Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
Parce qu’une vie est montrée par les effets qu’elle entraîne sur les autres, Pursuit of Loneliness est non une leçon de choses mais d’humilité, et le cinéma de Laurence Thrush, résolument anti-individualiste.
Critikat.com
par Damien Bonelli
Laurence Thrush affine aujourd’hui une formule paradoxale, taillant à même un minerai brut des fictions naturalistes aussi ténues que poignantes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce travail fragmentaire, tourné en noir et blanc, privilégiant le montage et le gros plan, analyse sans sensiblerie, avec lucidité, les effets de la solitude urbaine et de la vieillesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Le film est une texture à lui tout seul, un magma d’émotions et de sentiments. Si le film émeut à ce point, c’est par sa capacité infinie à toucher du doigt ce sentiment si particulier que nous éprouvons tous chaque jour : le fait de n’être qu’une minuscule chose parmi tant d’autres.
Libération
par Guillaume Tion
Thrush a tout du petit maître. Il alterne les scènes documentaires montées cut et les passages fictifs plus lents. C’est une base sur laquelle il pose un second degré de mise en scène : (...) il truffe ses plans contemplatifs de surprises qui les rendent presque haletants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Laurence Trush confirme son aisance à mêler intelligemment réalité et fiction.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec des acteurs non professionnels, il a ainsi accouché de ce long métrage noir et blanc dont on ressort étourdi, et qui dépeint avec minutie la façon dont une ville règle le "problème" de ces invisibles qui se font si discrets de leur vivant mais encombrants une fois morts.
Le Monde
par Noémie Luciani
Laurence Trush (...) poursuit une oeuvre de cinéma qui reste assez ambiguë dans sa manière de travailler un naturalisme quasi documentaire dans le jeu, et une sophistication extrême des images.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Ce film en noir et blanc sur la solitude des personnes âgées en milieu urbain californien est une réussite. Exempts de sensiblerie, forme et fond produisent une réelle émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Fabien Gaffez
Bien que la distance choisie par le réalisateur nous laisse parfois un peu hors du film, sa grande qualité est de ne jamais prendre nos émotions en otage.
Première
par Isabelle Danel
Filmé dans un superbe noir et blanc, ce beau sujet est entravé par des flash-back montés en dépit de la chronologie afin de prouver que tout cela n’est qu’un cercle. Et que d’autres sont morts ou mourront dans l’indifférence… Vicieux et cruel. Plus de simplicité n’aurait pas nui.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Un regard sensible aux uns et aux autres, aux hommes et aux femmes minuscules dans les grandes mégapoles. Quelques bémols, toutefois, sur quelques effets de style chichiteux. Et si elle réserve de jolies interactions, l'imbrication docu-fiction manque de fluidité.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Mathilde Blottière
Jusqu'à la fin, cet ovni en noir et blanc, tourné entre 2009 et 2012 à Los Angeles, instaure le doute : documentaire ou fiction ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Parce qu’une vie est montrée par les effets qu’elle entraîne sur les autres, Pursuit of Loneliness est non une leçon de choses mais d’humilité, et le cinéma de Laurence Thrush, résolument anti-individualiste.
Critikat.com
Laurence Thrush affine aujourd’hui une formule paradoxale, taillant à même un minerai brut des fictions naturalistes aussi ténues que poignantes.
L'Humanité
Ce travail fragmentaire, tourné en noir et blanc, privilégiant le montage et le gros plan, analyse sans sensiblerie, avec lucidité, les effets de la solitude urbaine et de la vieillesse.
La Septième Obsession
Le film est une texture à lui tout seul, un magma d’émotions et de sentiments. Si le film émeut à ce point, c’est par sa capacité infinie à toucher du doigt ce sentiment si particulier que nous éprouvons tous chaque jour : le fait de n’être qu’une minuscule chose parmi tant d’autres.
Libération
Thrush a tout du petit maître. Il alterne les scènes documentaires montées cut et les passages fictifs plus lents. C’est une base sur laquelle il pose un second degré de mise en scène : (...) il truffe ses plans contemplatifs de surprises qui les rendent presque haletants.
Studio Ciné Live
Laurence Trush confirme son aisance à mêler intelligemment réalité et fiction.
Le Journal du Dimanche
Avec des acteurs non professionnels, il a ainsi accouché de ce long métrage noir et blanc dont on ressort étourdi, et qui dépeint avec minutie la façon dont une ville règle le "problème" de ces invisibles qui se font si discrets de leur vivant mais encombrants une fois morts.
Le Monde
Laurence Trush (...) poursuit une oeuvre de cinéma qui reste assez ambiguë dans sa manière de travailler un naturalisme quasi documentaire dans le jeu, et une sophistication extrême des images.
Les Fiches du Cinéma
Ce film en noir et blanc sur la solitude des personnes âgées en milieu urbain californien est une réussite. Exempts de sensiblerie, forme et fond produisent une réelle émotion.
Positif
Bien que la distance choisie par le réalisateur nous laisse parfois un peu hors du film, sa grande qualité est de ne jamais prendre nos émotions en otage.
Première
Filmé dans un superbe noir et blanc, ce beau sujet est entravé par des flash-back montés en dépit de la chronologie afin de prouver que tout cela n’est qu’un cercle. Et que d’autres sont morts ou mourront dans l’indifférence… Vicieux et cruel. Plus de simplicité n’aurait pas nui.
TF1 News
Un regard sensible aux uns et aux autres, aux hommes et aux femmes minuscules dans les grandes mégapoles. Quelques bémols, toutefois, sur quelques effets de style chichiteux. Et si elle réserve de jolies interactions, l'imbrication docu-fiction manque de fluidité.
Télérama
Jusqu'à la fin, cet ovni en noir et blanc, tourné entre 2009 et 2012 à Los Angeles, instaure le doute : documentaire ou fiction ?