Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Humanité
par Jean Roy
Ferzan Ozpetek nous montre le cinéma italien contemporain dans ce qu’il a de plus touchant par l’amour qu’il porte à ses personnages et donc aux comédiens qui les interprètent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Jean A. Gili
Ferzan Özpetek (...) est devenu une des valeurs sûres du cinéma italien (...) il enchaîne les oeuvres solides (...) "Magnifica Presenza" ne déroge pas à la ligne (...)
L'Ecran Fantastique
par Maryline Sandra
Tragi-comique, déconcertant mais attachant, ce film où le fantastique fait corps avec le réalisme, s'avère une superbe réussite.
Première
par Damien Leblanc
"Magnifica Presenza" brille par quelques déchirantes séquences lyriques où le passé et le présent communiquent puissamment.
Télérama
par Pierre Murat
Ozpetek (...) imagine une jolie rencontre entre son héros et un travesti vieillissant (...). Avant de le transformer - et les séquences sont délicieuses - en double de Gene Tierney.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le cinéaste jongle avec la comédie, l’Histoire et le drame, et signe une fable loufoque, parfois émouvante, sur le métier de comédien.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Tendu entre drame et comédie, ce récit initiatico-fantastico-historique, où la mémoire douloureuse de l’Italie fasciste dialogue avec les affres contemporaines d’un homo coincé, est à la fois savoureux et ambitieux, mais aussi inabouti et un rien forcé dans le trait.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Ferzan Özpetek livre une fable fantaisiste mais peu enthousiasmante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Critikat.com
par Carole Milleliri
Özpetek a été plus pertinent et plus justement engagé. Avec toute la bonne volonté du monde, on ne parvient plus à trouver quoi que ce soit pour sauver son cinéma, dont les hauts sont bien plus rares que les bas.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le film s'inscrit dans une tendance en vogue dans le cinéma italien contemporain, qui consiste à revisiter les années de guerre sous l'angle apolitique des destins individuels, en occultant les notions d'engagement et de responsabilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Humanité
Ferzan Ozpetek nous montre le cinéma italien contemporain dans ce qu’il a de plus touchant par l’amour qu’il porte à ses personnages et donc aux comédiens qui les interprètent.
Positif
Ferzan Özpetek (...) est devenu une des valeurs sûres du cinéma italien (...) il enchaîne les oeuvres solides (...) "Magnifica Presenza" ne déroge pas à la ligne (...)
L'Ecran Fantastique
Tragi-comique, déconcertant mais attachant, ce film où le fantastique fait corps avec le réalisme, s'avère une superbe réussite.
Première
"Magnifica Presenza" brille par quelques déchirantes séquences lyriques où le passé et le présent communiquent puissamment.
Télérama
Ozpetek (...) imagine une jolie rencontre entre son héros et un travesti vieillissant (...). Avant de le transformer - et les séquences sont délicieuses - en double de Gene Tierney.
Le Journal du Dimanche
Le cinéaste jongle avec la comédie, l’Histoire et le drame, et signe une fable loufoque, parfois émouvante, sur le métier de comédien.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Tendu entre drame et comédie, ce récit initiatico-fantastico-historique, où la mémoire douloureuse de l’Italie fasciste dialogue avec les affres contemporaines d’un homo coincé, est à la fois savoureux et ambitieux, mais aussi inabouti et un rien forcé dans le trait.
La Croix
Ferzan Özpetek livre une fable fantaisiste mais peu enthousiasmante.
Critikat.com
Özpetek a été plus pertinent et plus justement engagé. Avec toute la bonne volonté du monde, on ne parvient plus à trouver quoi que ce soit pour sauver son cinéma, dont les hauts sont bien plus rares que les bas.
Le Monde
Le film s'inscrit dans une tendance en vogue dans le cinéma italien contemporain, qui consiste à revisiter les années de guerre sous l'angle apolitique des destins individuels, en occultant les notions d'engagement et de responsabilité.