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    Il était temps
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    4,2
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    631 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 janvier 2014
    Well, que dire de ce film ? L'affiche ne me donnait pas envie de le voir. Seulement c'est juste une excellente british comedy comme eux seuls savent le faire. Avoir intégré la notion de voyage dans le temps est juste génial !

    Just funny and brilliant !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 décembre 2014
    Je suis vraiment tombée sous le charme de cette jolie comédie romantique. Le thème sur le temps qui passe et le fait de profiter de la vie est abordé avec justesse. Je l'ai vu déjà 4 fois et je ne m'en lasse pas. Et Rachel Mc Adams est juste magnifique :0))
    Velma21
    Velma21

    30 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 décembre 2013
    Au pays du tea time et de la Queen Mum, la comédie romantique est presque une institution. Avec son humour décalé et ses personnages bigger than life, 4 Mariages et un enterrement avait imposé une patte typiquement British. Soit une comédie aussi drôle que charmante avec de vrais rebondissements. Un style initié par Mike Newell derrière la caméra et un certain Richard Curtis au scénario.

    Près de vingt ans plus tard, le scénariste devenu réalisateur n’a rien perdu de son savoir-faire. Comme Love Actually et Good Morning England, Il était temps (About Time) est investi d’une aura particulière. On y suit un amoureux maladroit (la révélation Donald Gleeson, déjà aperçu l’an dernier dans Anna Karenine) qui découvre que les hommes de sa famille ont le pouvoir de voyager dans le temps. Il va utiliser cette capacité insolite pour séduire les filles ou plutôt LA fille, la pétillante Rachel McAdams (vue dans Passion et A la merveille cette année). La comédienne canadienne semble d’ailleurs s’être fait une spécialité du time traveler movie puisqu’elle jouait déjà les dulcinées dans Midnight in Paris de Woody Allen et dans Hors du temps.

    Il était temps débute donc comme une comédie romantique classique avec ses grands moments : la rencontre, la première nuit, la présentation aux parents, le mariage… sauf que les capacités temporelles de notre héros lui autorisent quelques réécritures épiques et drôlissimes. Un pur bonheur narratif.

    Puis dans sa seconde partie, le film prend une nouvelle direction plus inattendue sur la famille et le travail de deuil. De simple gimmick comique, le fantastique devient un moyen d’explorer le quotidien de manière alternative. Comme le montre également Inside Llewyn Davis des frères Coen, il n’est décidément pas simple d’échapper à sa destinée.

    Durant le dernier quart d’heure, le cinéaste tire un peu trop sur la corde sensible. Ce n’était nullement nécessaire. Le sens du détail, l’amour pour ces personnages uniques (mention spéciale à Lydia Wilson qui joue Kit Kat, la sœur mi-elfe mi-être humain) et la légèreté sibylline qui parcourt tout le long métrage suffisaient à faire passer l’émotion.

    Voir d'autres critiques sur Lost in Universes.
    Ciné2909
    Ciné2909

    73 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 décembre 2013
    Il nous avait enchantés avec son Good morning England, c’est donc un plaisir de revoir Richard Curtis avec ce qui semblait être une énième comédie romantique. Ce serait sous-estimer Il était temps car s’il y est bien question d’amour, le film se permet également un petit écart dans le fantastique en dotant son héros de ce pouvoir de retourner dans le passé. Loin d’être négligeable pour un Domhnall Gleeson, gaffeur invétéré mais homme au grand cœur et donc immédiatement sympathique à nos yeux. On est charmé par la galerie de personnages, tous par leurs comportements assez décalés amèneront de nombreux éclats de rires mais vous n’êtes pas non plus à l’abri de voire quelques larmes couler sur votre visage. On va laisser mon coté fleur bleue s’exprimer avec ce Coup de cœur Ciné2909.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 décembre 2013
    J'ai beaucoup aimé ! Film frais, bien rythmé, humour très british... Du mélo mais dans une retenue toute britannique. Bref j'ai aimé ce film :-)
    Keo7
    Keo7

    4 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 décembre 2013
    Un film qui fait du bien, par le réal du grandiose "Good morning England", il y a un sacré style, c'est joliement naïf, les acteurs sont excellents (Bill Nighy!!!) c'est malin, super bien écrit. Jamais le voyage dans le temps n'aura parût aussi simple au cinéma!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 décembre 2013
    Dans le cinéma d’aujourd’hui, il faut apparemment toujours rire et pleurer à la fois. Ah ah ah : très bien. Snif snif snif : encore mieux. Dommage, c’est parfois bien aussi de faire une chose à la fois.

    On ne présente plus Richard Curtis. Equivalent grand-breton de ce qu’a été Nora Efron (RIP) à la comédie romantique américaine, il a en effet écrit, produit ou réalisé à peu près tous les films anglais du genre qui vous viennent à l’esprit à ce moment précis : Quatre mariages et un enterrement, Nothing Hill, Bridget Jones, Love Actually, … Oui, tout ça c’est lui. Le bonhomme connaît donc un peu son métier.

    Pour autant, n’allez pas croire que Il était temps est une pénible redite d’un film déjà vu 150 fois. Bon, certes, si vous n’aimez pas les comédies romantiques, c’est le cas. Vous pouvez donc arrêter de lire cette chronique et libérer les deux heures de votre agenda que vous aviez prévu de bloquer pour accompagner votre douce moitié qui vous avez promis que, cette fois, ça ne serait pas comme d’habitude.

    Pour les autres, Il était temps est pendant une bonne moitié (peut-être même deux tiers, je n’ai pas chronométré non plus) à peu près ce qui peut se faire de mieux dans le genre pourtant étroit de la comédie romantique anglo-saxonne grand public. Très enlevé, fourmillant de petites trouvailles intelligentes et intéressantes, excellemment bien écrit, le film parvient haut la main à ne pas se faire enfermer dans un précepte de départ (Tim, comme tous les hommes de sa famille, peut revenir dans le temps) que l’on a plus ou moins déjà vu un paquet de fois et qui n’a pas accouché que de chefs d’œuvre.

    Rachel McAdams joue évidemment à merveille la « girl next door », que vous ne rencontrerez bien sûr jamais dans votre immeuble (et non, il faut pas croire tout ce qu’on vous dit), comme dans à peu près la moitié de sa filmographie il est vrai, tandis que Domhnall Gleeson (je m’y suis mis à trois fois pour l’écrire) joue aussi bien qu’il est possible de le faire le grand dadais roux un peu maladroit mais terriblement attachant, Hugh Grant qui se serait teint les cheveux pour déconner en gros.

    Bon certes on voit à peine Bill Nighy une fois les premières minutes passées, ce qui est toujours un problème en soi. Et l’on a droit à la 853ème utilisation de Friday I’m in Love dans une comédie romantique : apparemment, The Cure touchent des royalties à chaque fois qu’une ménagère de moins de 50 ans rentre dans un cinéma. Mais globalement il semble bien pour une fois que ce soient dans les vieilles marmites qu’on fait les meilleures soupes, ce qui est malheureusement loin d’être toujours le cas avec les maîtres d’un genre, quel qu’il soit.

    Et puis soudain, tout change. Enfin soudain, on l’avait un peu vu venir quand même mais on avait espéré un temps que ça ne serait qu’un intermède avant de revenir dans le vif su sujet. Le drame est là. Sœurette adorée ne se sent pas très bien, Papa non plus … il semblerait bien que Tim doive maintenant se montrer à la hauteur des grands pouvoirs qui lui sont donnés. With great power comes great responsibility … (oui, ce blog est totalement bilingue). Impossible de ne pas comprendre le changement de ton tant tous les signaux sont allumés, pas toujours très subtilement : l’atmosphère musicale s’assombrit, le rythme ralentit très perceptiblement, les bons mots se font plus rares. Même l’image à l’écran semble blêmir, toutes les couleurs semblant virer au délavé. Bon à côté de ça Bill Nighy revient dans le film, mais bon, pas forcément comme on l’aurait souhaité ou attendu.

    Montrer à voir un héros face au doute existentiel engendré par l’utilisation de son superpouvoir n’est pas en soi une mauvaise idée. C’était par exemple le point central du récent Ruby Sparks avec Paul Dano et Zoé Kazan, mais on était là face à un film qui assumait très vite son ambition dramatique, et avait alors tout le temps et les moyens de la traiter en bonne et due forme. Ce n’est pas le cas d’Il était temps qui passe une heure à faire rire aux éclats, tout en étant d’ailleurs capable de faire réfléchir quand il le faut, avant de tirer le rideau et d’éplucher autant d’oignons qu’il le faut pour qu’on finisse par craquer et gentiment pleurer. Mais deux films en un n’ont jamais fait deux bons films à la fois.

    C’est d’autant plus dommage que Il était temps est un film très attachant, qu’une fin inutilement longue ne parvient même pas à totalement gâcher. Son réalisateur aurait simplement été inspiré de ne pas nous servir une énième leçon de vie du genre « profitez de chaque seconde », ou de simplement la faire tenir dans 5 minutes au lieu de 50, ce qui aurait sûrement mieux fait passer la pilule. Moi ça m’a d’ailleurs surtout donné le cafard, et ce n’est pas pour ça que j’avais signé. Zut.

    Mais je vous le recommande quand même, faut pas déconner non plus. Oui je sais ça n’est pas super cohérent mais ça n’a jamais été le but.

    Pour finir, un petit mot sur la bande annonce du film (disponible plus bas). A la différence de 99% des bandes annonces actuelles, Richard Curtis a opté pour une bande annonce très courte qui ne contient que deux scènes, dont l’une nécessaire pour expliquer le concept même du récit, une demi-scène n’étant d’ailleurs même pas présente dans la version finale du film (de mémoire, j’ai rarement vu ça). En plus d’être courageux, ce choix a une vertu infinie : aucune blague ou situation comique n’est gâchée par le fait de l’avoir vu 10 fois depuis un mois et l’on peut profiter totalement du film sans se demander à quel moment va arriver cette bonne blague que l’on avait repéré dans la bande annonce. Dommage que Richard ne se soit pas inspiré de cette bonne idée pour son propre film en tant que tel ... Mais merci au moins pour ça, c'est tellement rare.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 décembre 2013
    Excellent ! Humour décapant et leçon de philosophie croustillante. A voir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 décembre 2013
    Les comédies romantiques, c’est – après les tâches ménagères – ce qui divise le plus les hommes et les femmes.
    Oui, je sais, les hommes ont un penis et les femmes un vagin, y’a ça aussi… sauf en Thaïlande… mais ceci est une autre histoire…
    D’ailleurs, en Thaïlande les femmes transformées ont une plus grosse bi BON BON BON ça va passons !
    Donc, les comédies romantiques au ciné, pour les filles, c’est un peu comme choisir entre la petite robe rouge ou la petite robe rouge (OUI JE SAIS, l’une est « Carmin » et l’autre « Amarante » mais nous, les hommes, on s’en tape, ce qu’on veut c’est ce qu’il y a en dessous !).
    Pour les mecs, le choix est déjà plus simple : « est-ce que je la tripote au début du film ou au milieu du film ? ».
    Bah oui mesdames, ne croyez pas que vous allez nous emmener au ciné « voir un film de Meg Ryan » (comme dirait Foresti) si : SOIT l’homme qui vous accompagne veut vous « pécho », SOIT, il vous a déjà « pécho » et veux remettre le couvert sur la table (ou vous pour le coup), ou SOIT, il est gay… Et là, mesdames, inutile de vous conseiller d’espérer qu’il y’ait AU MOINS Ryan Gosling pour vous faire oublier…
    Mais avant de démarrer cette critique… mettons-nous dans la tête de ce gentil couple que nous appellerons Jean-Kevin et Cindy Bouvier-Tignon.
    Jean-Kev’ comme l’appellent ses amis et Cindy vivent quelque part en France. J-K aime sa Fiat Punto Break Sport GTX de 110cv qu’il bichonne plus que sa femme. Il y a installé un super aileron arrière en véritable fibre de carbone de PVC coloré mauve-paillette, un volant en moumoute tout doux sur la peau, et un intérieur cuir en peau de nubuck vert des plus classes. Un investissement, selon lui.
    Cindy, elle, sont truc c’est sa chatte ! Nooon pas celle-là (elle ne s’en sert plus), je parle de sa chattonne marron-blanche, Frizette, adoptée il y’a peu à la SPA.
    Elle aussi la bichonne plus que son homme et lui achète tout plein de tenues extravagantes et hors de prix.
    Ils ont aussi un fils, Bryan-Steven, 3ans et demi (ou 42 mois comme on dit par chez eux), roux, et qui, lui, n’aime rien, même pas ses parents, mais en même temps ses parents…
    Vous l’aurez compris, tous deux (enfin tout 5) sont originaires du Nord pas de Calais, mais ils ont déménagé à Dunkerque car, d’après eux, le Nord pas de Calais c’est bien trop cliché.
    Et avant de regarder comme chaque Dimanche soir leur émission favorite, « Confessions Intimes », ils vont au cinéma. Et ce soir là :

    Aujourd'hui, dans la rubrique "j'ai testé pour vous", ILS ont testé pour vous: Il était temps !

    Jean-Kev’ et Cindy sont donc assis à la terrasse de leur café favori, le bistro « Chez Bébère », où ils ont leurs petites habitudes.
    Un p’ti noir pour Cindy, une 8-6 pour J-K, nos deux compères discutent du choix du film de cet aprèm’ :

    Jean-Kevin : « Hé ma bibiche, ça te dirait qu’on aille se faire uneuh toileuh cet après-midi ? » (La parler « djeun’s », ça fait craquer les femme il paraît.

    Cindy : « Ah oui ? Il y a encore des araignées dans la chambre de Bryan ? »

    J-K : « Hein ?! » (prononcez « Gnéé »

    C : « Euh... » (prononcez « Gnéé » aussi en fait

    Hum, il semble que la conversation passe mal entre ces deux là, allons direct au moment où il sortent de la salle, et donc retournent « Chez Bébère » pour débriefer...

    Cindy : « Alors mon chéri, tu as aimé le film ? Moi j’ai adoré ! C’était vraiment une belle histoire ! Cet homme, timide, pas très beau, qui découvre son pouvoir de remonter le temps et tombe amoureux de la belle Mary ! Pour la séduire, il rejoue chacune des scènes ratées pour être toujours l’idéal de ce qu’elle attend ! C’est vraiment bien trouvé ! »

    Jean-Kev’ : « Bah ouai heureusement qu’il y avait ce côté science-fiction parce que pendant un moment je me demandais si on était au milieu du film pour te tripoter ! »

    Cindy : « Oh petit coquin ! Mais tu l’as vu, l’amour ce n’est pas que le sexe. Regardes Tim (le héros du film NDLR), même s’il est parfait aux yeux de Mary à force de corriger ses erreurs en remontant le temps, il se rend vite compte que les sentiments, eux, ne sont pas modifiables et que lorsqu’il se trompe en remontant trop loin, il perd Mary, alors que son cœur, lui, bat toujours pour elle ! »

    Jean-Kev’ : « Ah ouai c’est vrai mais j’ai pas tout compris moi. Son père qui a aussi le même pouvoir tombe gravement malade. C’est pas normal ça, s’il peut remonter le temps ?! »

    Cindy : « Bien sûr minou (oui les surnoms de merde existent aussi ailleurs qu’à Paris), la maladie du papa de Tim est le côté tragique du film. Tim est perdu entre gagner l’amour de Mary et fonder une famille avec elle, mais en même temps, vivre et revivre les moments les plus intimes avec son papa qui disparaît peu à peu. C’est beau mais en même temps si triste de devoir assurer l’avenir, tout en pouvant choisir de profiter encore du passé ! »

    Jean-Kev’ : « Hein ?! (prononcer « Gnéé », encore) Tu veux dire comme quand Bébère me sert ma 8-6 alors que j’ai à peine terminé le pinard ? Et que j’aimerais encore reboire du pinard mais que quand même la 8-6 ça aide à éponger la soif ? »

    Cindy : « Ah laisse tomber mon grand loup, les comédies romantiques, c’est vraiment pas fait pour toi ! Allez viens, on rentre à la maison, il est quand même que 8h30 du matin. Par contre je me demandais : maintenant qu’on est sortis du cinéma, tu pourrais enlever ta main de ma poitrine là nan ? »

    Bah oui mes amis, tout comme Cindy et Jean-Kevin, finalement les comédies romantiques ce n’est vraiment pas pour tout public.
    Les femmes vont vraiment aimer « Il était temps », les hommes probablement moins, même si l’aspect « science-fiction » du héros peut attirer un public plus « barbu ».
    A coté de ça, le film est bon, il est drôle et les acteurs jouent très bien.
    Personnellement, je le recommande quand même. C’est un vrai bon moment de cinéma et j’avoue que la partie relationnelle entre Tim et son père malade (qui m’a personnellement touché car c’est du vécu) a vraiment produit son effet.

    Pour ceux qui se demandent ce que sont devenus J-K et Cindy depuis, et bien Cindy a demandé le divorce, elle a pris ses deux chattes et le facteur, et a enfin quitté le Nord Pas de Calais pour un endroit plus chaud et ensoleillé, Cherbourg.
    Jean-Kevin, lui, a revendu sa Punto, il en avait marre des voitures tape-à-l’œil. Avec l’argent, il s’est offert une PS4, mais ne comprend toujours pas comment elle fonctionne.
    Enfin, Bryan-Steven a quitté le domicile familial, aujourd’hui c’est un adulte affirmé, bien dans sa peau, qui poursuit ses études de plombier-chauffagiste, et à maintenant 7 ans et 3 mois, il compte épouser sa cousine de 3 ans son aînée, pour le plus grand bonheur de tous...

    PS : Je rappelle bien sûr qu’il ne s’agit là que d’humour et de second degrés. Je n’ai rien contre les gens du Nord pas de Calais, d’ailleurs j’ai même fait un don au Téléthon alors hein... (quoi ? comment ça on a pas le droit de dire ça ?)
    De plus, pour le respect des familles, j’ai juste changé les noms des protagonistes. Mais tous les faits rapportés sont bien inspirés de faits réels ! (SISI j’vous jure !)
    chatiment
    chatiment

    17 abonnés 406 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 décembre 2013
    très belle leçon de vie, avec de l'émotion, qui fait réfléchir sur ça propre vie et les décisions que l'on prend quotidiennement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 décembre 2013
    Très bien.
    L'histoire est bien ficelée. Un peu du mal avec l'acteur principal au début mais il a finalement le rôle qui lui colle à la peau.
    Billy Nighy est au top.
    Moins drôle que love Actually, mais aussi plus touchant. Un film sympas à voir avec sa copine.
    Solène T.
    Solène T.

    4 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2013
    Un film divertissant avec quelques longueurs mais qui reste émouvant grâce aux liens forts crées entre les personnages.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 décembre 2013
    Très agréable moment. Humour anglais (beaucoup), amour et réflexion font de ce film un joli mélange avec des personnages hauts en couleurs. Une réussite
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 décembre 2013
    Drôle, beau, touchant, émouvant, bouleversant, un film comme seul Richard Curtis sait les faire!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 10 décembre 2013
    Bleuette insipide et insupportable,ça faisait longtemps que je ne m'étais pas autant ennuyé.
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