Derniers Avis : Le Projet Blair Witch - Page 29

film assez stressant le début nous lance dans l'intrigue mais une fois arrivé a la moitié du film l'histoire ralentit sa devient très long jusqu'au moment de la fin vers les 10 dernières minutes ou l'histoire s'accélère

plébiscité à sa sortie par un grand nombre de cinéphiles l'originalité de la mise en scène a depuis été souvent exploitée (Cloverfield, Paranormal activity, etc...) ainsi le projet blair wicth a perdu de sa substance. Vu plus de dix ans après son succès je n'ai pour ma part été ni très effrayé ni très emballé! Mais je reconnais que ce film a fait date et qu'en cela il peut être culte pour beaucoup.

Bon scénario pour ce petit film mais dommage qu'on ne voit pas la sorcière...

Il y a des films incontournables dans tout genre, des pierres angulaires qui ont dirigé ou approfondi des facettes etières du 7ème art. En cette fin de millénaire, deux inconnus, Daniel Myrick et Eduardo Sanchez, révolutionnent le film d'horreur en le dépouillant de tout effet spécial. Le résultat, appelé "Le Projet Blair Witch", est une plongée intense, à travers la caméra de trois étudiants perdus dans une forêt hantée, dans l'horreur la plus pure et le jeu de suggestions le plus effrayant vu sur pellicule. L'aspect quasi-documentaire du film, présent sur tout les plans dans le film, apporte une terreur tellement commune qu'elle nous touche tous. Sauf qu'ici, en plus, l'histoire et les évènements survenus dans le film ne se contentent pas de nous raconter une simple ballade de nuit dans une forêt américaine et tendent plus vers le trip maléfique dont l'atmosphère étouffante n'est à aucun moment pénalisé par le manque de moyens visuels. "Le Projet Blair Witch" est à mettre sur un piédestal dans le cinéma de genre tellement il met en valeur les peurs plus profondes du spectateur qui se retrouve face à un film d'inconnus, incarnés par des inconnus et muni d'un budget ridicule mais bourré de scènes d'épouvante magistrales. Une mise en scène qui fait froid dans le dos, mortellement...

Un exemple de manipulation de masse et de foutage de gueule. Je crois qu'on appelle ça la "force de vente", l'art de faire du fric avec du vide.

Une étoile pour l'ambition culottée de ce faux documentaire qui tente de nous effrayer uniquement par la suggestion, sans jamais rien montrer de concrètement terrifiant. Une étoile pour la prestation crédible des acteurs. Enfin une demi-étoile pour dire que c'est une oeuvre qu'il faut voir selon moi... Pourtant, le ciment n'a pas vraiment pris de mon côté et j'ai trouvé le film majoritairement ennuyeux.

Évidemment il faut se remettre dans le contexte de l'époque. Le film est sorti en 1999 et a été l'un des précurseurs du style thriller-épouvante-caméra à l'épaule.
Retour en 1999 : j'avais 19 ans, avec une bande de potes on loue le film. On n'en avait jamais entendu parler, aucune pub de faite, juste la loueuse du vidéo club qui nous dit que c'est une histoire réelle.
Et bien après avoir vu le film, je peux vous garantir qu'on n'en a pas dormi de la nuit !!!
Alors évidemment, je plains les gens qui voient ce film aujourd'hui pour la première, en sachant que c'est du bidon, et s'attendant à bien plus après avec vu REC, PA ou Cloverfield.
Mais pour ma part, je peux vous jurer que lorsque la vérité a finalement éclaté 3 ou 4 mois après la distribution du film, je me suis senti bien soulagé !
Donc un bon film pour moi, très bon voire même traumatisant.

« Le projet Blair Witch » alias le film le plus rentable de l'histoire du cinéma est un « ovni » du 7ème art, aussi bien dans son fond que dans sa forme. En premier lieu de quoi ça parle ? C'est très simple : en 1994, trois étudiants en cinéma partent tourner un documentaire sur la légende d'une sorcière dans une forêt du Maryland. Rapidement ils se perdent et commencent à découvrir des événements anormaux et terrifiants qui les entourent. On ne les reverra jamais et un an plus tard la police retrouve leurs pellicules de tournages sur les lieux de leur disparition.
Voici donc le principe effrayant de ce petit film minimaliste (qui a couté que 25 000 $) qui a donné par la suite une immense claque à Hollywwod et au monde entier (il a réalisé quelques 249 millions de $ de recettes au final).
En effet, il remet en cause les codes même du cinéma à succès comme on le connaît : ici tout est tourné en caméra à l'épaule, les dialogues sont improvisés, il n'y a pas de musique de fond, ce ne sont pas des « vrais » acteurs qui jouent, il n'y a aucun effet visuel rajouté... Bref, ce film a tous les codes d'un documentaire amateur. C'est d'ailleurs cet aspect qui lui est souvent reproché par ces détracteurs. Ici, la caméra tremble, tombe, la plupart des plans paraissent mal cadrés. Mais il serait dommage de s'arrêter cet aspect purement« superficiel ». Dans un premier temps, notons que la grande modernité de ce faux documentaire est qu'il arrive à semer le doute dès le départ dans l'esprit du spectateur quand à la véracité de ses images. A l'instar du documentaire « Punishment Park » de Peter Watkins on se demande : « est-ce que ça c'est vraiment passé ? » On est donc actif dans ce film, on est invité à vivre l'expérience en même temps que les protagonistes pour essayer de trouver des réponses aux événements étranges qui leur arrive. Et c'est ça qui est vraiment effrayant, « Le projet Blair Witch » nous captive et nous interroge sur ce qu'est le cinéma (qu'est ce qui compte le plus au final: ce qu'on nous montre ou plutôt ce qui est suggéré ?) , quel est vraiment le rôle de la caméra (a t-elle un rôle indépendant à jouer ou n'est-elle qu'un simple prolongement de l'œil humain ?) et sur l'horreur. Dès lors, si on rentre dans le « jeu » on comprend l'angoisse des personnages, cette forêt nous oppresse à notre tour et on a qu'une envie : en sortir ! Les réalisateurs Daniel Myrick et Eduardo Sanchez connaissent bien leur sujet et arrivent à remonter aux origines de la peur de l'homme : se retrouver seul face à lui même dans un environnement qui lui est étranger et hostile. Même si les aspects surnaturels de l'histoire peuvent être stressant, ce film ne montre presque jamais de sang, de violence ou de zombies... La peur est plus profonde, elle n'est pas illustrée mais imaginée et c'est ce qu'il y a de pire. Ces cinéastes ont réussi un coup de maître en plongeant le spectateur dans une tourmente psychologique intense : l'angoisse de l'inconnu et la peur de l'autre. Cette frayeur atteint son apogée dans la scène final dans la maison-que l'on attend pas- ou encore une fois c'est à nous de choisir ce qu'on veut comprendre, on peut laisser libre cours à notre imagination sur ce qui c'est vraiment passé. Peu de films arrivent à nous laisser ce choix, et c'est un luxe réellement de pouvoir décider de sa fin. Il est donc fortement conseillé aux cinéphiles et aux amateurs de genre de visionner ce petit chef d'œuvre (de préférence seul dans sa chambre la nuit, histoire de se mettre dans l'ambiance) dont on ne ressort définitivement pas indemne.

Une caméra, une forêt, un budget dérisoire, un film. Ou comment jouer très, trop, habilement sur la manipulation. Un bon film de genre néanmoins un peu en forme de grande blague car hormis des prestations d'acteurs pas trop mauvaises le contenu semble et est relativement vide voire absent.

Bienvenue dans l'antre de l'épouvante!! Cet OVNI cinématographique restera pour longtemps une référence du genre!

Premier film à introduire le concept de caméra acteur, l'idée est grandiose et appuyée par une trame parfaite et des acteurs convaincants. On prend plaisir à avoir peur.

Le suggestif est toujours plus intéressant que la réalité, car il fait appel à nos propres angoisses. Pourtant, on se perd un peu dans les longueurs.

C'est une blague ?! Je croyais avoir vu les pires films "d'horreur" qui existe avec paranormal activity 1 et 2 mais là je dois dire que ça attend le summum de la nullité, au moins dans les paranormal activity des casseroles tombent, là rien !!! C'est mou, sans intérêt. Il y a des fois où on ne comprends même pas pourquoi ils ont peur. Les dialogues sont absolument pitoyables ! ("j'ai pas attaché mes lacets" quand l'heroine tente de s'échapper, c'est quand même assez drôle...). Aussi effrayant que "The Shining" ?! Non mais sérieusement, qui a pu écrire une abération comme ça ?! On commence par trois jeunes qui vont dans la forêt pour faire un documentaire... Déjà ça commence, on s'en fout ! Ils interviewent de gens du village, cette fois en plus de s'en foutre, c'est long et inintéressant ! Ils entrent enfin dans la forêt, on peut peut-être s'attendre à un peu d'action mais non... Ils y a des bruits (waaaaah effrayant pour le téléspectateur), des pleurs des "acteurs", des cris. Super ça fout vachement les jetons. Un des trois se fait enlever et vous savez quoi ?! Bah il se passe rien de plus, hormis une tente qui bouge toute seul, merci Jean-Claude d'avoir fait bouger la tente c'est le meilleur film et ça a permis la meilleur réplique du film... ATTENTION SPOILER ! L'héroine court avec sa caméra (déjà gros LOL quoi) pour échapper au "truc" et là elle dit "Je n'ai pas eu le temps de refaire mes lacets"... Waaaaaaah *clap, clap, clap* une soi-disant sorcière vous poursuit et c'est à ses lacets que l'on pense en premier... Mais bien sûr ! Bon bref, on arrive au final, un final EPOUSTOUFLANT (ironie) avec une caméra qui tombe, on suppose que ce pauvre Jean-Pierre s'est fait enlevé par la sorcière. Et la dernière scène Un gars de dos et une caméra qui tombe encore... Ajouté à cela, une bonne dose d'écran noir et de voix qui donne envie de taper sur les "acteurs" voilà ce qu'il faut retenir... Un grand chef d'oeuvre !

Après le visionnage de cet étrange film j'ai une question qui me vient : Peut-on aimer un film aussi mou, aussi nul, aussi scénaristiquement minable, aussi amateur ? Ce film est médiatisé pour rien, c'est une vraie arnaque dans son genre certes innovant mais totalement vain au cinéma !Je le déconseille à tout le monde même aux maniaco-dépressifs ou aux personnes qui ont 1h15 de leur vie à perdre ! Croyez-moi faites-du tricot c'est plus amusant !

Un film juste énorme!!! Chapeau! Réussir à faire flipper les public sans aucune image choc, sans sang; simplement en ravivant une peur commune: la peur de l'isolement commune aux humains.