Stuck in Love propose une analyse minutieuse d'une famille en pleine décomposition. Le père, écrivain, ne se remet pas de sa séparation avec sa femme qui l'a quitté pour un autre. Il l'espionne dans son jardin comme un jeune le ferait sur Facebook et trompe l'ennui avec une joggeuse avec qui il fait l'amour aussi vite qu'elle court. Ses enfants qui vivent avec lui sont également écrivains. Est-ce que ça leur plaît ? Ont-ils du talent ou arrivent-ils à se faire éditer grâce au carnet d'adresse de papa ? On ne sait pas. Josh Boone ne s'intéresse qu'à leurs états d'âme amoureux. Parce que le père n'est pas le seul à se triturer le cerveau. Sa fille qui doit avoir dix-huit ans à tout casser est persuadée de tout savoir sur l'amour, les hommes, le mariage et le sexe. Quitte à en être un peu ridicule avec ses idées toutes faites alors qu'elle n'a rien vécu si ce n'est peut-être une ou deux expériences ratées. Son frère est puceau et lorgne vers une camée. Mignonne, certes. Mais camée. Et ce genre de fille, on a envie de l'aider à se sortir de là mais, au final, on se rend compte qu'elle peut faire beaucoup de mal. L'amour, ce sont des hauts et des bas. Comme la vie. Stuck in Love finit bien pour certains, moins bien pour d'autres. Là aussi, c'est comme la vie.
Un film finalement d'une banalité assez affligeante, se centrant au sein de la même famille sur 3 histoires amoureuses, différentes, prises à différents âges de la vie, avec des caractères et approches différentes, et comme seul lien fil rouge la passion et le métier d'écrivain profession du père écrivain connu célèbre et qui a transmis sa fibre à ses 2 enfants. 3 voire 4 histoires dans l'histoire, navigant entre drame et comédie, rires et pleurs, amours et desamours, désir, confiance, engagement, etc. ..Mais au final quel film ! Car ce film au scénario assez banal, ne lesinant pas non plus sur les clichés ou facilités, au final quasiment écrit d'avance et attendu, ce film est une vraie bombe, une bombe émotionnelle et emplie de potion magique qui au final nous transporte dans le bonheur. La recette? Un petit miracle, une qualité d'interprétation exceptionnelle et bluffante, des acteurs et actrices irréprochables. Combien, qui? Facile prenez 3 couples potentiels cela fait 6, ajoutez une maîtresse occasionnelle cela fait 7. Inutile de les citer, il suffit de prendre la liste du casting et de prendre les 7 premiers noms. Que ce soient des acteurs plus murs et confirmés ou de jeunes acteurs prometteurs, ils sont tous juste énormes avec des personnages qui ont tous une importance folle, une profondeur incroyable, que l'écriture du scénario et la réalisation ont réussi la performance à mettre en valeur et rendre indispensables . Au final on se souviendra de chaque acteur et actrice et de chaque personnage interprété et pour un film à l'histoire banale c'est quand même une sacrée performance. Un film indispensable, un pur moment de bonheur.
"Stuck in love" rejoint le club très ouvert des comédies romantiques dans l'indifférence la plus totale. On y retrouve comme d'habitude un bon lot de niaiseries en tout genre, une dramatisation excessive des sentiments et un scénario convenu à souhait. L'esthétique du film n'est pas vilaine, loin de là, mais elle est noyée dans un océan de médiocrité.
Ayant été ému par la magie de nos étoiles contraires, je me suis décidé à aller voir ce précédent film du même réalisateur (Josh Boone). Et ben ce film est une vraie découverte. Ce réalisateur est vraiment talentueux et arrive à faire passer des émotions et des sentiments à travers ses films. L'histoire n'est pas exceptionnelle, mais il ressort une sorte de magie, de joie de vivre de ce film. Les acteurs sont dans le bon ton et on les suit avec délectation. Bref une vraie belle découverte. Un film dont on se rappelle !
Une comédie romantique intergénérationnelle très classique dans sa forme (plusieurs histoires avec des conceptions différentes de l'amour racontées simultanément), dans son déroulement et jusqu'à sa fin spoiler: traditionnelle en happy end . Le casting est présent (merci Jennifer Connelly) , le scénario basique mais pas déplaisant pour un film qui peut se laisser regarder une fois. Mais si vous le regardez une seconde fois, c'est certainement parce que vous avez oublié l'avoir déjà vu...et ça, cela ne serait pas impossible tellement il s'agit d'un film passe-partout.
Peu avant de nous tirer toutes les larmes de nos petits corps avec son hit mondial "Nos Étoiles Contraires", Josh Boone s'était déjà intéressé aux relations amoureuses avec ce "Stuck in Love", un film choral mettant en scène les difficultés sentimentales des membres d'une même famille nourrie par une passion commune : l'écriture.
Il y a tout d'abord le père (Greg Kinnear), un écrivain célèbre, incapable de se remettre du départ de sa femme (Jennifer Connelly) partie vivre avec un homme plus jeune que lui et qu'il continue à espionner des années après en espérant la récupérer. N'arrivant pas à retrouver l'inspiration depuis cette séparation, il stagne dans sa maison au bord de l'océan en entretenant une relation purement physique avec une de ses voisines (Kristen Bell). Vient ensuite la fille (Lily Collins) dont le premier roman est sur le point d'être publié, le couple brisé de ses parents l'a enfermé dans un cynisme exacerbé sur les relations sentimentales qui la conduit à enchaîner les aventures sans lendemain. Mais sa recontre avec un étudiant de sa faculté (Logan Lerman) va peu à peu bouleverser ses certitudes. Enfin, le fils (Nat Wolff), un garçon introverti et fan de Stephen King, est désespérément amoureux d'une de ses camarades de classe (Liana Liberato) cachant un lourd secret.
Tous ces personnages sont donc "coincés en amour" (d'où le titre) que cela soit à cause d'une relation extra-conjugale, d'une séparation ou simplement par timidité, leur situation individuelle va bien évidemment évoluer grâce à de nouvelles interactions ou des remises en question.
Rejoignant la flopée de films indépendants US traitant des atermoiements amoureux de protagonistes plus intelligents que la moyenne sur un ton doux-amer, "Stuck in Love" ne fait absolument rien pour sortir du lot à cause d'un scénario qui oublie toute notion d'originalité en allant dans toutes les directions les plus convenues possibles (le quart d'heure final sombre même dans les pires facilités pour résoudre les conflits en suspens). Certes, les dialogues font souvent mouche et le film possède une indéniable justesse dans les contours des relations humaines qu'il dessine mais, sur le fond, il reste désespérément avare en surprises.
Heureusement, la superbe alchimie d'un casting impressionnant et inspiré (le génial Greg Kinnear en tête) parvient à transcender ces faiblesses en rendant ces personnages bien plus attachants que la moyenne. Si leurs trajectoires nous semblent déjà connues d'avance, les accompagner à destination se révèle extrêmement plaisant et on se prend même à être triste de les quitter aussi vite compte tenu de la courte durée du film (1h30). Rythmé par une BO parfaite et bénéficiant d'une surprenante guest-star en bout de course, le long-métrage de Josh Boone peut même prétendre finalement au statut de joli film malgré son caractère dispensable.
"Stuck in Love" est un de ces films où l'on se rend vite compte qu'on est train de nous raconter pour la centième fois la même histoire mais il nous prouve au passage que le seul investissement d'un ensemble d'acteurs bien choisis peut nous la faire apprécier... pour la centième fois.
Etre ado et écrivain en herbe, père trompant sa femme et donc, quasiment divorcer, une vie au lycée mêler à sa vie personnelle... Si cette comédie n'à rien de trop percutant, elle reste sympas à son juste niveau pour voir justement cette vie d'un quotidien ou chacun voit sa vie plus ou moins chambouler selon tel ou tel conséquences. Un casting qui me parle bien puis qu'avec Lily Collins je retrouve Jennifer Connely et Logan Lerman chacun s'étant illustrer dans des registre bien divers. Des jeux très bon, spoiler: un récit qui se suit facilement pour un final allant entre gros drame familiale pour l'un (Louis très bien jouer par Logan) et grande joie pour d'autres avec notamment un démarrage de carrière littéraire quasi assurer pour Rusty Borgens par Nat Wolff. Récit également porter sur les relations entre frères et sœurs et tendu avec un père plus fière de sa fille que son fils... Un scénario des plus basique pour ce genre, mais ravis de découvrir Lily après son génial show dans "Blanche-Neige" et sa série Netflix.
Un film dont je n'attendais pas grand chose et qui m'a agréablement surpris, car l'on parvient à s'attacher à cette famille, et même si le scénario n'est pas à tomber par terre, une pointe d'émotion arrive à poindre vers la fin. Vraiment un bon moment.
Comédie dramatique chorale bien écrite, au casting très séduisant, "Stuck in Love" alterne humour et gravité, romantisme et littérature et emballe le spectateur sans jamais le perdre! Une réussite plutôt évidente, malgré quelques facilités et imperfections, lesquelles participent toutefois certainement du charme opéré. Sans être un sommet du genre, voici une proposition très agréable, pour romantiques cérébraux!
Peu avant de nous tirer toutes les larmes de nos petits corps avec son hit mondial "Nos Étoiles Contraires", Josh Boone s'était déjà intéressé aux relations amoureuses avec ce "Stuck in Love", un film choral mettant en scène spoiler: les difficultés sentimentales des membres d'une même famille nourrie par une passion commune : l'écriture. Il y a tout d'abord le père (Greg Kinnear), un écrivain célèbre, incapable de se remettre du départ de sa femme (Jennifer Connelly) partie vivre avec un homme plus jeune que lui et qu'il continue à espionner des années après en espérant la récupérer. N'arrivant pas à retrouver l'inspiration depuis cette séparation, il stagne dans sa maison au bord de l'océan en entretenant une relation purement physique avec une de ses voisines (Kristen Bell). Vient ensuite la fille (Lily Collins) dont le premier roman est sur le point d'être publié, le couple brisé de ses parents l'a enfermé dans un cynisme exacerbé sur les relations sentimentales qui la conduit à enchaîner les aventures sans lendemain. Mais sa rencontre avec un étudiant de sa faculté (Logan Lerman) va peu à peu bouleverser ses certitudes. Enfin, le fils (Nat Wolff), un garçon introverti et fan de Stephen King, est désespérément amoureux d'une de ses camarades de classe (Liana Liberato) cachant un lourd secret. Tous ces personnages sont donc "coincés en amour" (d'où le titre) que cela soit à cause d'une relation extra-conjugale, d'une séparation ou simplement par timidité, leur situation individuelle va bien évidemment évoluer grâce à de nouvelles interactions ou des remises en question . Rejoignant la flopée de films indépendants américains traitant des atermoiements amoureux de protagonistes plus intelligents que la moyenne sur un ton doux-amer, "Stuck in Love" ne fait absolument rien pour sortir du lot à cause d'un scénario qui oublie toute notion d'originalité en allant dans toutes les directions les plus convenues possibles (le quart d'heure final sombre même dans les pires facilités pour résoudre les conflits en suspens). Certes, les dialogues font souvent mouche et le film possède une indéniable justesse dans les contours des relations humaines qu'il dessine mais, sur le fond, il reste désespérément avare en surprises. Heureusement, la superbe alchimie d'un casting impressionnant et inspiré (le génial Greg Kinnear en tête) parvient à transcender ces faiblesses en rendant ces personnages bien plus attachants que la moyenne. Si leurs trajectoires nous semblent déjà connues d'avance, les accompagner à destination se révèle extrêmement plaisant et on se prend même à être triste de les quitter aussi vite compte tenu de la courte durée du film (1h30). Rythmé par une BO parfaite et bénéficiant d'une surprenante guest star en bout de course, le long-métrage de Josh Boone peut même prétendre finalement au statut de joli film malgré son caractère dispensable. "Stuck in Love" est un de ces films où l'on se rend vite compte qu'on est train de nous raconter pour la centième fois la même histoire mais il nous prouve au passage que le seul investissement d'un ensemble d'acteurs bien choisis peut nous la faire apprécier pour la centième fois
Mouais, j'ai pas été totalement emballé par ce film. Il est pas mal, sympa a suivre, on s'ennuie pas, les acteurs sont tous géniaux, vraiment rien a dire sur eux. Mais l'histoire, en plus d’être classique, n'est pas extraordinaire, il y a de bonnes choses, mais a part parler de cul et de livres, bah ça parle pas de grand choses.... Que le personnage joué par l'excellente Lily Collins soit comme ça, ok, c'est son personnage, c'est normal et c'est même ça qui va la rendre attachante, mais les autres aussi, a part quelques uns, sont pareil, et au bout d'un moment c'est quand même un peu chiant. Du coup, on dirait plus un téléfilm qui passe sur M6 qu'autre chose, vous savez le genre de téléfilm, pas forcement pourri, plutôt mignon dans l'ensemble, a voir une fois, mais qu'on oublie après. C'est dommage car ce film est a mettre dans le même panier, a voir une fois.
Pour son premier long-métrage, Josh Boone n'a pas pris le moindre risque en proposant cette comédie dramatique/romantique très peu originale où tout est bien calibré pour ne pas dire parfois très cliché, le film n'est pas foncièrement mauvais mais n'apporte rien de neuf au genre. On parvient tout de même à se laisser porter car l'ensemble est relativement cohérent et suffisamment rythmé pour maintenir une attention soutenue. Seul point vraiment agaçant : cet espèce d'arrogance qui se dégage de cette production, ce côté hautain incarné par des personnages « de bonne famille » un peu trop sur-sophistiqué et un pseudo existentialisme un peu trop forcé, caractéristique que l'on retrouve bien plus marquée dans le deuxième film — sacrément ennuyant lui — de Boone, The Fault in Our Stars.