Derniers Avis : Pixels - Page 8

L'idée de base est excellente et les effets spéciaux sont énormes, malheureusement le niais Adam Sandler est au générique.

Je ne peux pas aimer un film qui ne m'aime pas. Colombus [spoiler](qui a réalisé les deux plus mauvais Harry Potter, qui sont aussi les deux seuls que je n'aime pas, mais aussi ces deux navets de Percy Jackson)[spoiler] a réussi à réaliser un film sur les jeux vidéos qui arrive à être nauséabond pour le média ET pour les joueurs eux-même. Tout les personnages principaux (des "gamer" évidemment) sont tous des clichés ambulants doublés d'idiots profonds. Le film n'a pas de mise en scène ou bien, quand il en a, est vulgaire et tape à l'oeil. Arrêtez de donner du travail à Colombus et Sandler par pitié ! Ils ont réussi à accoucher d'un film qui de base est déjà un navet sans fond ni forme et bourré de clichés, mais surtout un navet insultant pour son public et qui donne une image régressive d'un média qu'il ne comprend pas.

Un gentil clin d'oeil aux gamers du passé. Survolté et pas trop mal joué, cette production mérite l'attention des nostalgiques du genre. Les autres en revanche peuvent passer leur chemin.

Michel Jonasz, tout joyeux, nous l'annonçait à l'époque : les années 80 commencent. L'époque ? Celle du début des jeux vidéo auquel ce film rend hommage. Son scénario est assez amusant et plutôt gonflé. Hélas, le traitement est lourdingue même si on savait à quoi s'attendre avec Adam Sandler. Certes, l'ambiance est ici sympa et détendue, mais l'on reste sur notre faim car on aurait pu avoir quelque chose de vraiment délirant. "Pixels" a quand même globalement le mérite de nous remémorer l'âge d'or de ces jeux mythiques, loin des horreurs que l'on voit aujourd'hui. Et pour les vieux cons comme moi, c'est bien.

Les geeks ont toujours la côte à Hollywood et "Pixels" (adaptation d’un court-métrage du 2 minutes 35) devait être un cadeau offert à la première génération nerd qui a connu les premiers jeux d’arcade en salle tels que Space Invaders, Pac-Man ou Donkey Kong. Malheureusement, le film s’est ramassé lors de sa sortie et s’est fait déglingué par les critiques. Et j’avoue humblement ne pas comprendre ce torrent de haine tant le film m’a paru, non seulement, très sympa mais, surtout, étonnement proche des grands divertissements d’antan, tels que "SOS Fantômes" spoiler: (filiation confirmé par le caméo de Dan Akroyd)
. On retrouve, avec "Pixels", l’esprit délicieusement décalé du film d’Ivan Reitman avec ses méchants "extraordinaires" (ici des aliens prenant la forme de personnages de jeux vidéos pixélisés), son équipe de héros totalement décalés (ici des geeks spécialisés dans les jeux d’arcade), leur statut de sauveurs d’abord critiqués puis acclamés ou encore la présence d’un compagnon issue du camp adverse (le monstre orange Q*Bert)… et ça fait du bien ! Car "Pixels" ne se contente pas de reprendre les ficelles de son illustre aîné et fourmille d’excellentes idées, tant scénaristiques que visuelles. Difficile de ne pas rire devant les messages alien, délivrés par l’intermédiaire d’images TV des années 80, la confrontation entre Pac-Man et son créateur, le (double) cadeau final offert à Eddie Plant ou encore les malheurs du Président américain qui s’éloigne considérablement des sentiers battus. Ce sont d’ailleurs ces trouvailles formidablement décalées qui permettent de nourrir le film et de transcender le scénario, dont la structure est, par ailleurs, assez basique spoiler: (on se doute bien que la bataille va se tenir en 5 manches, ce qui laisse assez peu de suspens quant à l’issue des 3e et 4e confrontations)
et dont les motivations des personnages sont plutôt déjà vues spoiler: (les héros finiront, chacun avec une ou plusieurs filles)
. "Pixels" peut, également, compter sur des personnages qui jouent à fond la carte du décalage, que ce soit le Président US humilié (Kevin James), l’imbuvable légende du jeux d’arcade (Peter Dinklage), la femme lieutenant-colonel coincée (Michelle Monaghan) ou encore le parano adepte de la théorie du complot (excellent Josh Gad). Paradoxalement, le héros du film, campé par Adam Sandler, est, sans doute le personnage le moins intéressant et, incontestablement, le moins écrit. Les seconds rôles ne sont pas en reste et réservent quelques bonnes surprises (Brian Cox en militaire grognon, Sean Bean en caporal gueulard, Fiona Shaw en Premier Ministre anglaise…). Enfin, les effets spéciaux sont formidables (les personnages pixelisés sont superbes) et confèrent à "Pixels" une crédibilité qui permet une véritable immersion du spectateur. On peut, peut-être, regretter que le ton général du film n’ait pas été un peu plus mordant (on aurait aimé voir ce qu’un Simon Pegg et un Edgar Wright auraient fait avec un tel matériau) ou encore l’évolution un peu trop convenue de l’intrigue spoiler: (comment imaginer un boss final autre que Donkey Kong ?)
. Ce serai se montrer bien dur avec ce "Pixels" dont le sort funeste au box-office restera, à mes yeux, comme une des grandes injustices de l’année.

Libre adaptation du court-métrage éponyme du français Patrick Jean, ce "Pixels" a l'ambition de concilier l'humour régressif d'Adam Sandler & Kevin James et l'univers enfantin et merveilleux dans lequel baigne habituellement Chris Columbus, notamment connu pour avoir réalisé les 2ers Harry Potter.
Le pari pouvait paraître osé sur le papier. Finalement, le mélange n'est pas trop difficile à mener : on satisfait chacun en plaçant des blagues graveleuses d'un côté et un bambin à la sacrée gouache de l'autre.

Tout le problème réside dans le fait de savoir si cette conciliation fonctionne ou si elle fait perdre au film toute identité marquée. Ce sera en fonction du vécu de chaque spectateur. Personnellement, je suis assis entre 2 chaises : j'ai l'impression que ça fonctionne mais je n'en suis pas du tout convaincu moi-même. Paradoxal.

Cela dit, si on revient à des préoccupations plus terre à terre, la tendance se dégage nettement : autant être un rétrogamer, un nostalgique ou un adepte des films des Happy Madison Productions. En dehors de ce type de spectateurs, je ne pense pas que ce film vous fera grand effet.
En effet, il joue clairement sur la fibre nostalgeek d'une partie des spectateurs et qui avait fait le succès phénoménal du court-métrage de Patrick Jean. Alors autant réviser ses classiques avant de se lancer dans "Pixels" !

Quant à l'histoire en elle-même, elle n'est pas inintéressante et adapte à un format de long-métrage le "Pixels" original sans trahir son esprit. Je tire donc mon chapeau à l'équipe pour ce point.
En revanche, ils n'ont pas su vraiment décoller et proposer quelque chose qui me fasse plus réagir qu'un "mouais". La faute à certains personnages secondaires assez transparents peut-être ? Ou le fait que les blagues ne soient pas à se rouler par terre ? Seules 2 choses m'ont arraché un sourire : Kevin James en président à la côte de popularité la plus basse & Sean Bean en bidasse pas très fan des nerds. C'est assez maigre pour une oeuvre qui se présente comme une comédie d'action.

Alors non, "Pixels" n'est pas vraiment mauvais en soi mais il ne restera pas dans les annales du genre.

Assez basique, ce film joue beaucoup sur le coté loufoque, et sur un brin de nostalgie des 80's. Malgré toutes ces situations absurdes, on se laisse facilement porter par ces gentils héros adolescent attardés!

Une idée originale ! Si le scénario, sur fond d’absurde-action, est grotesque, la réalisation est quant à elle un succès.
Un nanar qui n’en est pas un.
Et puis, un film qui réunit Tyrion Lannister et Serena Williams ne peut être que réussi.

Comédie à l'humour lourd mais assumée, l'idée est marrante (attaque par des anciens jeux vidéo). Bien entendu, l'histoire n'est qu'un prétexte, le jeu des acteurs surjoué. On rigole parfois et on oublie aussitôt.

Un film qui fera surtout plaisir à la fois au geek et aux nostalgiques des années 80, car c'est surtout à ce public en particulier qu'est destiné ce qui est traité ici, les créateurs s'en sortent d'ailleurs très bien pour offrir un visuel qui se tiens mais le plus appréciable c'est le genre choisi pour exploiter tout cela car sur le papier on peut très enthousiaste par le contenu pourtant on se demande quand même comment tout cela peut être mis en scène de manière intéressante et la comédie un peu déjantée fonctionne parfaitement bien, donnant cet aspect barré qui correspond absolument au sujet, ne demandant nullement d'être pris au sérieux et sachant se faire plaisir avec des éléments qu'on aurait pu croire improbable dans un film tel que c'est présenté ici, et faisant de l'ensemble une œuvre plus qu'originale, une affaire rondement menée par C. Colombus qui s'est surtout un petit plaisir à partager avec tout les amateurs de jeux vidéos de tout temps. Ainsi la première chose qui marche bien, c'est bien sûr le parti pris de l'humour pour illustrer cette histoire bien tirée par les cheveux, car il n'est pas simple d'accorder le moindre crédit à la crédibilité de ce film, étant bien trop fou pour être pris au sérieux, et ainsi le fait de se marrer bien avant d'en prendre plein les yeux permet d'entrer doucement dans le bain et d'aller voir plus loin pour savoir où l'on va, de cette façon une fois les éléments plus fantastiques introduit on est pas dépaysé par l'aspect en dehors des chemins battus de la SF en général car déjà le contexte est assez spécial, spoiler: un ancien geek bedonnant président des USA, un installateur de matériel hi-fi qui se fout de tout
ou encore une intrigue plus que mystérieuse, le décor est impeccablement planté pour poser la partie la plus bizarre du film. Et en effet, c'est une fois la machine scénaristique lancée que l'on prend conscience de l'ampleur de la folie du sujet, mettant en scène les personnages mythiques des premiers temps dû jeux d'arcade de manière réel et transformant le monde tel qu'on le connaît en grand terrain de jeux d'arcade, et bien que l'on puisse être surpris par le fond même de ce film, n'hésitant pas à jouer à Pong spoiler: avec le Taj Mahal ou se délectant d'un Pac Mac surdimensionnée
car si l'on ne se prend pas un peu au jeu, on se demande réellement ce qui est train de se passer tellement c'est cinglée en soi, et pourtant il faut reconnaître la transposition est tout de même archi bien foutue, autant concernant les effets visuels tout de même de bonne qualité et faisant plaisir aux yeux quand on voit le sort réservé à certains grandes places mythiques du Monde, bien que cela soit très exagéré et mettant des scène de manière ludique plus qu'autre chose des éléments assez incongrus, on apprécie la manière tout cela est amené, sans trop effacer le côté comique, autant l'on prend du bon temps devant ce film par la vision de joueur qui est apporté, se contentant pas seulement d'insérer des personnages numériques connus de manière incroyable mais donnant un vrai sens technique à ce qui se déroule, à l'image de spoiler: la partie géante de Pac Mac
dans laquelle des autos deviennent les tout aussi célèbres fantômes qui le pourchassent et assez intelligemment qui plus est ou encore par la scène finale tout simplement parfaite qui met en image une spoiler: partie grandeur nature de
DK, tellement bien foutue qu'on l'on voudrai y être aussi, chaque élément visuel étant super bien pensé, et clairement le meilleur moment du film, ainsi le réalisateur donne un peu de sens à ce grand remue ménage très particulier. Le casting n'a rien de transcendant en tant que tel car les acteurs comme A. Sandler ne sont pas de mauvais gars dans leur style, bien au contraire on se marre bien avec eux, illustrant bien ce type d'humour basé sur des personnages un peu simples et cons, qui ne sont pas à crever de rire mais qui parviennent tout de même à sortir de bonnes conneries, du moins suffisamment stupides pour décrocher un rire, le souci majeur c'est que souvent cela renvoi à un genre justement, celui de la comédie une lourde bien à l'américaine qui sont loin de faire dans la subtilité, sauf qu'ici le contenu trouvent tellement sa place dans ce genre d'humour que et l'équilibre se faisant sans souci, on arrive à être plus cléments vis à vis de cet humour, puis sans sortir de grandes répliques, il y'a de quoi se fendre la poire en tout cas autant que lorsque l'on découvre les éléments du scénario. Pas toujours très adroit, assez spécial pour toucher un large publique bien que le spectacle visuel soit pas trop mal, quelques faiblesses concernant le scénario qui ne casse pas trop le dos et prend surtout du plaisir à exposer des idées barrées, un humour simple mais efficace mais ce que l'on ressent surtout dans ce film, c'est clairement le plaisir qu'à pu prendre C. Colombus à réaliser ça, faisant sûrement partie de ces gens qui en secret espérait ce genre de projet mais qui n'osait y croire vu le sujet et la difficulté de mettre ce genre d'idée en scène dans un film qui ne se contente pas de juste mettre en scène ces personnages de jeux vidéos mais qui arrive à trouver un peu de sens, alors même si on peut trouver à redire à ce niveau là car cela reste tout de même un bonne grosse blague un peu folle, car les effets spéciaux ont beau être sympathiques, l'image établie en reste pas moins un peu loufoque et plus tourné vers le divertissement que le pur cinéma de genre, mais après tout si l'on parvient à rentrer un peu dedans, et que l'on a un peu de sensibilité pour l'univers des jeux virtuels, il y a de quoi trouver son compte et même se marrer un peu mais sûrement pas en ce qui concerne le côté plus terre à terre que le film conserve à travers une morale de bas étage, ces éléments n'étant vraiment pas ce qui fonctionne quand on traite de quelque chose d'aussi tordu.

Un bon retour dans les jeux vidéo des années 80' fidèlement réalisés. Le rythme est malheureusement parsemé de scènes cul-cul incompréhensibles....

Non seulement le film échoue dans son cahier de charges de comédie, c'est vraiment pas spécialement drôle mais en plus c'est mal joué, sans aucun intérêt, avec du placement produit à gogo et "l'hommage" au jeu un peu foireux bien que ca reste le seul point positif. Un plutot trés mauvais film, avec quand même quelques bonnes idées, notamment la partie de pacman géante et le générique de fin, qu'on attends impatiemment.

Un film qu’on peut considérer comme décevant. Quelques moments sympas, mais faut reconnaitre que le métrage, à mon sens, c’est laissé endormir par son idée de base, et ne propose pas une véritable histoire.
Le casting est assez moyen. J’attendais plus de truculence, plus de punch, et faut bien dire, en dehors de Peter Dinklage, ce n’est pas terrible terrible. Sandler semble engourdi dans son rôle, certes pas forcément celui d’un winner, mais il ne lui donne pas beaucoup d’allure et de vigueur. A ses côtés Josh Gad est en surjeu manifeste, et Michelle Monaghan semble peu à l’aise dans la comédie. Quelques guest de prestige viennent faire leur apparition, curieusement certains ne se débrouillent pas si mal ! Assez déçu quand même par le casting globalement.
Le scénario a été un peu oublié. Certes les créatures sont là, certes le film joue la fibre nostalgique, certes il y a quelques concepts plutôt bien vus (le final très arcade), mais dans l’ensemble, ce n’est pas très prenant. La faute a un côté assez bavard dans la première partie, à un humour balourd qui peine à faire véritablement rire, et à une histoire tellement absurde qu’on voit bien que l’idée du fameux court-métrage était difficilement transposable sur un long. En plus le film est loin d’assumer ce délire, et se prend souvent trop au sérieux.
Visuellement les effets spéciaux colorés sont sympas et réussis, la mise en scène de Columbus est plutôt pas mal même si ce n’est pas non plus transcendant avec des scènes d’action un peu plates quand même. Le film a un certain budget, et cela se voit, même si ça manque de grosses scènes de destruction, et si sur la forme il n’y a pas d’audaces particulières. Musicalement il y a des choix de morceaux sympathiques, mais utiliser davantage les sonorités des jeux anciens n’aurait pas été un mauvais choix non plus.
Bon, Pixels n’est pas un film décapant, et je comprends assez les mauvaises critiques et le faible succès au box-office du métrage. Le concept est sympa, il y a quelques moments agréables, l’ensemble n’est pas pénible à regarder (quoiqu’à certains moments…), mais ce n’est pas du niveau d’un film avec ce budget, ce casting, et un réalisateur expérimenté. 2.

Hyper déçu, film effet année 90 dans l'interprétation des acteurs autant que dans le script,je m'attendais à un trop bon film...Le seul point positif dans ce film c'est les effets speciaux selon moi, dommage, l'idée du film etait top mais l'espèce d'accent anglais et le fait qu'il ai voulu en faire un film drôle qui est je trouve particulièrement pas drôle gâche.

Un navet électronique ou d'arcade
spoiler: pas d'histoire, une suite de scène sponsorisé par Mini (les voitures) Peter Dinklage que fais tu la dedans ? Le Moyen age te va mieux.