Un très bon démarrage dans l’ancienne Egypte avec animation numérique et 3D très bonne pour l’époque. Le passage suivant sur la salle des momification fut assez horrible à regarder car l'atmosphère était très bien menée, pas forcément au niveau musicale, mais niveau effets sonores et cris des victimes, parfait. Entre eux, niveau interprétation, les personnages sont très bon et respecte parfaitement l’alchimie qui doit être mise en place. Les genres Fantastique et Horreur sont très bien mêler entre eux, c’est ce que signalait Télé Loisirs, et que je confirme à mon tour. Tout en ayant bien sûr, la qualité visuelle des années 90. Ou plutôt, de la fin des 90. Quant aux décors, ils sont vraiment très bons, représenter l’intérieur des temples ou des simples salles ou couloirs fut franchement top.
Les petits détails comme les hiéroglyphes, la quantité précise de poussière ou des toiles d’araignées, le sable… tout y était. L’un des grands avantages du film, l’exotisme qui nous est offert. En effets, “La momie� n’est autre qu’un film sur l’ancienne Egypte, et doit avant tous nous gâter en thermes de paysages, de cités, de temples… Là aussi, tout y était. Et exotisme car oui, les paysages naturels ou mêmes numériques furent bien présents et c’est très bon. Ce genre de film doit avant tous nous faire voyager à travers des lieux méconnue des autres civilisations ou plutôt, des autres peuples des autres continents. De plus, la musique accompagnant ces moments d’aération étaient franchement grandiose et parfaitement choisie.
Pour sa distribution, Brendan est juste parfait et s’est parfaitement jouer l'homme sérieux mais pas trop quant même, du rigolo un peu matcho. Rachel elle, atout naturellement charme et d’un naturel d’actrice élégant. Le final du film lui fut très bon également,
la séquence d’intérieur de la destruction de la cite antique fut franchement très bonne, dommage que les décors tells que ceux présents, ce soit envoler en éclats.
La prise de vue mais en extérieur,
de cette même destruction, fut juste grandiose. Les gigantesques murs se referment sur eux même, les colossales nuages de sables, la musique et le son, chapeau tout simplement.
Peut être qu’un peu plus de visuel sur le passé de la cite aurait été encore mieux, mais ce n’est que détail.