Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
4,0
Publiée le 9 novembre 2008
2éme adaptation des romans de Ian Fleming du désormais plus célèbre agent secret. La saga prend ses marques, quelques éléments clés de la série aparaissent (Q, les gadgets, Blofeld-que l'on ne nomme pas encore- le chef du SPECTRE, différents lieux pour l'action...), pour faire de ce "Bons baisers de Russie" un des meilleurs 007 encore 40 ans après sa sortie, un film d'espionnage avec un grand E.
Que de progrès depuis Docteur No. Nous avons là un scenario de tout premier ordre, peut etre le meilleur de toute la série. Les méchants sont très reussi, rosa kleb, Grant (joué par un robert shaw en blond peroxidé!! souvenez vous du vieux marin des dents de la mer). Sean Connery en pleine forme qui affine encore un peu plus son personnage. Pour moi ce Bond est le meilleur de l'ère Sean Connery et c'est le dernier avant le gigantisme vers lequel la franchise va évoluer. Une page se tourne en beauté.
L'un des meilleurs de la saga, indéniablement. Première suite, Bons baisers de Russie possède tous les ingrédients qui feront le succès de la saga et ce, avec simplicité et brio : l'arrivée de Q (alors appelé Major Boorthroyd) et de ses gadgets, ici peu excentriques et assez réalistes, la présentation du bureau et de la chère Miss Moneypenny, que l'on verra passionnément amoureuse de Bond mais aussi les distances que prend 007 avec les femmes, tour à tour charmeur mais également macho à ses heures. L'histoire est quant à elle rebondissante du début à la fin, grâce à un scénario d'espionnage malin et sophistiqué, des personnages immédiatement attachants (dont la magnifique Daniela Blanchi et l'imposant Robert Shaw, ici aussi sympathique que dangereux) mais aussi des scènes d'action à couper le souffle, comme l'attaque de l'hélicoptère empruntée à La mort aux trousses de Hitchcock ou encore le mémorable combat final dans le train, devenu depuis un classique du genre. Bons baisers de Russie surpasse donc de loin son prédécesseur Dr. No et fait concrètement transformer Bond en un héros de légende.
Début très moyen, milieu bordélique et chiant, une bonne partie finale. Tatiana, la James Bond girl, est comme toujours une bombe sexuelle. Franchement, cette histoire de Spectre, ça commence à me glonfler façon ballon de baudruche le 14 juillet.
En pleine Guerre Froide, le MI6 se voit confier la mission de convoyer à l’Ouest une employée du consulat soviétique ayant en sa possession le "Lektor" (un lecteur de déchiffrement top secret conçu par les russes). Sauf qu’en réalité se cache une mystérieuse machination…
Après la première adaptation sur grand écran (James Bond 007 contre Dr. No - 1962) des aventures de l’agent double-zéro et son succès au box-office, les producteurs de l’époque s’empressa de mettre en chantier une seconde adaptation de l’un des romans (publié en 1957) de Ian Fleming.
Pour l’occasion, Terence Young retrouve Sean Connery, avec un budget bien plus conséquence (cela s’en ressent) et nous entraîne jusqu’en Turquie, à bord du fameux train de l'Orient-Express. Bons Baisers de Russie (1963) vient laver l’affront du premier film qui nous avait quelque peu déçu. Ici, on retrouve réellement ce qui va faire la force et de l’univers bondien au cinéma, avec de vrais méchants, une intrigue solide et l’action qui ne démérite pas (la scène de l’hélicoptère ou encore la rencontre avec Robert Shaw et le huis clos qui s’ensuit dans la cabine du train). Oubliez l’exotisme de la Jamaïque et faite place à la froideur paranoïaque des soviétiques.
Alors certes, le film n’est pas exempt de défauts et a tendance à se perdre en circonvolutions (120min de métrage qui aurait pu se voir raccourcir sans que cela n’impacte le film), notamment la séquence chez les gitans qui n’apporte strictement rien de plus à l’intrigue principale (si ce n’est de nous rappeler à quel point l’univers bondien peut être machiste).
Un nouvel opus qui prend ses marques par rapport au précédent, avec un Sean Connery toujours aussi efficace et crédible dans le rôle de 007.
Un excellent James Bond, qui se classe dans les meilleurs et qui est encore aujourd'hui, 40 ans après, un plaisir à regarder. L'interprétation est excellente : Sean Connery est très à l'aise dans son costume d'agent secret, une James Bond Girl (Daniela Bianchi) superbe et bien dans son rôle et des méchants également très convaincants. Ce qui fait surtout l'enchantement de cet opus, c'est le rythme du film : des scènes d'action sans tomber dans la profusion d'effets spéciaux, de l'émotion bien dosée (entre James et sa copine), un suspense bien amené et tout cela servi par une musique grandiose. L'intrigue, influencée par un contexte très présent de guerre froide, laisse se dévoiler le SPECTRE et son n°1. En conclusion, un James Bond qui est une référence du genre. A voir et à revoir ...
Apres le succès de "James Bond contre Dr No", Sean Connery est de retour dans "Bons Baisers de Russie" Enfin, nous découvrons les premiers gadgets dans ce film où l'action est présente mais malgré celà, il ne fait pas le poids avec le premier film à cause d'un scénario moyen, on ne voit pas la tête du grand méchant, le numéro 1. Daniela Blanchi est moyenne en James Bond girl, Ursula Andress était bien meilleur et plus sexy. Un film pas indispensable mais qui mérite ses deux étoiles.
Pour sa deuxième aventure, Bond nous gratifie d'une de ses plus grandes formes. Peu de scènes d'actions mais toutes impressionantes. Sean Connery incarne à la perfection la classe britannique et Daniela Bianchi, dont la carrière commença et s'acheva avec ce film, est un atout charme de taille.
Un excellent bond comme tous les autres d'ailleurs. Un Sean connery toujours aussi bon dans son role de bond que dans les autres qu'il a joué.Dommage que l'on ne voit pas la tete du grand ennemi numéro 1 de bond durant le film.
Second volet de l'agent secret beaucoup plus maîtrisé dans son scénario et sa réalisation. La musique n'est plus sans rapport avec ce qui est à l'écran comme pour le premier opus et sert bien le film. Les gadgets font ici leur apparition sans encore tomber dans le kitch que l'on connaîtra plus tard et il plane un humour léger tout au long du film très appréciable. Un opus de qualité.