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Sheppard
1 abonné
20 critiques
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3,5
Publiée le 10 juillet 2021
James Bond From Russia with Love est un bon film. On retrouve le Bond de Sean Connery, une nouvelle fille, et surtout des scènes d’actions. Pourtant, ce film James Bond là est loin d’être l’un des meilleurs. L’agent 007 se fait chasser, d’accord, c’est une bonne proposition, mais par qui, comment et pourquoi ? Par qui : par un méchant, le Spectre. Pourquoi : pour un objet que Bond détient. Comment, c’est le plus important, car la mise en scène et les personnages entrent. Le Spectre utilise un plan bien ficelé pour arriver à ses fins, et se plan est vraiment bien et construit l’intrigue du film. Pourtant, durant le film, quelque chose ne va pas et on s’ennuie. Parce que la mise en scène n’est pas bien, contrairement aux personnages. Beaucoup de choses sont prévisibles, les scènes d’action sont lentes, se rallonges pour rien la plupart du temps. Le film est bien, mais c’est mou. Bref, un bon film, mais une mise en scène ennuyante.
Me voilà seulement quelques jours après avoir lancer cette aventure découverte et redécouverte des touts premiers James Bond et autant dire que j'avais une attente très vive concernant ce film-ci au vue de mon emballement pour son prédécesseur. Une joie encore une fois de mise même si je lui reconnais moins de charme. Bons Baisers de Russie ( From Russia With Love ) est toutefois d'une étoffe nettement plus garnit et relevées du même coup.
D'entrée de jeu le film joue sa partition au millimètre et capte l'attention. L'apparition des pontes du Spectre donne une nouvelle lecture au film et grandit un scénario qui n'aura de cesse de vouloir poursuivre sa transition. L'ambition du succès de son entreprise ne s'arrête pas là, bien au contraire. Les gadgets un peu rincés aujourd'hui disons-le - quoique très drôle - vont dans un sens de grand spectacle à coup de lapin dans le chapeau en veux tu en voilà et oui on aime aussi James Bond pour cet aspect là non ?
Le film en revanche s'étire un peu trop, un peu d'épure pour stimulé un rythme qui ronronne aurait eu le mérite de redynamité l'intrigue, ici c'est un peu le contraire qui se réalise. L'autre point qui alourdit considérablement ce film, la relation James / Tatiana ! Voilà le point noir, le regard sur cette dernière à force d'être aussi avilissant plombe tout intérêt à cette relation et ternit l'image de Gentlemen de l'agent 007. Oui, le film est de 1962, j'écris cela en 2021 mais quand même ... Le sort de Kerim rappel celui de Quarrel dans l'opus précédent et pose aussi un sérieux problème.
Pour toutes ses raisons le film m'a moins touché. Néanmoins, comme je l'ai écris plus haut dans cette critique le plaisir ressentit devant le film à toujours pris le dessus sur mes griefs. Sean Connery toujours aussi ajusté à par exemple de sérieux atouts entre flegme et cocasserie à faire valoir et il ne s'en prive pas, à raison. Encore une fois c'est sur le début du film qu'il s'en joue le mieux. La démonstration de force en tout genre un peu manichéenne est en cela assumé et révèle son envie de distraire et d'amuser la gallérie mais ne goute pas non plus son plaisir pour construire et innové. Les scènes sont un peu formatés pour les gouts du jour mais ses intentions sont toutefois bien visible et confère à ce film encore un plus d'aura tant il en a influencé depuis. Mention spéciale à cette partie d'échecs.
J'attends maintenant le moment propice pour découvrir Goldfinger, d'ici peu je le sais déjà tant je suis une nouvelle fois impatient de poursuivre cette suite de films consacrés à James Bond.
L’organisation du SPECTRE tend un piège aux services secrets britanniques afin de récupérer un lecteur de chiffrement des données. James Bond (Sean Connery) est en charge de la mission, il doit rentrer en contact avec Tatiana (Daniela Bianchi), utilisée par le SPECTRE sans le savoir. L’histoire est globalement assez alambiquée, compliquée et fouillie. J’ai trouvé certaines scènes assez inutiles comme le combat de femmes dans le camp tzigane. La James Bond Girl n’est pas antipathique mais pas très charismatique non plus. Il y a moins d’humour que dans le premier film. En termes de suspens, malgré les nombreuses scènes d’action, ce n’est pas haletant, il y a moins de tension que dans le premier. Le film passe et on ne s'ennuie pas pour autant mais ce n’est pas trépidant et l’intrigue compliquée n’aide pas.
Deuxième aventure cinématographique de James Bond, et la recette, bien que pas encore tout à fait mature (c'est avec "Goldfinger" qu'elle le deviendra), commence à prendre. On retrouve ainsi les embryons de ce qui deviendront les gimmicks de la franchise. Une séquence pré-générique courte mais efficace (qui n'a pas été filmée comme telle et fut intégrée ainsi au montage). Un générique sans chanson, mais avec une recherche esthétique (noms projetés sur des corps de femmes dansant) et une musique qui ne se limite pas au thème de James Bond. Des gadgets inventifs, etc. Au-delà de ces éléments formels, "From Russia with Love" est un film d'espionnage remarquablement bien mené. Le scénario joue avec les tensions de la Guerre Froide et l'atmosphère du Bosphore, 007 se rendant à Istanbul pour tenter de dérober un appareil de cryptage soviétique, tout en étant manipulé par SPECTRE. Filatures, coups-fourrés, séduction, bagarres seront au menu ! S'il on déplorera la superficialité criante de la bond girl incarnée par Daniela Bianchi, Sean Connery a toujours une classe insolente en 007 macho et sûr de lui. Pedro Armendáriz (décédé peu après le tournage) campe quant à lui un personnage secondaire amusant et particulièrement attachant. Tandis que Robert Shaw est inquiétant en second couteau redoutable. Ce dernier fait perdre sa superbe à James Bond, le temps d'une séquence de train particulièrement efficace, au montage incroyablement riche et dynamique pour l'époque. "From Russia with Love" est donc un beau film d'espionnage, dont le succès lancera la Bond mania, et permettra à la franchise de partir sur des budgets plus élevés pour les suites.
La mythologie Bond est en place après cette deuxième aventure du célèbre agent britannique. Moins de charme que son prédécesseur mais plus efficace et brutal, cet opus confirme le charme ravageur de Sean Connery, résolument parfait dans le rôle. Le tout assaisonné d'une bonne pincée de mysoginie...
Bon baiser de Russie est le second épisode de la saga James Bond et marque le véritable lancement de cette série. Déjà en 1963, l’ambition des producteurs est palpable, avec ce héros qui voit un univers se créer autour de lui. L’histoire fait suite à Docteur No, une organisation secrète dirige le monde et en veut à notre héros, et une suite est déjà annoncée au générique final. Les codes créés lors du premier volet sont ici accompagnés des fameux gadgets de l’agent 007. Toutes les références de James Bond sont bien présentes dans ce très bon film d’espionnage, un film en avance sur son temps !
En 1963, Terence Young revient avec son célèbre agent secret britannique. Deuxième film de la saga « James Bond », il s’agit certainement du meilleur épisode avec Sean Connery en raison d’un scénario plus dense. En effet, l’intrigue ne repose pas seulement sur une affaire d’espionnage mais sur le plan machiavélique du chef du SPECTRE pour éliminer 007. Ce dernier est accompagné d’une charmante consœur soviétique (Daniela Bianchi) qui donne une note de romantisme plus sincère que d’habitude. Bref, ajoutons à cela les scènes d’action dans l'Orient-Express particulièrement réussies et nous avons le droit à un bon divertissement.
Bon 2eme film. Les gadgets sont enfin là, SPECTRE fait son apparition. Par contre il n'y a pas de figure faisant office de grand méchant c'est dommage.
deuxième volet des aventures du plus célèbre des espions. cet opus nous permets d approfondir les rouage du SPECTRE mais présente quelques longueurs tandis que le premier volet paraissait plus rythmé.
Après le succès aussi phénoménal qu'inattendu de "James Bond contre Docteur No", les producteurs Harry Saltzman et Albert R. Broccoli, conscients d'avoir entre les mains avec Sean Connery et les romans de Ian Fleming un filon en or, décident de mettre aussitôt en chantier un second épisode des aventures romanesques de l'espion de sa Majesté. Terence Young qui avait si bien exploité toutes les potentialités du personnage dans le premier opus est naturellement de la partie. L'équipe est quasiment similaire et c'est une nouvelle fois Richard Maibaum qui se charge d'adapter ce cinquième roman de la saga alors encore prénommé "Echec à L'Orient Express". L'intrigue doit être simplifiée pour rester dans l'esprit recherché qui est avant tout de faire rêver le spectateur. On quitte la Jamaïque et Ursula Andress pour rejoindre Istanbul et la toute aussi ravissante Daniela Bianchi, mannequin et dauphine au concours de Miss Univers en 1960. Les canons de la saga encore toute récente continuent de se mettre en place comme l'arrivée de "Q" (Desmond Llewelyn) qui avant chaque mission présente à l'agent 007 les gadgets inédits qui lui permettront de mener à bien sa mission. Si l'exotisme est toujours présent, on notera que l'intrigue plus robuste et mieux équilibrée que celle de "Docteur No" donne plus de relief à ce deuxième épisode qui dans l'esprit de beaucoup des fans de James Bond est considéré comme le plus accompli. Difficile toutefois de le comparer avec les derniers du genre qui ont mis quasiment fin avec Daniel Craig dans le rôle titre à la décontraction qui nimbait chacun des épisodes qu'ils soient plus ou moins réussis. Autres temps, autres mœurs. On notera de manière anecdotique que le tournage fut lui aussi très mouvementé. L'acteur mexicain Pedro Armendariz tomba très gravement malade sur le tournage, obligeant à un aménagement drastique de son emploi du temps pour lui permettre de finir le film. Il se suicidera quelques jours après avoir fini ses dernières scènes. Enfin Terence Young lors de prises de vue aériennes se retrouvera avec son hélicoptère au fond de l'eau, réussissant à s'extraire in extrémis du cockpit.
Le SPECTRE voit rouge puisque l'un de ses membres est mort. Pour se venger quoi de mieux qu'utiliser une potiche (D. Bianchi) pour appâter 007 (S. Connery) qui se retrouve en pleine guerre des espions a Istanbul. Courses-poursuites, méchants machiavéliques, combat a mort dans un train et pointe empoisonnée... Tout un arsenal pour faire de cette sequelle la digne suite de JAMES BOND CONTRE DR. NO.
Très bon opus, un classique de la saga James Bond. Sean Connery incarne un 007 des plus séduisants, avec la classe qu'on lui connaît, très bon dans son jeu, sans faute. La jolie Daniela Bianchi qui l'accompagne est délicieuse en James Bond girl. L'histoire est palpitante, le tout bien filmé, dans des décors fabuleux (notamment les panoramas d'Istanbul, de Venise...). Un opus qui traverse bien les décennies, et dire qu'il date de 1963 !
Pas un très bon film. Mais, on se fait une meilleur idée de l'ampleur du SPECTRE, de comment ils se repèrent les uns aux autres (ils ont chacun un chiffre différent) et on comprend que cette organisation criminelle va devenir un ennemi récurrent. Mais, ça n'en fait un très bon film, ça en fait un très bon nanar. L'action est ridicule et mollassonne, les personnages caricaturaux... Surpris de voir Robert Shaw. Film à voir au second degré.
2ème volet des aventures de 007. Tellement d'incohérence que ça en devient risible : - Un espion qui passe derrière vous à 2m et qui vous colle pas une balle dans le dos, - J'ai des grenades, une mitrailleuse, dans un hélico mais je cherche à "écraser" la personne, - 007 se retrouve deux fois en joue mais non, il s'en sort d'une extrême facilité, - un coup de poing est sensé assommer une personne.
Enfin on peut encore continuer, et que dire du rôle des femmes. C'est vrai il a été tourné en '63, l'amoureuse transi c'est vraiment plus à la mode "les femmes obéissent".
Seul point positif c'est qu'il y a une bonne interprétation. Sean et Daniela tiennent bien leurs rôles. D'ailleurs c'est peut-être pour ça qu'on arrive à la fin du film avec beaucoup de patience...