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    Il était une fois dans l'Ouest
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    883 critiques spectateurs

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    Serpiko77
    Serpiko77

    58 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 novembre 2012
    Sans doute à classer parmi les meilleurs western de l'histoire. Un peu moins rythmé que "Le bon, la brute et le truand" mais l'apport de la sublime Claudia Cardinal apporte au film une touche féminine non négligeable.
    Franck V
    Franck V

    25 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mars 2013
    Que dire d'un film culte... Pas grand chose à part le plaisir de le revoir...
    Une légende...
    Zbrah
    Zbrah

    45 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2014
    Qui n’a pas entendu une fois dans sa vie le thème à l’harmonica de « Il était une fois dans l’Ouest » ? Qui n’a jamais vu, au moins en partie, cette introduction silencieuse dans une gare poussiéreuse située dans le grand ouest américain ? Le film de Sergio Leone, sorti en 1969, ultime demande des producteurs voulant cantonner le maître au genre, a été étrangement snobé lors de sa sortie dans les salles américaines, mais adulé en Europe, et plus particulièrement en France. L’œuvre est tellement culte qu’il est difficile de la regarder une première fois sans apriori. C’est ainsi que je me suis efforcée, l’œil neutre, à voir ce film en ignorant le fait que c’est l’un des meilleurs films de l’histoire du cinéma paraît-il. Pour son western, Leone réunit des "gueules" du cinéma. Il y a tout d’abord Charles Branson. L’acteur, déjà remarquable dans les « Sept mercenaires » de John Struges, récidive huit ans plus tard en interprétant un protagoniste mystérieux et taciturne ne se départant (presque) jamais de son harmonica. C’est de l’homme à l’harmonica que sont nées les petites notes cultes que l’on associe systématiquement au film. Du grand art ! Il y a également Henry Fonda, à l’origine réticent lorsqu’il s’est vu proposer le rôle Frank, qui sera pourtant l’une des plus grandes interprétations de sa carrière. Jason Robards complète le trio de tête d’affiches masculines avec Cheyenne, son génial personnage de loubard au grand cœur. Une seule femme à l’affiche, et pas n’importe laquelle. La sublime actrice italienne Claudia Cardinale apporte sa sensualité, sa douceur mais aussi sa forte personnalité aux arides terres américaines. Tout ça pour dire que la distribution est à l’image du film : magistrale ! Le cinéaste italien prend tout son temps pour narrer son histoire. Tout comme son introduction d’un quart d’heure intrigante et largement dispensable à l’intrigue, Leone ne joue pas sur l’économie des minutes. C’est une audacieuse force mais aussi un pari risqué. Une longueur restant une longueur, il est parfois difficile de maintenir l’attention totale du spectateur. Mais globalement, le pari est gagné ; les 2h45 passent rapidement. La trame de l’histoire, bien que pas vraiment jalonnée d’évènements marquants, est bien ficelée. Elle trouve un magnifique dénouement dans l’ultime confrontation de Branson et de Fonda. Accompagnée par la musique de Morricone, cela donne sans conteste l’une des plus grandes scènes de l’histoire du cinéma. En parlant du maestro italien, jamais un film n’avait à ce point mis en valeur ses compositions. Le but de Sergio Leone semble avoir été de réaliser un western faisant une apologie du silence. L’absence de bande-son rend les thèmes d’Enio Morricone, lorsqu’ils surgissent, encore plus puissants. Comme quoi, la musique si elle est intelligemment dosée, contribue à la définition d’une œuvre et à ce que l’on en retient. « Il était une fois dans l’Ouest » regorge aussi de nombreuses qualités techniques. Sa photographie ensoleillée en met plein la vue, la mise en scène est remarquable -prouvant que Leone n’est pas adulé pour rien- et les décors concoctés par Carlo Leva et Rafael Ferri atteignent un niveau de détails épatants. Les décors naturels ne sont pas en reste avec de sublimes étendues sauvages rappelant la beauté du grand Ouest américain. Après une telle analyse, inutile de rappeler que « Il était une fois dans l’Ouest » mérite amplement tous les superlatifs qui lui sont régulièrement attribués. Un grand film.
    grom1
    grom1

    16 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mai 2011
    Un film magnifique, il est assez long mais cela donne un certain charme au film, les acteurs jouent parfaitement, la musique est superbe et l'histoire genial. Que demander de plus? a voir absolument.
    videoman29
    videoman29

    243 abonnés 1 832 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 octobre 2020
    A la fin des années 1960, Sergio Leone est au sommet de sa gloire. Ses « western spaghetti » triomphent partout et les stars hollywoodiennes se ruent sur ses plateaux de tournage. C'est dans ce contexte qu'il réalise « Il était une fois dans l'ouest », probablement son meilleur film. La maîtrise de son art est désormais totale et les scènes cultes s’enchaînent à l'écran, parfaitement mises en valeur par la musique hypnotique de son vieux comparse Ennio Morricone. Côté casting, le génial Henry Fonda joue pour la première fois un rôle de méchant et Claudia Cardinale illumine l'écran de son éclatante beauté... mais c'est bien le sombre Charles Bronson qui tire le mieux son épingle du jeu avec cet étonnant personnage de « tueur à l'harmonica » qui lui va comme un gant. Il n'y a pas de « gentil » dans l’œuvre de Leone, tout le monde se bat sans pitié pour vivre (survivre) dans un ouest américain qui n'a jamais été aussi sauvage. Son dernier grand western est, à ce titre, une véritable cerise sur le gâteau qui fait date dans l'histoire du cinéma et qui marquera durablement les générations suivantes de cinéastes. Le résultat est un pur chef-d’œuvre, unanimement reconnu comme tel et qu'il est bon de voir et revoir sans la moindre modération.
    Ricco92
    Ricco92

    223 abonnés 2 148 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 mars 2020
    LE western mythique ! Alors qu’il pensait en avoir fini avec le genre après Le Bon, la brute et le truand, Sergio Leone est amené à y retourner et décide d’en offrir une sorte de version ultime. Chaque séquence est poussée vers le grandiose et le prouve dès les quatre premières séquences de présentation qui sont chacune complètement mythique spoiler: (l’affrontement entre les tueurs de Frank et Harmonica, l’assassinat de la famille McBain par Frank et ses hommes, l’arrivée de Jill et sa traversée de l’Ouest, l’introduction de Cheyenne qui se trouve confronté à Jill et Harmonica)
    .
    Ainsi, Leone utilise chaque élément dont il dispose pour offrir du pur cinéma : chaque cadre est extrêmement travaillé et réfléchi ; les costumes et les décors, du plus petit détail au plus gigantesque (Monument Valley en hommage au western classique et surtout à John Ford), également ; le travail sur le sons atteint des sommets notamment en jouant sur le silence spoiler: (la première séquence, servant de générique, reste mythique pour cela ; les grillons qui s’arrêtent annonçant la présence des hommes de Frank à la ferme des McBain…)

    Pour ce qui est du son, il est impossible de ne pas évoquer la sublime musique d’Ennio Morricone. Le compositeur italien atteint le sommet de son art et l’aboutissement de son travail sur le western. Chaque "héros" possède son propre thème et tous sont monumentaux tout comme le reste de la bande originale. Leone considère Morricone comme un coauteur du film et applique une méthode rare (la musique est composée en amont et, le son étant postsynchronisé, est diffusée en direct sur le plateau pendant le tournage des séquences) permettant d’accorder parfaitement la musique et la mise en scène.
    Même si on pourrait regretter que la partie centrale semble être traitée trop rapidement pouvant donner l’impression de trous dans la narration (pourquoi Harmonica et Cheyenne ne tuent-ils pas Morton aussitôt ?), le tout atteint des sommets et est un aboutissement de la vision que possède Leone de l’Ouest. Ainsi, même si les méchants absolus sont clairement Morton et surtout Frank, aucun personnage n’est irréprochable spoiler: : Cheyenne est un criminel évadé, Jill était une prostituée et n’hésite pas à s’offrir à l’homme qui a tué son mari pour survivre, Harmonica trahit Cheyenne (rappelant en cela les rapports Blondin-Tuco du Bon, la brute et le truand)
    . L’Ouest est un monde qui s’est construit sur la violence et le machisme. Ce dernier aspect est pour une fois souligné par Leone en offrant un des principaux rôles (voire LE principal) à une femme (Jill) spoiler: qui, après avoir subi de multiples violences, sera finalement présentée comme un des éléments positifs du nouveau monde en construction (elle materne les hommes installant les rails de chemin de fer dans la séquence finale)
    .
    Les acteurs de leurs côtés ne seront jamais aussi sublimes que sous la caméra de Leone : Claudia Cardinale, Henry Fonda, Charles Bronson, Jason Robards… Tous sont à leurs paroxysmes bien qu’ils possèdent tous une sacrée carrière.
    Que dire donc d’autre d’Il était une fois dans l’Ouest que tout y est mythique et que Leone y atteint des sommets (même si certains pourront lui préférer la trilogie des dollars pour sa plus grande présence de l’humour). Et pourtant le cinéaste sera capable de livrer un film peut-être encore plus grand avec Il était une fois en Amérique.
    bobmorane63
    bobmorane63

    188 abonnés 1 963 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 août 2011
    Le plus beau Western de l'histoire du cinéma !!! Un ovni signé par le maitre Sergio Léone qui nous fait passer du rire aux larmes avec la musique magnifique du compôsiteur Ennio Morricone qui y est beaucoup dans la réussite du film et les moyens énormes sont mis en oeuvre comme les paysages desertiques sublimes et un scénario énigmatique et intelligent qui nous fait vibrer de palpitation de plus de 2 heures 30 sans fausses notes. L'histoire tourne autour de quatre personnages, la veuve qui revient au pays apprenant soudainement la mort de sa famille tués froidement incarné avec glamour et gravité par Claudia Cardinale, le tueur sans scrupules incarné par Henry Fonda dont c'est le premier role de méchant au cinémla et l'un des meilleurs de sa carrière, le curieux personnage de l'homme à l'harmonica malin interprété par Charles Bronson dont le regard en dit long et Jason Robards, vieux barbu truand au grand coeur. C'est remarquablement filmé, des gros plans sur des visages de cowboys mal rasés au regard d'acier, c'était le Western spaghetti de la grande époque. Tout est sublime dans le film, Sergio Léone était un cinéaste de génie qui nous manque beaucoup, des réalisateurs de sa trampe, on en voit pas beaucoup aujourd'hui. "Il était une fois dans l'Ouest" est un pur chef d'oeuvre.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    93 abonnés 1 549 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2018
    "Il était une fois dans l'Ouest" est l'un des classiques des western des années 60. A ce titre, il a eu l'immense privilège d'être sélectionné par le National Film Registry pour être conservé à la Bibliothèque du Congrès. Je parle bien d'immense privilège car seuls 700 films sur toute l'histoire du cinéma ont eu cet honneur pour le moment.

    Il faut dire que le film le mérite. Si le début peut effrayer par sa lenteur (et, disons le, son ennui), lorsque l'homme à l'harmonica débarque enfin, il va dynamiser le film. Ce dernier va briller par ses répliques géniales (on dirait presque du Audiard parfois), son jeu tout en retenue et sa présence magnétique. Le choix de Charles Bronson pour l'incarner était donc plus que judicieux.

    Face à lui, beaucoup d'autres acteurs talentueux dont Henry Fonda, tout autant magnétique, et Claudia Cardinale dans un personnage plus complexe qu'il n'y paraît.

    L'apparition de ces acteurs est intensifiée par un thème musical qui a traversé les époques et qui est connu même de ceux qui n'ont jamais vu le film. La bande originale composée par Ennio Morricone se vendra même à environ 10 millions de copies !
    Sans elle, le film ne serait pas le même. Plusieurs thèmes reviennent comme un leitmotiv mais leur présence n'est pas agaçante. Au contraire, elle intensifie le jeu des acteurs et les sentiments ressentis par les spectateurs.

    Si le scénario n'est, lui, pas extraordinaire et tient plutôt sur une feuille de papier A4, le film peut compter sur la réalisation magistrale et la folie des grandeurs de Sergio Leone qui n'hésita pas à faire tourner ses acteurs dans des décors naturels, par 50 °C (la sueur sur leurs visages lors des gros plans est donc naturelle ...).
    Vincent B
    Vincent B

    15 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 janvier 2021
    Le plus grand western de tout les temps
    Des acteurs au top une réalisation au top une musique magistrale tout est réunis dans ce film
    Un pur chef d'oeuvre
    Julien D
    Julien D

    1 196 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2013
    Véritable point de croisement entre les approches américaines et italiennes du western, Il était une fois dans l’ouest devient en tant que tel un phénomène cinématographique incontournable et une peinture étonnamment tragico-épique d’un univers en pleine transition. Son scénario, auquel ont participé Dario Argento et Bernardo Bertolucci, est en effet une image d’un pays qui, de l’état de territoire où la liberté s’est muée en barbarie, va entrer dans une ère d’industrialisation au risque d’y perdre son identité propre, autrement dit la fin de ce rêve américain jamais atteint. Le héros qu’incarne Charles Bronson, un être iconique, anonyme et en quête de vengeance, figure récurrente du western spaghetti, mais aussi Le cheyenne et Frank, respectivement interprétés par Jason Robards et Henry Fonda, sont en effet les symboles de cet univers régi par la loi du plus forts, personnages qui disparaitront un à un pour laisser place, dans sa magnifique scène finale, à un immense chantier où, au milieu des hordes d’ouvriers harassés, se meut la splendide Claudia Cardinale. Ce ne sont tous là que des acteurs terriblement charismatiques, peut-être dans les meilleurs rôles de leurs carrières, même si le fait de voir Henry Fonda, jusque là enfermé dans son image de gendre idéal, dans la peau d’un criminel sans scrupule a pu heurter le public américain. La lenteur à laquelle nous est racontée l’histoire n’est en rien préjudiciable tant elle nous permet de profiter la beauté avec laquelle Sergio Leone filme ses personnages et ses immenses décors désertiques, faisant de chaque scène un moment de cinéma mythique, et ce dès son générique d’ouverture, le plus long de l’histoire du cinéma, où l’enivrante musique d’Ennio Morricone accompagne des images tout aussi inoubliables. Le ton dramatique que cette fresque légendaire a su apporter au genre relève ni plus ni moins de la révolution artistique.
    Kalie
    Kalie

    60 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2015
    Des séquences mythiques pour un film inoubliable pour peu que l'on ne soit pas réfractaire au style de Sergio Leone (lenteur, silence oppressant). La longue scène d'ouverture avec l'attente de l'arrivée du train en gare donne le ton. Henry Fonda, Claudia Cardinale et Charles Bronson constituent une distribution de rêve. Les seconds rôles ont tous la gueule de l'emploi. Et le film gagne en ampleur avec la musique d'Ennio Morricone.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 196 abonnés 7 501 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2011
    Véritable chef d’œuvre du 7ème Art en matière de western, alors que l’on pensait avoir tout vu de la part du cinéaste, surtout après sa remarquable trilogie de « L’Homme sans nom » avec Pour une poignée de dollars (1966), Et pour quelques dollars de plus (1966) & Le Bon, la brute et le truand (1968), Sergio Leone prouve qu’il a encore de la ressource avec Il était une fois dans l'Ouest (1969).
    Enième western spaghetti, sans la présence de Clint Eastwood, mais admirablement porté à l’écran par un trio hors pair, à savoir : Charles Bronson, Henry Fonda & Claudia Cardinale.
    Le cinéaste nous bluffe par sa mise en scène, ses célèbres cadrages et ses gros plans sur ces fameuses gueules burinés par le soleil. Crépusculaire et contemplatif, Leone continu sans cesse de captiver grâce à la magie de ses westerns, sans oublier l’arme ultime qu’il dégaine à chaque fois, la B.O qui fait toute la différence, avec ici, les célèbres airs d’harmonica, que l’on doit au maestro, celui que l’on ne présente plus : Ennio Morricone !
    7eme critique
    7eme critique

    530 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mai 2015
    Rien que la scène d’introduction annonce à elle seule un très grand moment de cinéma ! Après sa trilogie du Dollar terminée en apothéose avec "Le bon, la brute et le truand", Sergio Leone nous propose encore un film dantesque avec ce "Il était une fois dans l'Ouest". Une réalisation d'une main de maître, un scénario prenant, un casting aux gueules fabuleuses (Fonda, Bronson...), et bien évidemment, l'inoubliable composition d'Ennio Morricone...quelle bande son ! Bercé par l'harmonica et le son des revolvers, Leone offre une fois de plus au spectateur, un western digne de ce nom, voire carrément une référence en la matière. Somptueux !
    Jerem69tt
    Jerem69tt

    103 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2015
    Le western n’est pas mon type de film préféré, mais ce Once upon a time in West est plutôt bon. Pourtant il est très lent et long sur le début avant que l’histoire ne se mette en place mais se rattrape un peu après avec un quatuor de personnages (la femme, le bon, le méchant gentil et le méchant méchant (pour résumer)) qui tiennent vraiment bien leur rôle et qui donnent à ce film l’ambiance western qui reste si particulière et unique. Le scénario est intéressant, l’action également. On regrattera quand même ce manque de rythme et ces quelques longueurs mais ce western spaghetti, bien que légèrement moins connu que le bon, la brute et le truand est de niveau quasi équivalent.
    Typi35
    Typi35

    49 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2010
    Si on croyait qu'un western de Sergio Leone ne pouvait exister sans Clint Eastwood, Charles Bronson nous prouve le contraire. Une mise en scène incroyablement organisée et un scène devenue -à égalité avec une autre...- la plus poignante du genre.
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