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    Magnifica Presenza
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    3,3
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    17 critiques spectateurs

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    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    208 abonnés 1 917 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 février 2016
    Magnifica presenza a beaucoup de charme et certaines scènes sont très réussies voire même émouvantes. Malheureusement, le scénario part un peu dans toutes les directions et comporte pas mal de longueurs et de séquences inutiles. Dommage, cette histoire de famille de fantômes aurait pu donner un petit bijou si elle avait été traitée avec davantage de rythme et de rigueur.
    Myene
    Myene

    19 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 octobre 2013
    Ce film est très inégal on alterne les ressentis: quand on est agacé et prêt à décrocher un moment de grâce vous retient Mon impression générale est donc dubitative sans doute faudrait il que je le revois pour mieux me déterminer hélas sa diffusion est confidentielle!!!
    nestor13
    nestor13

    59 abonnés 1 222 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 septembre 2013
    "Magnifica presenza" est ce que j'appelle un film gloubi-boulga : à savoir une histoire fourre-tout où l'on veut nous montrer que être méchant, ben c'est pas gentil. Et comme je suis plutôt porté par le côté obscur... Plus sérieusement, si l'on ressent indéniablement quelques moments d'émotion ici, les ficelles sont grosses et le thème traité est usé jusqu'à la corde. C'est pour cela que je reste dubitatif devant cette œuvre quand même parfois poétique, mais qui tombe trop dans la facilité, voire la caricature, pour être consistante.
    Felipe Dla Serna
    Felipe Dla Serna

    22 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 août 2013
    Conte fantastique ou fantasmagorique qui lie l'Italie fasciste et l'actuelle à travers un sympathique personnage qui s'installe dans une maison hantée par un ensemble de personnages "attrapés" dans l'actualité pour une trahison. Le personnage central va essayer de déchiffrer l'énigme. Sur le papier, le scénario semble difficile à mettre en œuvre.....et il l'est. Et cela se reflète dans le résultat final, appuyé par les acteurs qui n'aident pas beaucoup au succès de l'aventure. Pour moi, le réalisateur d'origine turque,
    est très loin de son premier film: Hammam qui a marqué sa carrière.
    Fritz L
    Fritz L

    187 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 août 2013
    Magnifica presenza est à l’image de la partition que Pascale Catalano a composée pour ce film… Alerte, enchanteur, aux notes sépia et un brin nostalgique. Mais, même si cela semble élogieux, ce n’est pas suffisant. Il y a bien des choses à ajouter… et de jolies choses !

    Ferzan Ozpetek (« La fenêtre d’en face », « Le premier qui l’a dit ») est un grand passionné doublé d’un grand sentimental. Passionné de son art, il l’est également par la vie et des émotions qui l’animent. De son art, il « tient » ses acteurs. Il brosse des portraits très justes et sensibles sur le milieu artistique, les comédiens qu’il filme avec amour d’ailleurs. Même s’ils sont tous excellents, Elio Germano les surpasse de loin ! Avec son faux air de Robert Downey Junior début de carrière, il sait nous attendrir, nous émouvoir ou nous faire rire avec un naturel désarmant. Il possède un charme fou !

    Toute cette petite troupe, se retrouve et évolue entre fiction et réalité dans un décor presque en huis clos… sur un plateau… comme une scène de théâtre où les scènes se juxtaposent. Il ne faut pas se tenir ici à la trame de l’histoire, simple mais loin d’être simpliste, même si en arrière plan sont évoquées les noirs heures de l’Italie. Pas de scénario engagé, juste une fable.

    Car Ozpetek est un conteur, et son seul but est de nous troubler ou nous émerveiller, par petites touches. Et il excelle à ce jeu, au détour d’une scène cocasse, ou plus grave, il virevolte et vous embarque vers autre chose. A plusieurs reprises, même si les deux univers sont radicalement différents, on pense à « Fanny et Alexandre » de Ingmar Bergman. Comme le maître suédois, Ozpetek joue d’effets, il manipule notre âme pour notre plus grand plaisir, pour faire couler au Final (au sens propre comme au figuré) une larme, de celle qui donne sourire et joie.

    Pour autant, Magnifica Presenza est loin d’être une œuvre d’un autre temps et surannée, le film est résolument contemporain et s’inscrit parfaitement dans nos peurs, nos incertitudes d’aujourd’hui et met en évidence notre quête de tous les jours de vivre des moments meilleurs… Si tant est que l’on puisse voir l’évidence : le bonheur à portée de main.

    Et du Bonheur, Magnifica Presenza sait nous en donner ! Mon big coup de cœur de 2013 !
    marsenavril
    marsenavril

    2 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 février 2014
    Ce film est plein de grâce, il faut y aller sans savoir à quoi s'attendre et se laisser porter par la découverte de ce jeune homme, sa cousine, sa drôle de maison, ses aspirations, et les étranges rencontres qui émaillent le film. Tout est juste, humain, touchant. On tombe complètement complètement sous le charme de cette improbable histoire. J'espère que le bouche-à-oreille fera son œuvre.
    ffred
    ffred

    1 726 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 août 2013
    Ce nouveau film de Ferzan Ozpetek est sorti fin juillet dans l'anonymat le plus total. Sans un conseil amical avisé, je ne m'en serais même pas aperçu. La filmographie du réalisateur italien d'origine turque a une thématique très souvent homosexuelle (Hamam, Tableau de famille, Le premier qui l'a dit...). Ici le personnage central est gay mais ça s'arrête là. Cette très jolie comédie italienne brasse beaucoup d'autres thèmes. Chacun y verra un peu ce qu'il veut y voir...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 août 2013
    le film semble bien démarrer mais au bout de 20 minutes c'est le flop ! je déconseille fortement
    tixou0
    tixou0

    708 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 août 2013
    Ferzan Öspetek, cinéaste turc naturalisé Italien, signe avec "Magnifica Presenza" son 9ème long métrage (sorti en France sous son titre original). Le chantre de l'homosexualité masculine met à nouveau en scène un "gay" (Pietro "Ponte"). Le jeune provincial (de Catane, en Sicile) "monte" à Rome pour tenter d'y faire carrière en tant qu'acteur, encouragé par sa participation à quelques publicités locales. Pour échapper à Maria, son envahissante petite cousine, plus âgée, nymphomane et secrétaire chez un avocat (Paola Minaccioni, déjà distribuée dans "Mine Vaganti", et "Reality" de Matteo Garrone), Pietro loue une maison ancienne, bien située, mais à loyer (curieusement) raisonnable. Il comprend rapidement qu'il n'est pas seul dans les lieux. Une troupe de 8 comédiens (dont un garçonnet obèse, et 3 femmes) hante les lieux, officiellement morts depuis.... 1943. La cohabitation entre le jeune homme et les "fantômes" (qu'il est le seul à voir - les locataires successifs n'ayant jamais dépassé, eux, le stade des bruits étranges, qui les ont fait déguerpir immédiatement, à la grande satisfaction de la propriétaire indélicate, qui ne rend jamais les cautions) se passera plutôt bien, Pietro s'occupant de les mettre en paix avec leur passé, et la troupe assurant son apprentissage de comédien, autant que de vie en général, et amoureuse en particulier (érotomane en puissance au début, il côtoiera de mystérieux travelos et leur "abbesse", aura un coup de coeur pour Luca Veroli, l'un des séduisants revenants, mais ratera Paolo, un charmant voisin). Après "Mine Vaganti" (2010), distribué en France comme "Le Premier qui l'a dit", comédie de moeurs "classique" (à quelques variables homos près), ce nouveau film (2012) est plus original dans la forme, largement onirique. Elio Germano (vu dans "Romanzo Criminale" et "Mon frère est fils unique") fait beaucoup, dans le rôle principal, Pietro au pays des Illusions, de l'intérêt du film. Assez déconcertant, souvent décousu, à conclusion inachevée, d'où une notation intermédiaire seulement, comme pour "Mine Vaganti".
    harpsichord
    harpsichord

    3 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 août 2013
    Encore et toujours la famille selon toutes ses formes. Encore et toujours ces personnages atypiques. Tout cela mis en scène avec humour, tendresse et délicatesse. Y compris pour ceux qui ne le méritent pas ... y aura-t-il un jour un vrai salopard dans un film de Ozpetek ? Même un salopard serait regardé avec humanité ... Parce que finalement, c'est bien d'humanité qu'il s'agit. Des destins, des quêtes qui se télescopent, des groupes qui se forment pour une tranche de vie, même improbable, puis se défont avec une certaine nostalgie. Alors finalement, qu'il y ait une nympho, un homo, des fantômes et autres personnages improbables, peu importe, même s'ils sont particulièrement bien joués et menés. L'essentiel est, comme d'habitude, dans la rencontre, dans les rencontres, dans les liens qui se tissent ou se perturbent dans la famille éphémère et prétexte au film. A l'heure où tant de groupes ne sont qu'un assemblage de solitudes, les personnages imaginés par Ozpetek ont toujours un rapport à l'autre teinté autant de force que de fragilité ... Réjouissant ...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 6 août 2013
    Dans ma vie de cinéphile je ne me rappelais pas être sorti d'une salle avant la fin du film.
    Ayant la carte illimité, je suis plutôt tolérant et laisse la chance aux métrages jusqu'au dernier
    tour de bobine.
    Mais là c'était pas possible, une telle niaiserie ringarde, un humour tellement nul
    que j'étais gêné pour les acteurs et toutes personnes ayant participé au projet.

    A éviter, pour tout le monde.
    César D.
    César D.

    37 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 août 2013
    Elio Germano campe un personnage très attachant, candide et un brin lunaire. il est le sel de ce film très italien. le film de fantômes était une bonne idée et est assez bien exploité, mais je regrette que le réalisateur ne se soit pas plus penché sur la vie amoureuse de Pietro. il est homosexuel et rêve du grand amour, et lorsque que son voisin super mignon tente de l'approcher, rien ne se passe. et hop! sa vie sentimentale est escamotée, évitée, omise. c'est vraiment très dommage, puisqu'on attend ça pendant tout le film! on se demande pourquoi le réalisateur (homosexuel) oublie son sujet. la volonté de plaire au cathos bien pensant, peut-être? montrer un homosexuel, mais pas trop? vraiment vraiment dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 août 2013
    Histoires de fantômes italiens.

    "Parler avec légèreté des choses graves" est une formule qui qualifierait bien le cinéma de Ferzan Özpetek. Mais l'aphorisme serait aussi juste que réducteur.

    Pour son nouveau film, le réalisateur de LE PREMIER QUI L'A DIT reste attaché à ses thèmes de prédilection: La famille, le passé, l'identité. Il s'applique tout d'abord à décrire avec soin l'arrivée de Pietro , jeune acteur sans grand talent, dans sa nouvelle maison à Rome. Entre auditions foireuses et dragues à gauche et à droite, nous voici embarqués dans une comédie pétillante aux airs de " LES AVENTURES DE M. ALMODOVAR DANS LE QUARTIER DU MISTRAL" . Je vois d'ici les cinéphiles un peu sensibles s'enfuir en Encore un film sur un homo en proie à ses doutes, ses peurs, ses tocs, ses mecs...Fausse piste. Avec une mise en scène déroutante( entendons par déroutante, peu commune), Ferzan Özpetek dévoile une autre facette de son roman animé; celui d'un comédie fantastique. Pietro va en effet découvrir l'existence de fantômes au passé trouble, peu enclins à se laisser exproprier par le nouveau locataire. Mais le propos ne s'arrête pas là et MAGNIFICA PRESENZA dévoile tous ses secrets...On pensera évidemment à FANTOMES A ROME de PIETRANGELI pour rester dans un registre Italophile.

    Entremêlant quête d'identité personnelle, histoire intime de l'Italie et rapport au théatre, Magnifica Presenza est un objet brinquebalant, désopilant, touchant et procure une sensation doucereuse au moment de sortir de la salle. Malgré quelques détours mélodramatiques(heureusement tardifs), le nouveau long métrage du réalisateur d'origine Turque est représentatif de ce nouveau cinéma italien énergique, audacieux et qui sait se réinventer.
    Thierry M
    Thierry M

    165 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2013
    Le cinéma italien est très surprenant, la dans ce film très original, plein de surprise nous remplit de bonheur et d'émotion jusqu'à la dernière minute.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 1 août 2013
    Joli hommage au métier d’acteur, évocation des années 40, mélange de burlesque, de fantastique et de dramatique… Ferzan Ozpetek construit un film plutôt intelligent, plutôt drôle, plutôt réussi dans son côté rétro. Elio Germano, impeccable Pietro, apporte au cinéaste la délicatesse qui, parfois, lui fait défaut.
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