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Un visiteur
0,5
Publiée le 9 mai 2013
Je ne peux que vous dire de ne pas le regarder. ce film n'a pas de sujet c'est juste 4 histoires ayant plus ou moins un rapport entre elles. le réalisateur passe à tout moment d'une histoire a l’autre sans jamais respecter l'ordre chronologique voir même tout mélanger jusqu'au bout on se demande deux choses (que vous vous demanderez toujours après d’ailleurs) c'est quoi la trame ? c'est quoi Babel ? Bref un filme extrêmement long pour rien voir une fin de m.... passer moi l'expression.
passer votre chemin même si vous aimer voir Brad pitt qui ne joue dans le film à peut prés 10 min
Les chose que j'ai retenu dans ce film :spoiler: Les marocains sont hospitalier et généreux. les américains sont nombrilistes. il ne faut jamais partir à l’étranger sans ses enfants. Ne pas obliger la nounou de garder ses enfants quand son fils se marie. ne pas sortir les enfant qu'on garde en dehors de leur pays sans l'accord des parents même si c'est pas pour leur faire du mal. ne pas donner une arme en cadeaux à un indigène même si il est gentil. Quand on ne parle pas (muet) ben on ne couche pas non plus.
je vais m’arrêter la même si dans ses quelque lignes je vous est raconter le film en entier.
Et je vous fait une fleur Babel est le nom de la malédiction que aurais donner le dieux de la bible sur les homes pour qu'il ne se comprenne pas tous (chaque pays une langue différentes) c'est apparemment la trame du film qu'on ne comprend pas forcement.
Inarritu et son flamboyant casting s'embarquent dans un scénario tordu aux quatre coins du monde qui repose une fois encore sur des histoires croisées. Un procédé souvent efficace mais que l'on commence à connaître, d'autant plus après avoir vu l'excellent 21 Grammes du même réalisateur. Et pour le coup, on ne voit pas bien l'intérêt ici, c'est en outre très prévisible. Pas mal surjoué dans l'ensemble, l'émotion de plus ne passe pas, l'extrême lenteur de l'ensemble n'aidant pas non plus. C'est rare concernant Inarritu mais son Babel apparaît très facile et beaucoup moins maîtrisé qu'à l'accoutumée, les scènes inutiles s'étirent à n'en plus finir et la vérité c'est que l'on a du mal et à rentrer dans l'histoire et surtout, tout simplement à y croire. Long, ennuyeux et peu crédible, je ne suis jamais entré dedans et le message principal parait trop flou pour toucher, restent de belles images et une ambiance sonore intéressante mais ça pèse bien trop peu au final.
Trois destinations. Le Maroc, le Japon, le Mexique. Un simple coup de feu qui va déclencher une série de catastrophes. On pourrait voir dans Babel un brûlot contre les armes. C'est le cas mais ce n'est pas que ça non plus. Et ça aura beau être un brûlot, vu le poids des lobbys là-bas, leur argument soi-disant imparable (ce ne sont pas les armes qui tuent mais les hommes avancent Trump et compagnie), le manque de courage et de volonté des hommes politiques, ce n'est pas pour aujourd'hui ni pour demain leur interdiction. Babel, c'est surtout des hommes, des femmes, des enfants dans un monde inadapté pour eux et qui, par conséquent, ne se comprennent pas ou ne comprennent pas leur environnement. Les raisons peuvent être aussi diverses que variées : la barrière de la langue, le climat, le manque d'infrastructures, le handicap, la violence des autres, les préjugés raciaux. Ce qui n'est, qu'au départ, qu'une simple bêtise de deux gamins, un jeu ayant mal tourné, va mettre ou remettre en cause des vies humaines aux quatre coins de la planète d'où l'importance de nos décisions (même les plus minimes) qui peuvent avoir des répercussions qu'on ne soupçonnerait même pas et la place liée au hasard. Selon le dicton, il ferait bien les choses. Généralité comme souvent avec les dictons. Il peut se montrer bien malheureux et cruel. Babel est une enquête policière, une analyse sociologique, une succession de drames humains filmé comme un reportage ou un documentaire. Plus que jamais, il pousse à bien peser la moindre de nos actions. A plus forte raison quand des enfants sont impliqués.
Un film tout en sensibilité, constamment à fleur de peau ou le destin de plusieurs personnes s'entrechoquent. Ce n'est pas sans nous rappeler "21 grammes" d'ailleurs. Les paysages sont superbes et l'atmosphère dramatique reste troublante jusqu'au dénouement final. Le duo d'acteurs que forme B.Pitt et C.Blanchet est superbe. Seul bémol, c'est parfois un peu trop lent et larmoyant. A voir tout de même.
Un film coup de poing qu'on peux considérer comme un chef d'oeuvre de la part du réalisateur Alejandro Gonzalez Inarritu et de son scénariste Guillermo Arriaga aprés avoir collaborer ensemble sur des longs métrages chocs et cultes comme "Amours chiennes" et "21 grammes". Comme les films cités, "Babel" est puzzle qui se déroule étrangement dans trois endroits de notre planète, le Maroc, le Mexique et le Japon. Plusieurs histoires autour d'une femme gravement blessé d'un tir de fusil et une vision bouleversante de plusieurs personnages ordinaires qui bascule au fil du récit du film. Mention pour le jeu des actrices Chinoises qui ont dans le film l'handicap d'etre sourdes et muettes de façon remarquables, des jeunes Marocains victimes d'un essai de fusil, de la nounou Mexicaine qui part pour un mariage dans son pays avec les enfants qu'elle garde et puis les stars Brad Pitt, Cate Blanchett et Gael Garcia Bernal qui completent le film. Bouleversant et intelligement mis en scène.
Le film a lien un très proche avec Collision de Paul Haggis. Car même si le sentiment du post 11 septembre est ici remplacé par une peur de l’étranger dans sa ggobalité, Inarattu nous propose une plongée dans les abimes de notre civilisation en décrivant le chemin croisé de 4 personnes. Ces destins mettent en évidence mes cultures et les craintes de l’autre. Même si le film patit de la non traduction des dialogues, on peut distinguer que l’interet d’Inaratu et de laisser au spectateur la possibilité de se faire une idée de la détresse et du manque de communication de la civilisation humaine.
J'ai voulu le voir pour les "destins croisés" dont j'étais curieuse de connaitre l'ingéniosité de l'interconnexion. Le deuxième visionnage était le bon pour me faire apprécier la photographie et les histoires de chaque personnages.
Pas réussi à accrocher avec ce drame d'Inarritu, et j'en suis évidemment déçu. Non pas que le film est mauvais, pas du tout il est même bon, les changements d'univers (Maroc, Mexique, Japon) apportent une vraie identité au film. Mais je n'ai juste pas été transporté, aucun point du film, ni aucune scène ne m'ont vraiment marqué ou fait de l'effet. Dommage. Car l'histoire est intéressante, la réalisation soignée et la prestation des acteurs très bonne aussi. Mais rien ne fait sortir Babel du lot à mon goût. Difficile de se positionner, mais de mon avis personnel, le principal problème est que je me suis ennuyé devant, donc il m'est impossible de le valoriser.
Le film « Babel » a été une grande surprise de l’année 2006. J'ai eu la grande surprise de constater que ce formidable film sorti le 15 Novembre 2006, était encore dans la salle principale du deuxième cinéma des Halles à Paris, hier en janvier 2007 et ... que la salle etait encore complète !
Oh, ce film est beau, intense et touchant. Il relate le basculement des destins des personnages des quatres coins du Monde (Maroc, Mexico, Japon et Etats Unis) suite à une simple bêtise des enfants marocains qui ont tiré une balle par curiosité sur un car et qui blesse une touriste américaine. Cette bêtise innoncente et naive va bouleverser l'avenir de la nourrice mexicaine de ses enfants qui perdra son droit de séjour en Amerique. Elle va favoriser aussi la rencontre d'une adolescente japonnaise sourde souffrant la mort de sa mère et communiquant en langue des signes, qui essaie de construire ses propres repères et son identité par la drogue et le sexe, et d'un policier.
Le film «Babel » nous tient en haleine, on est très vite attaché aux destins des personnages et il se pose plusieurs fois la question sur ce qui va leur passer... On dirait une palpitante chute des dominos. C'est à la fois captivant et émouvant! Les acteurs, comment dire... Ils sont extraordinaires puissance 100! Les talents de Brad Pitt m'ont surpris. On ressent bien le desespoir, la colère et l'angoisse qui règne chez son personnage, mari d'une touriste americaine blessée! Cate Blanchett est une grande actrice, ses grands talents sont toujours au rendez vous! Gael Garcia Berna, l'acteur mexdicain continue à me surprendre.. C'est une étoile internationale montante, capable de jouer avec les comédiens américains, espagnols et français. Surprenant! Rinko Kinkuchi est une belle révélation du film « Babel ». Elle joue très bien l'ado sourde en plein désarroi face à la différence des cultures sourde et entendante...
Le réalisateur mexicain Alejandro Gonzalez, d'un beau et complexe film « 21 grammes ». essaie de nous montrer sa propre vision sur le choc des cultures (y compris la culture sourde ...) Il a superbe filmé l’enchaînement des séquences se déroulant dans les quatre coins du monde. Je n’en reviens pas ... Ce qui est intéressant, c’est qu’il a voulu montrer que le choc des cultures peuvent entraîner des incompréhensions, des malentendus et même des conflits tout simplement à cause des barrières linguistique et culturelle ! Captivant ! Film à voir et même à revoir ! J’ai adoré ...
Quatres histoires, quatres destins qui s'entrecroisent et qui à priori, ne se ressemble en rien, et pourtant... "Babel" est un film assez complexe à comprendre, durant presque deux heures, on est baladé dans tous les sens, les histoires changent si vite qu'on n'a pas le temps de s'attacher aux personnages. Malgré tout, le film alterne des scènes tantot bouleversantes, tantot chocantes, tantot étrange qui elles se suivent avec un agréable regard. C'est simple, on a envie de connaitre la suite ! Quant aux acteurs, ils s'en sortent tous bien (on remarquera plus la prestation de Brad Pitt & de Adrianna Barraza) à part Cate Blanchett, dont le visage ne me revient pas mais alors pas du tout ! C'est plutot personnel comme critique donc je ne développerai pas plus.Enfin, la Bande Originale apporte une touche d'émotion supplémentaire à la réalisation. En résumé, Babel est un drame psychologique plutot plaisant mais un peu long, qui se laisse regarder une fois, voire deux mais pas plus.
La technique de narration mise au point par Alejandro González Inárritu semble infaillible. Après 21 grammes, le mexicain nous brosse de manière rétroactive plusieurs portraits magnifiques de couples dont les destins vont s’imbriquer plus ou moins à leur insu. Si notre plaisir est grand, parce que l’opération est techniquement menée à la perfection, il est légèrement émoussé, car sans effet de surprise. Et pour cause, ce même style narratif était récemment utilisé par les auteurs de Syriana, et avec encore plus de brio. En outre, là où Syriana, pourtant sans complaisance vis-à-vis des américains, s’ancrait profondément dans une réalité dépeinte de manière objective et formidablement bien documentée, Babel force exagérément les traits, victimisant à l’excès certains protagonistes (gens du peuple mexicain et marocain) et diabolisant par contre à l’excès d’autres protagonistes. Ainsi, la police marocaine, semblant n’être animée que par la défense des intérêts américains, enquête dans la violence et l’irrespect total pour sa population. On se demanderait presque si les sanglants attentats terroristes qui avaient endeuillé Casablanca en 2003, et les récents démantèlements de réseaux intégristes (notamment celui de Ansar Al Mahdi) au Maroc, ne sont pas le pur fruit de notre imagination occidentale pervertie et islamophobe. L’égoïsme des touristes occidentaux, l’acharnement de la police américaine des frontières, les réflexions va-t-en-guerre des journalistes et du porte-parole du gouvernement américain lors du rapatriement sanitaire sont à la limite de la caricature. Un peu dommage que Alejandro González Inárritu ait autant confondu critique et partialité.
Un scénario plus que tiré par les cheveux, mais la est le seul véritable défauts de Babel. Les interprètes m'ont fait vibré, le segment concernant Brad Pitt et Cate Blanchett surtout. Les images - les paysages notamment - sont vraiment exquis, la photographie de Rodrigo Prieto ( Brockeback Mountain, Le Loup de Wall Street ... ) associé à la mise en scène de Inarritu fait merveille et nous délivre des perles.
Récemment oscarisé pour "Birdman", le cinéaste mexicain Alejandro Gonzalez Inarritu croise les destins d'hommes et de femmes qui ne se connaissent pas, qui ne parlent pas la même langue mais qui sont liés par un événement tragique. Brad Pitt et Cate Blanchett, couple touristes débarqué au Maroc, livrent tous deux des prestations brillantes. En signant un drame poignant et très bien construit, le réalisateur livre un film des plus réalistes, et livre également un message fort émotionnel sur l'humain. "Babel" est un récit mouvementé mais parfaitement mis en scène, interprété avec excellence, et particulièrement émouvant et intense.
La force de "Babel" c'est de faire ressentir une multitude d'émotions en 2h30 Et de nous faire sortir du film un peu perdu comme certains personnages de l'histoire L'idée de trois intrigues se reunissant tout au long du film est trés bien montré et réalisé Je ne peux pas trop parler du film dans son scénario car je pourrais dévoiler quelques dénouments Mais le film est fort, il nous transmet quelque chose De la colère, de la tristesse, de la compassion, du dépaysement etc etc ... Les paysages sont magnifiques et si bien tournés avec grande finesse La musique vous emporte avec les personnages dans des lieux magnifiques C'est ça Babel tout en justesse et en émotion On ne pleure pas forcement mais on ressort un peu sonné par tant d'émotions