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    Le Colosse de Rhodes
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    2,7
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    40 critiques spectateurs

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    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    131 abonnés 2 230 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 mars 2018
    PERIODE PEPLUM. On attaque la période péplum de Sergio Leone dont suivra Sodomme et Gomorrhe. De loin, la moins bien matrisé. Heureusement, la suite sera beaucoup plus passionnante.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    239 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 novembre 2009
    En pleine Antiquité, un héros grec, Dario, voyage jusqu’à Rhodes pour prendre du repos. Des charme féminin et des festivités fastueuses disposés par le roi, Dario va très vite se basculer dans une lutte armée qui oppose des révolutionnaires à la cour royale. A cet affrontement aux ressorts politiques s’ajoute la trahison du confident royal qui pactise avec les Phéniciens pour s’emparer du trône. «Il colosso di Rodi» (Italie, 1960) compte comme la première réalisation de Sergio Leone. Attelé au péplum avant de s’engager dans le western cinq films durant, Leone superpose une masse importante de références. Il est toujours très intéressant de deviner l'origine des images qui innerve l’imaginaire d’un premier long-métrage. Pêle-mêle, Leone invoque l’incunable Giovanni Pastrone et son «Cabiria» (avec la gueule en flamme dans laquelle sont jetés les prisonniers), Lang, de «Metropolis» à son diptyque «Das Indische Grabmal». Influencé, «Il colosso di Rodi», malgré sa globale médiocrité, influencera à son tour un autre film de Leone, «Giù la testa». Comme Juan Mirando dans «Giù la testa», Dario est de souche étrangère au sol où se déroule l’aventure. Il sera pris dans le flux des évènements, malgré son désir. Leone ira même jusqu’à filmer dans les deux films le plan semblable d’une foule de paria qui s’amasse dans un sous terrain. Le plus étrange, en vue de l’ensemble de l’œuvre de Leone, c’est que le dénouement du film repose sur une croyance envers la volonté divine. Le tremblement de terre et la pluie diluvienne qui anéantissent les rebelles autant que le pouvoir royal sont le fruit du divin. «Il colosso di Rodi» axe son regard vers une croyance religieuse. Sans dieu, pas d’issu aussi joyeuse (avec ce plan final qui renvoie à l’exode hébraïque). Or les six films que réalisera par la suite Leone s’attachent à composer un monde délaissé de tout divin.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 154 abonnés 5 140 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 octobre 2024
    Jalousie et complot au cœur de ce péplum passionnant.
    Le récit qui s’articule autour de la fameuse statue mythique lui donne un grand souffle épique.
    On rajoutera aussi les poursuites des innocents et surtout les combats finaux plein de fougue.
    VOSTTL
    VOSTTL

    96 abonnés 1 939 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mai 2024
    Des péplums, j’en ai vu de « Ben Hur » (1959 William Wyler) à « Agora » (2009 Alejandro Amenábar), de « La terre des Pharaons » (1955 Howard Hawks) à « Gladiator » (2000 Ridley Scott), de « Cléopâtre » (1963 Joseph Leo Mankiewicz) à « Troie » (2004 Wolfgang Petersen), de « Quo Vadis » (1951 de Mervyn LeRoy) à « 300 » (2007 Zack Snyder) en passant par « Spartacus » (1960 Stanley Kubrick) et « Caligula » (1979 Tinto Brass) ou encore « Alexandre » (2005 Oliver Stone).
    Evidemment, la liste est longue et je pourrais souler mon monde en y ajoutant des séries comme « Spartacus », « Barbarians » ou « Rome ».

    Comparé à ce que j’ai enduré ces derniers temps « Hercule se déchaîne », « La vengeance d’Hercule », « Les derniers jours d’Herculanum », « Cléopâtre, une reine pour César » et « Ponce Pilate » - les deux derniers sont acceptables, « Le colosse de Rhodes » est au-dessus du lot. Même si ça blablate, je ne m’y suis pas trop ennuyé.
    C’est Sergio Leone qui est aux manettes.
    Cela sous-entendrait-il que c’est une valeur sûre ?
    Pourtant, ce n’était pas évident, c’était son tout premier film en tant que réalisateur à part entière. A cette époque, nous ignorions tous que Sergio Leone allait apporter une pierre importante à l’édifice du cinéma.
    Quand il a commencé son « Colosse de Rhodes », Sergio Leone a fait ses armes dans le péplum avec « Quo Vadis » comme technicien et comme co-réalisateur pour « Les derniers jours de Pompéi ».
    Et quelque part, ça se sent un peu même si son péplum reste dans l’esprit de ceux que j’ai cités ci-dessus, naïf et bavard.
    Toutefois, ses nombreux figurants sont nettement plus concernés que les films cités. On sent une implication et un suivi à tous les étages de son film.
    Une impression de rigueur…
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 2 janvier 2007
    Pour son premier film, Sergio Leone réalise un péplum, dans la veine des plus réussis, mais à aucun moment on sent naître l'art du père d'"Il était une fois en Amérique". Un film secondaire, mais techniquement à la hauteur de l'enjeu.
    Benjamin A
    Benjamin A

    713 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 février 2022
    Si Sergio Leone fait fi de la réalité historique (et ce jusqu'au costume) lorsqu'il met en scène Le Colosse de Rhodes, et ce n'était de toute façon pas forcément son objectif, il propose tout de même un péplum intéressant à plus d'un titre.

    Celui qui inaugurera et popularisa le western-spaghetti dès son film suivant, en est ici à son second long-métrage, un film qu'il a pris plaisir à tourner et où il apparaît à quelques reprises en tant qu'acteur parmi les foules. C'est le premier film qu'il a totalement à sa charge et si ça ne saute pas aux yeux, on retrouve quelques aspects qui deviendront typique de son cinéma, à l'image de la duplicité humaine ou tout simplement d'avoir un protagoniste qui se retrouve au milieu d'un conflit qui ne le concerne pas dans un premier temps.

    Alors, Le Colosse de Rhodes ne laisse pas un souvenir forcément marquant, il lui manque principalement un souffle, une vision moins académique ou tout simplement l'alchimie que Leone trouvera dans les six films qu'il tournera par la suite. On passera aussi sur quelques passages trop longs et un ensemble qui manque finalement de tension ou d'émotion, mais on a là un film qui n'hésite pas à aller loin, à proposer de grandes scènes, qui tente d'insufler un souffle épique à cette histoire mêlant trahison et révolte.

    Sergio Leone démontre déjà tout un savoir-faire, quelques séquences d'actions sont superbes, tout comme la traversée de Rhodes à cheval ou les percées au cœur de la ville ou sur le port. Les personnages sont intéressants, s'inscrivent dans une histoire qui l'est tout autant, avec des péripéties, surtout au milieu du récit, très bien amenés. Leone joue bien avec l'espace et les mouvements de foules, et sublime de somptueux décors. Devant la caméra, l'américain Rory Calhoun est charismatique en Darios, et la jolie Lea Massari lui rend très bien la réplique.

    Le Colosse de Rhodes marque la fin du péplum pour Sergio Leone, qui s'en ira dépoussiérer le western par la suite, et c'est avec démesure qu'il dit adieu à ce genre, offrant un film imparfait mais généreux.
    Shiba Otoko
    Shiba Otoko

    46 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 avril 2024
    Ce film est un sommet du péplum kitsch des années 1950-1960. L'intrigue proposée est assez faible en soi, et absurde historiquement. Mais c'est une évidence, donc ceci dérange beaucoup moins que dans les oeuvres à vraie prétention historique. Ce film, dans un genre très limité, dégage une forme de charme suranné, avec ses décors, ses costumes, et se laisse voir volontiers.
    kieran_h3ld
    kieran_h3ld

    30 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2021
    Premier film de Sergio Leone, et oui ce n'est pas un western mais bel et bien un péplum. Un péplum qui traite de la chute du Colosse de Rhodes. Malgré une histoire très intéressante, Sergio Leone n'arrive pas à faire prendre une ampleur considérable au récit. Pourtant il y a de magnifiques scènes de combats et des décors extraordinaires, mais je ne sais pas, c'est très mou dans la première partie. Et puis il n'y a pas de réel plus-value par rapport aux restes des péplums de l'époque, c'est très classique. Au delà de ca comme je l'ai dit les scènes de combats sont excellentes ainsi que les décors et costumes mais aussi la performance des acteurs. Je ne sais pas si ils sont réellement connu du grand public, je suppose que non, personnellement en tout cas je ne savais pas qu'ils étaient, et bien ça prend parfaitement.
    Donc voilà un plutôt bon péplum sans plus, on ne ressent pas du tout la patte Leone, mais c'est pas si mal pour un premier film.
    cinetophone
    cinetophone

    7 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2022
    Je suis un inconditionnel de ces peplums, fastes et grandoises tournés pour le grand écran.En outre, quandj'ai sû .que sous un pseudonyme"fabriqué", se cachait le Grand Sergio LEONE, j'ai été emerveillé..
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 octobre 2006
    c'est un grand film qui m'a beaucoup emu dans mon enfance de par la richesse des decors et de l'histoire emouvante qu'il apporte; il reste encore pour moi un film culte produit par l'un des plus grands réalisateurs de l'epoque.
    je conseille vivement a tous ceux qui ne l 'ont pas vu d'explorer cette merveille
    merci
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