Derniers Avis : Into the Woods, Promenons-nous dans les bois - Page 5

tres sympa au début le film devient vite long... dommage de ne pas s'arrêter avant. Le fait d'etre fidele aux contes et leurs noirceur plutôt qu'à Disney est tres positif.

Un concept amusant pour un film un peu décalé, parodique et assez drôle. Mais ces insupportables chansons plombent vraiment le film.

Dépoussiérage original de contes qui se croisent autour de ce film musical de qualité, en s'appuyant sur une distribution prestigieuse (Meryl Streep, Johnny Depp, Chris Pine...). Une mention pour un des costumes porté par Meryl Streep et un bémol pour une fin qui casse le niveau de créativité présenté tout au long du film.

A la fin de la projection, seul le tout premier morceau m'est resté en tête. Et c'est en grande partie du au fait qu'il est repris dans le générique de fin. Il n'y a dans ce film aucun grand numéro mais une succession de petites chansons niaises mais pas forcément déplaisantes. Johnny Depp et Meryl Streep font respectivement du Johnny Depp et du Meryl Streep. Aucune surprise de ce côté. Non le vrai point fort du film c'est Emily Blunt. Elle sauve le film de l'oubli par sa seule présence. Pour le reste tout est un peu fade et sans personnalité.

Alors que les adaptations aseptisées estampillées Disney (Alice au Pays des Merveilles, Maléfique, Cendrillon) pullulent sur les écrans en réussissant à ameuter tout un public malgré leur manque de qualité, Into the Woods, lui, est totalement passé inaperçu. Et pour cause, le long-métrage n’a rapporté que 153 millions de dollars à travers le monde. Bon, pour un budget de 50 millions, nous ne pouvons pas vraiment parler d’échec commercial. Mais de la part du studio aux grandes oreilles, cela se révèle être un score plutôt faible. Pourtant, Into the Woods a bien plus de mérite que les autres adaptations, et ce sur bien des points malgré des défauts non négligeables.

Alors oui, il est vrai que le nouveau film Disney de Rob Marshall (qui avait réalisé Pirates des Caraïbes : la Fontaine de Jouvence) peut en rebuter plus d’un et ce à cause d’un détail : Into the Woods est un divertissement principalement musical. Le genre où les personnages s’expriment par la chanson et rarement par le parler normal (juste de temps en temps), offrant des allures excessivement théâtrales au projet. Normal que des spectateurs aient du mal à supporter un tel film, d’autant plus si c’est pendant deux bonnes heures (Les Misérables de Tom Hooper n’avait déjà pas convaincu sur ce point). Sans oublier qu’ils doivent passer par une playlist de chansons certes sympathiques mais au combien semblables sur le rythme, ce qui provoque une certaine monotonie lors du visionnage. Mais critiquer un film parce qu’il est musical est un argument non recevable (plutôt une question de goût). Au contraire, cela apporte un certain bagou à l’ensemble : on y voit des comédiens mondialement connus s’éclater en jouant le jeu, on a une ambiance bonne enfant… tout ce qu’il faut pour capter l’attention et amuser ne serait-ce que quelques minutes.

Mais en dehors de son aspect musical, c’est avec d’autres caractéristiques qu’Into the Woods parvient à surpasser les adaptions live actuelles de Disney. Déjà sur le plan scénaristique. Et pour cause, au lieu de reprendre bêtement un dessin animé et d’en faire une véritable coquille vide ou bien une dénaturation blasphématoire, le long-métrage de Rob Marshall ose. Car non seulement il reprend quatre contes différents (Petit Chaperon Rouge, Jack et le Haricot Magique, Raiponce et Cendrillon) et les mélange pour en faire une trame principale qui tient vraiment bien la route, mais il se permet même de casser l’image même Disney et de son affiliation avec les histoires de princesse : le film est aussi glauque que les contes d’origine, abuse par moment de la niaiserie propre au studio pour mieux s’en moquer ( spoiler: le prince charmant mais pas sincère en est le parfait exemple
), se permet bon nombre d’allusions très adultes… Bref, le scénario prend des risques et n’est finalement pas vide de sens. Il est néanmoins dommage que le script se perde dans une seconde partie (après 1h15 de visionnage) qui tourne en rond (pour ne pas dire « se ridiculise ») et faisant plus office de remplissage qu’autre chose. Là, l’ennui pointe irrémédiablement le bout de son nez, accentué par la monotonie des chansons, faisant du coup comprendre que le public ait décroché au bout d’un moment.

Là où Into the Woods étonne également, c’est par sa direction artistique. Au lieu d’abuser sans raison du numérique pour justifier l’utilisation d’un budget pharaonique, le film se contente de moins et parvient à aborder un aspect plus artisanal, agréable pour la rétine et donc moins artificiel. Allant à la confection des costumes, des maquillages et des décors, tout dans Into the Woods est fait à la main tout en restant en adéquation avec l’ambiance générale, cette dernière se balançant entre la magie et le glauque. Mais là encore, le long-métrage doit essuyer une contrainte vis-à-vis de ce budget moins conséquent qu’à l’accoutumée, notamment en ce qui concerne les effets numériques. S’ils ne sont pas aussi présents que dans un Cendrillon (et c’est tant mieux !), ils restent cependant peu attrayants pour l’œil. Voire même de bien piètre qualité, nuisant au résultat final, surtout dans un dénouement qui ne fait que les utiliser pour finir sur une note spectaculaire.

Comme vous avez pu le lire dans cette critique, Into the Woods est loin d’être parfait. Et le fait qu’il soit intégralement musical limite son public. Mais au-delà de tout cela, je le préfère largement qu’à Maléfique et consorts. Pourquoi ? Tout simplement pour le fait qu’il se présente à nous telle une œuvre véritablement artistique dans son visuel et qu’il ose dans son écriture (même si cela ne se voit pas dans la bande-annonce). Et rien que pour cela, c’est avec un certain plaisir que je le reverrai, allant même jusqu’à vous le conseiller, du moins par curiosité.

Pas mal. L'histoire est très intéressante mais je trouve malheureusement que le film est un peu longuet sur la fin, je me suis un peu ennuyé durant la 2e partie du film, très dommage..

Bof, un manque sérieux de conviction de la pars des acteurs et aucunes surprises dans le scénario

Scénario sans file conducteur..
La fin est trop ennuyeuses !!
Par niveau production c top!

Ce film de Disney mélange plusieurs contes (Cendrillon, Raiponce, Le petit chaperon rouge, Jack et le haricot magique) qui ont parfois quelques différences par rapport aux originaux, et ces histoires se croisent et se rejoignent, alors qu'à la base elles n'ont rien avoir, et en plus on a l'histoire d'un boulanger et de sa femme qui doivent stopper un maléfice. Toutes ces histoires sont racontés de manière succincte (trop) et décousue (vue qu'on navigue entre les différentes histoires), on n'a pas de présentation des différents personnages principaux, et certains passages de ces histoires qui seraient intéressants sont zappés - en même temps, quand on mélange 4 contes, on ne peut pas tout raconter. Il n'y a pas de cohérence et aucun sens entre le croisement de ces histoires. Le tout pour un scénario inintéressant.
Et puis les différentes chansons ne sont pas géniales et sont répétitives, voire interminables, et on a l'impression d'avoir tout le temps la même chanson tellement les différents airs se ressemblent trop - et elles n'ont même pas été doublées en français comme c'est le cas dans les autres Disney. Un film raté et peu captivant, comme quoi Disney ne fait pas que des bons film voire des chefs-d'oeuvres.

Loué par madame, fan de Johnny Depp, nous avons aimé aussi le Sweeney Todd, D'une part les musiques sont vite reprises en boucle sans quil y ait une thématique à laquelle elles soient attachées. Les raccourcis faciles pleuvent au niveau scénaristique...MAis là ou il a un REEL problème c'est dans les allusions à peine masquées de pédophilie durant la scène entre le loup et le chaperon rouge, pour celui qui a une faiblesse de vocabulaire le détail lui aura échappé mais le loup prédateur parle réellement de sexe et après être allé voir un article car il y a eu une polémique aux usa sur le sujet les auteurs confirment. Soit disant c'est une visite, il incarne la tentation mais la réalité est plus malsaine quand à la toute fin le chaperon rouge, pré-pubère affirme que le loup lui a fait voir un nouveau monde, qu'après tout les fleurs ne sont pas ingénues etc etc.... Comme une critique Américaine le dit, une ligne morale horrible (glauque). Un film qui m'a filé la nausée, pourtant je ne suis pas du tout géné par le sexe, j'ai été précoce, mais une relation entre un adulte et un pré ado font plus que me géner. Et un film qui fait l'apologie de la pédophilie devrait être frappé d'un PEGI 16 ou 18. Comme les auteurs le disnet les enfants eux voient différemment et penseront que le loup veut juste manger etc etc... sauf que le soucis justement c'est que les images feront leur chemin en grandissant c'est planter une graine, et pas de haricot magique. Je conseille aux auteurs d'aller se faire soigner.

Incontestablement trop de chansons pour un publique adulte, les dialogues sont presque tous chantés, ainsi la présence de nombreuses stars et regrouper plusieurs comtes dans un même film ne change rien à la difficulté de regarder le résultat.Un film qui n'a comme prouesse que le talent de vieillir mal tout en étant récent.

quand on adore comme moi le genre des comédies musicales, on pardonne certaines facilités tant les américains excellent en la matière. alors aucune surprise au carrefour de ces quatre contes, mais retrouver la grande Meryl Streep, le charmant cabot Johnny Depp ou encore Christine Baranski ( déjà au casting de Mama Mia ) s'amuser autant, parvient à faire oublier que nous savons tous ce qui va se passer avant chaque nouveau plan. rien de neuf, mais les moyens sont là....

Une petite merveille. À voir absolument !! Une comédie musicale bien tournée et des acteurs qui chantent bien.

C'est vrai : il faut sans doute être plus amateur de Broadway que de cinéma pour apprécier ce « Into the Woods », mais comme je suis plutôt client des deux... D'ailleurs, la majorité des chansons sont plutôt réussies (celle donnant son titre au film en premier lieu), tandis que certains décors ont vraiment de la gueule. Ça n'en reste pas moins foncièrement inégal, que ce soit dans l'interprétation (si Emily Blunt est superbe, Meryl Streep ou Anna Kendrick sont nettement moins marquantes) ou dans le rythme, les jolies scènes laissant place à d'autres moments plus longuets voire ennuyeux. D'ailleurs, c'est lorsque l'œuvre s'inspire des plus célèbres contes qu'elle est la plus convaincante, la deuxième partie s'avérant nettement moins inspirée. Reste un certain sens visuel rendant le spectacle fréquentable et parfois séduisant, mais nous laissant quand même sur une impression mitigée.

Into the Woods, malgré son casting impressionnant (Meryl Streep, Johnny Deep) et le réalisateur de Chicago au commande, est décevant. La première partie du film est bien tournée et entraînante, mais dès que nous rentrons dans la deuxième partie, le film prend des longueurs et l'histoire devient moins intéressante.

La partie musical du film est bien tenu durant toute la durée du film, malgré des thèmes trop récurrent. L'histoire même du film est plutôt intéressante, vue que je ne connaissais pas la comédie musical de Broadway qui à inspiré le film, et permet ainsi une autre vision des contes de notre enfance.

Pour conclure je dirai que ce film à voir, si le style comédie musical est une passion pour le spectateur, mais pas indispensable pour une culture cinématographique musical.