Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
Au bout de cinq minutes, impossible de décrocher. Car l'intelligence du réalisateur est d'avoir fait du skate le fil rouge de son film. (...) Marten Persiel, le réalisateur, use de tous les formats, de tous les genres, ose même le dessin animé pour servir au mieux son propos. Et le résultat est juste épatant.
CinemaTeaser
par La Rédaction
Entre roman d'apprentissage et film d'espionnage : passionnant.
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
La singularité de Derrière le mur, la Californie est d’ouvrir une page inconnue de l’histoire allemande, une vision colorée en riposte à la grise Allemagne de l’Est et de la rendre universelle pour tous ceux qui ont voulu déroger à la morosité du quotidien quel qu’il soit.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un récit d’apprentissage, filmé par les personnages eux-mêmes en Super -8, qui est aussi un passionnant documentaire sur le pays et l’époque.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Plus qu’un long métrage sur le skate, "Derrière le mur, la Californie" est un hommage à la liberté et à la jeunesse. Un premier film prometteur, à la bande-son rock’n’roll, qui se révèle même parfois émouvant
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Sophie Bourdais
Aucune ambiguïté sur les reconstitutions en dessin animé, bien sûr. Mais les séquences jouées, filmées en super-8, peuvent passer pour de vraies archives. (...) Ces ambiguïtés ne nuisent jamais à la qualité du film, hybride et passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
Soutenue par une BO d’enfer, la replongée parfaitement représentative dans le Berlin alors scindé en deux des années 80, tire profit d’un charme nostalgique indéniable. (...) Au final on tient avec Derrière le mur, la Californie un documentaire de culture underground très réussi.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Noémie Luciani
"Derrière le mur, la Californie" fait un portrait à peine mélancolique des jeunes skateurs (...) Le tissage des formes et des modes de narration auquel il se livre a des moments hasardeux, mais plus souvent poétiques, et son exubérance offre un bel écho au besoin fou de liberté de la génération qu'il peint.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Malgré ses maladresses, un document intéressant, parfois assez jubilatoire, sur les secousses qui ont achevé de fissurer le mur.
Première
par Hendy Bicaise
La piste est intéressante, mais seulement abordée dans l’épilogue. Avant cela, le film se résume à une succession d’anecdotes triviales et de figures modestes captées en super-8.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Théo Ribeton
Il aurait peut-être été préférable (...) de faire preuve d’une plus grande maturité en conciliant le développement des enjeux du mouvement tout en mettant en perspective son influence réelle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une bonne partie du film est fabriquée de toutes pièces : images en faux super-8 fruste sur les frasques d’un skateur nommé Panik — incarné par un acteur — ; interviews factices de ses anciens camarades réunis ; pseudo témoignage d’un ancien de la Stasi. Une réalité déformée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
En mêlant images d'époque et scènes reconstituées, Marten Persiel fait preuve de légèreté et d'un manque de rigueur préjudiciable au film.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Pierre Eisenreich
Le film ne contourne pas ainsi l'écueil d'une production institutionnelle et commerciale pour ce sport auréolé d'images "vintage" et a priori subversives.
L'Express
Au bout de cinq minutes, impossible de décrocher. Car l'intelligence du réalisateur est d'avoir fait du skate le fil rouge de son film. (...) Marten Persiel, le réalisateur, use de tous les formats, de tous les genres, ose même le dessin animé pour servir au mieux son propos. Et le résultat est juste épatant.
CinemaTeaser
Entre roman d'apprentissage et film d'espionnage : passionnant.
Culturopoing.com
La singularité de Derrière le mur, la Californie est d’ouvrir une page inconnue de l’histoire allemande, une vision colorée en riposte à la grise Allemagne de l’Est et de la rendre universelle pour tous ceux qui ont voulu déroger à la morosité du quotidien quel qu’il soit.
Le Dauphiné Libéré
Un récit d’apprentissage, filmé par les personnages eux-mêmes en Super -8, qui est aussi un passionnant documentaire sur le pays et l’époque.
Le Journal du Dimanche
Plus qu’un long métrage sur le skate, "Derrière le mur, la Californie" est un hommage à la liberté et à la jeunesse. Un premier film prometteur, à la bande-son rock’n’roll, qui se révèle même parfois émouvant
Télérama
Aucune ambiguïté sur les reconstitutions en dessin animé, bien sûr. Mais les séquences jouées, filmées en super-8, peuvent passer pour de vraies archives. (...) Ces ambiguïtés ne nuisent jamais à la qualité du film, hybride et passionnant.
aVoir-aLire.com
Soutenue par une BO d’enfer, la replongée parfaitement représentative dans le Berlin alors scindé en deux des années 80, tire profit d’un charme nostalgique indéniable. (...) Au final on tient avec Derrière le mur, la Californie un documentaire de culture underground très réussi.
Le Monde
"Derrière le mur, la Californie" fait un portrait à peine mélancolique des jeunes skateurs (...) Le tissage des formes et des modes de narration auquel il se livre a des moments hasardeux, mais plus souvent poétiques, et son exubérance offre un bel écho au besoin fou de liberté de la génération qu'il peint.
Les Inrockuptibles
Malgré ses maladresses, un document intéressant, parfois assez jubilatoire, sur les secousses qui ont achevé de fissurer le mur.
Première
La piste est intéressante, mais seulement abordée dans l’épilogue. Avant cela, le film se résume à une succession d’anecdotes triviales et de figures modestes captées en super-8.
Critikat.com
Il aurait peut-être été préférable (...) de faire preuve d’une plus grande maturité en conciliant le développement des enjeux du mouvement tout en mettant en perspective son influence réelle.
L'Humanité
Une bonne partie du film est fabriquée de toutes pièces : images en faux super-8 fruste sur les frasques d’un skateur nommé Panik — incarné par un acteur — ; interviews factices de ses anciens camarades réunis ; pseudo témoignage d’un ancien de la Stasi. Une réalité déformée.
Les Fiches du Cinéma
En mêlant images d'époque et scènes reconstituées, Marten Persiel fait preuve de légèreté et d'un manque de rigueur préjudiciable au film.
Positif
Le film ne contourne pas ainsi l'écueil d'une production institutionnelle et commerciale pour ce sport auréolé d'images "vintage" et a priori subversives.