Indéniablement un des films d'animation de cette fin d'année et - à mon sens - le plus mignon, ERNEST ET CELESTINE est à découvrir pour les fêtes, en famille (à partir de 4 ans) ou même entre amis. Petit ou grand enfant, que vous ayez (ou non) grandi avec, il vous sera certainement très difficile de rester insensible au charme de cette petite souris et de cet ours marginal. Avec Les Mondes de Ralph et Les Cinq Légendes, il complète mon trio des films de ce Noël 2012 à ne pas manquer.
Après "Panique au village", c'est une nouvelle réussite de leurs auteurs. Graphisme élégant, discours humaniste, intelligence de la narration... Tout concourt au bonheur du spectateur, petit ou grand.
Film Français présenté pour la Quinzaine Des Réalisateurs, Ernest et Célestine a été produit par Benjamin Renner, Stéphane Aubier et Vincent Patar et l’aide de Daniel Pennac dure 80 minutes avec comme acteurs principaux une souris du nom de Célestine ( Pauline Brunner pour la voix ) et d’un ours du nom de Ernest ( Lambert Wilson pour la voix ).
spoiler:
Quand le film commence, ils ne se connaissent pas. Le gros ours vit en haut d'une colline, ses parents voulaient qu'il soit juge, mais il préfère être musicien ambulant. La petite souris habite sous terre où on la forme pour être dentiste en ramenant des dents de lait d'enfant ours. Mais Célestine est une artiste. Une amitié interdite va bientôt éclore entre eux et causer pas mal d’ennuies dans leurs deux mondes respectifs ( le dessus : la ville, et le dessous : les égouts ).
Destiné aux enfants en premier temps, ce film d'animation est vraiment bien, on ne s’ennuie jamais et l’histoire est très prenante et on ressent beaucoup d’émotion. Le film cherche à montrer les abus de pouvoir et les mauvais préjugés que peuvent avoir certaines classes sociales sur d’autres et les différences de chacun. Après avoir vu quelques films qui m’ont déplu celui-ci m’a boosté un peu plus quant à la suite du programme. Je conseille fortement ce petit film d’animation à tout le monde à partir du 12 décembre 2012 qui émerveillera autant les petits que les grands.
Destiné aux enfants en premier temps, ce film d'animation est vraiment bien, on ne s’ennuie jamais et l’histoire est très prenante et on ressent beaucoup d’émotion. Le film cherche à montrer les abus de pouvoir et les mauvais préjugés que peuvent avoir certaines classes sociales sur d’autres et les différences de chacun. Après avoir vu quelques films qui m’ont déplu celui-ci m’a boosté un peu plus quant à la suite du programme. Je conseille fortement ce petit film d’animation à tout le monde à partir du 12 décembre 2012 qui émerveillera autant les petits que les grands.
C'est tout simplement beau. Enchanteur. Les messages aussi beaux et subtils que les traits et couleurs du dessin.
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