Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Umut Dag déploie son récit dans un style très différent de celui que l'on associe habituellement au cinéma autrichien. Loin de la froideur formaliste d'Haneke ou de Seidl, la mise en scène de Dag est souple, subtile, en empathie avec tous ses personnages. Et le casting à dominante féminine est magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Humanité
par Dominique Widemann
Poids des coutumes qu'érode une nouvelle génération, hantise des apparences, sont d'autant mieux mis en scène qu'ils se passent de représentations convenues. Ils constituent une nuance parmi beaucoup d'autres sur la palette expressive d'Umut Dag.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Attentif à mille détails qui sonnent terriblement juste, aux antipodes du prêchi-prêcha politiquement correct, ce film est manifestement réalisé par un cinéaste qui sait de quoi il retourne, et qui ouvre avec intelligence et talent à la complexité de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ce premier long-métrage d'un cinéaste issu d'une famille d'immigrés turcs installe sa force d'image en image, jusqu'à tourner à la tragédie antique avec des ingrédients modernes. Parfaitement interprété, "Une seconde femme" témoigne des ravages causés par des traditions dépassées face à l'évolution des sociétés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Eithne O'Neill
Davantage que par sa forme cinématographique, le film intéresse par son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Le film, assez claustrophobe (...), se focalise sur le point de vue des femmes de trois générations et réussit, par la tension qu'il ne desserre jamais, à imposer son point de vue très fort sur l'aliénation.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
"Une seconde femme" pourrait être un brûlot contre les traditions archaïques (...), une critique sociale du matriarcat ou encore une dénonciation de la polygamie. Si le film évite tous ces écueils, c'est qu'il a l'intelligence de toujours maintenir un coup d'avance sur son spectateur, créant chez lui un besoin de comprendre plus que de juger.
Critikat.com
par Carole Millerili
Avec une attention particulière au filmage des visages, souvent saisis en gros plans et en longue focale, Umut Dag dresse le portrait habile d'une tribu de femmes dont les relations fusionnelles peuvent les mener jusqu'à une violence extrême.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Même si on devine rapidement les enjeux de l'histoire, l'interprétation magistrale des actrices donne toute sa force à ce drame captivant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Frédéric Strauss
L'émotion naît grâce à Begüm Akkaya, l'actrice qui interprète la mariée(...). Loin de suggérer une révolte, l'auteur prône la réconciliation, le pardon général, finalement le statu quo. Comme s'il s'excusait de l'audace de son sujet. Reste l'aspect documentaire, la description précise d'un monde que l'on découvre avec une certaine stupeur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si le procédé est efficace, [le réalisateur] charge un récit déjà lourd de faux-semblants et de renversements inattendus.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Patrick Flouriot
À trop adopter un style aseptisé, Umut Dag désamorce les tensions de son scénario. Un film voué à la monotonie, malgré la présence irradiante et la justesse de Begüm Aklaya.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Christophe Narbonne
Sur le papier, l'idée était séduisante : montrer les difficultés liées à l'intégration et les aberrations d'un mode de vie ancestral inadapté au monde moderne. À l'arrivée (...), Dag signe un mélo aux ficelles grossières dont le caractère manipulateur est à la limite de l'acceptable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
Umut Dag déploie son récit dans un style très différent de celui que l'on associe habituellement au cinéma autrichien. Loin de la froideur formaliste d'Haneke ou de Seidl, la mise en scène de Dag est souple, subtile, en empathie avec tous ses personnages. Et le casting à dominante féminine est magnifique.
L'Humanité
Poids des coutumes qu'érode une nouvelle génération, hantise des apparences, sont d'autant mieux mis en scène qu'ils se passent de représentations convenues. Ils constituent une nuance parmi beaucoup d'autres sur la palette expressive d'Umut Dag.
Le Monde
Attentif à mille détails qui sonnent terriblement juste, aux antipodes du prêchi-prêcha politiquement correct, ce film est manifestement réalisé par un cinéaste qui sait de quoi il retourne, et qui ouvre avec intelligence et talent à la complexité de son sujet.
Le Parisien
Ce premier long-métrage d'un cinéaste issu d'une famille d'immigrés turcs installe sa force d'image en image, jusqu'à tourner à la tragédie antique avec des ingrédients modernes. Parfaitement interprété, "Une seconde femme" témoigne des ravages causés par des traditions dépassées face à l'évolution des sociétés.
Le Point
Voir le site du Point.
Positif
Davantage que par sa forme cinématographique, le film intéresse par son sujet.
TéléCinéObs
Le film, assez claustrophobe (...), se focalise sur le point de vue des femmes de trois générations et réussit, par la tension qu'il ne desserre jamais, à imposer son point de vue très fort sur l'aliénation.
Cahiers du Cinéma
"Une seconde femme" pourrait être un brûlot contre les traditions archaïques (...), une critique sociale du matriarcat ou encore une dénonciation de la polygamie. Si le film évite tous ces écueils, c'est qu'il a l'intelligence de toujours maintenir un coup d'avance sur son spectateur, créant chez lui un besoin de comprendre plus que de juger.
Critikat.com
Avec une attention particulière au filmage des visages, souvent saisis en gros plans et en longue focale, Umut Dag dresse le portrait habile d'une tribu de femmes dont les relations fusionnelles peuvent les mener jusqu'à une violence extrême.
Le Journal du Dimanche
Même si on devine rapidement les enjeux de l'histoire, l'interprétation magistrale des actrices donne toute sa force à ce drame captivant.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
L'émotion naît grâce à Begüm Akkaya, l'actrice qui interprète la mariée(...). Loin de suggérer une révolte, l'auteur prône la réconciliation, le pardon général, finalement le statu quo. Comme s'il s'excusait de l'audace de son sujet. Reste l'aspect documentaire, la description précise d'un monde que l'on découvre avec une certaine stupeur.
La Croix
Si le procédé est efficace, [le réalisateur] charge un récit déjà lourd de faux-semblants et de renversements inattendus.
Les Fiches du Cinéma
À trop adopter un style aseptisé, Umut Dag désamorce les tensions de son scénario. Un film voué à la monotonie, malgré la présence irradiante et la justesse de Begüm Aklaya.
Première
Sur le papier, l'idée était séduisante : montrer les difficultés liées à l'intégration et les aberrations d'un mode de vie ancestral inadapté au monde moderne. À l'arrivée (...), Dag signe un mélo aux ficelles grossières dont le caractère manipulateur est à la limite de l'acceptable.