Derniers Avis : Grace de Monaco - Page 11

Nicole Kidman est trop âgée pour le rôle. elle a abusé du botox et de l'acide hyaluronique. même le filtre utilisé en permanence pour ses plans n'arrive pas à masquer sa bizarrerie, ni le tulle de sa perruque. elle est pourtant très bonne dans cette partition. mais cette erreur de casting est fatale au film qui est plutôt ennuyeux. franchement, on s'en fout des conflits Monaco/France, et des manigances de la famille royale (royale? c'est comme ça qu'on dit?). un scénario plus centré sur Grace Kelly aurait été bien plus intéressant pour le spectateur non abonné à Point de Vue que je suis.

La curiosité et la qualité du casting de tête m'ont poussé à aller voir ce film; l'ennui et la déception sont tout ce qu'il en ressort.
Nicole Kidman surjoue...ou ne joue pas du tout, Tim Roth s'ennuie et n'explose jamais (alors qu'il le fait si bien !), les longueurs s'accumulent..Soyons honnêtes, le manque d'épaisseur des personnages et l'absence de véritable intrigue, ou au moins enjeu, y sont pour beaucoup: on attend des rebondissements, des éclats, d'être emporté par des personnalités qu'on connait sûrement mal, et bien non: ils sont bel et bien aussi lisses qu'ils paraissent en vrai !
spoiler: Et le final qui est censé nous subjuguer (et en tout cas subjuguer les grands de ce monde) s'apparente plus à un discours de Miss France (la paix et l'amour c'est mieux que la méchanceté et la guerre !) qu'à une plaidoirie vibrante
.
Bref, c'est vu, c'est oublié.

Je comprend les mauvaises critiques de ce film. Cependant en ce qui me concerne je l'ai plutôt apprécié cependant le scénario est un peut mal ficelé à certain moments et le doublage... Pourrave ! Qu'est-ce qui a prit aux gens de mettre une voie de jeunot pour Tim Roth ? rraaaaaa mais oreille on eu mal et puis faire un gros plan sur le seul baisé du film de sorte à ce qu'on le voit pas... C'est nul ! Malgré tout c'est un film plutôt sympathique j'aimerais voir en version original car à mon avi les doublages ne mettent pas du-tout les comédiens en valeurs !

La grâce… Tout ce que n’a pas ce Grace de Monaco aux allures de guimauve écœurante, symbole parfait des risques guettant un biopic raté, le danger du grotesque risible en premier lieu. Avec ce « Crasse de Monaco », Dahan se loupe tant dans ses intentions que dans ses choix artistiques ou son discours. Un naufrage gênant sous perfusion de glucose et de glamour, qui empile les tares comme des jetons de Casino. Horrible.

La critique détaillée sur Mondociné.

« Mise en scène trop présente et au service d’un mélo bien peu original, alors qu’en parallèle se joue un passionnant conflit politique et économique, pas suffisamment développé. Dommage. »

Quel navet ! Je suis sortie avant la fin ce qui ne m'arrive que très rarement !

C'est la première fois de ma vie que je fais la critique d'une film sur un site et jamais je n'aurais cru le faire un jour. J'ai accompagné ma mère voir ce film pour lui faire plaisir n'étant ni intéressé par Monaco ni par Olivier Dahan dont j'avais déjà fuit le biopic sur Piaf à la moitié du film tant c'est mal filmé, mal joué et ridicule et bien Grace de Monaco c'est exactement la même chose. Ce film n'a même pas la qualité d'un téléfilm de l'après-midi sur la 6. Nicole Kidman est plus plastiquée qu'une villa corse, si Grace de Monaco avait été décapitée la tête de Kidman dans le film aurait rebondi comme un ballon de basket plusieurs fois sur le sol avait de s'arrêter. Comment peut-on infliger ça à des spectateurs ? Comment peut-on être aussi cruel ? Olivier Dahan confirme son statut de tâcheron du cinéma français. J'aimerais que ce film soit une personne pour pouvoir le gifler de m'avoir volé 15 € et 1h30 de ma vie.

Pour être tout à fait honnête, le feu de critiques ouvert sur le film m'a incité à aller le voir pour le défendre, mais à l'impossible nul n'est tenu.
A la fin de ce pensum barbant comme la pluie, on comprend mieux le titre "fenêtre sur four" proposé par un quotidien; on ne comprend pas très bien pourquoi le conflit d'ordre fiscal entre la France et Monaco est traité avec une intensité digne de l'installation des missiles russes à Cuba. Rainier est présenté comme un mafieux, le général de Gaulle sert presque de faire valoir à Kelly- Kidman et le tout se déroule lentement sur une musique d'un mélo achevé. La performance du réalisateur est sans doute de tourner pendant 1.30 heure le navet d'or du festival.
On se demande après avoir lu les critiques s'il est bien nécessaire de vider son chargeur sur un cadavre.

Après Edith Piaf, Olivier Dahan s'attaque à une autre légende du XXème siècle: L'actrice devenue princesse. Contrairement à La Môme, le film se déroule sur une courte partie de la vie de la princesse et du rôle qu'elle a joué pour que Monaco reste une principauté. L'histoire est intéressante aussi bien pour le contexte politique dans lequel se trouve Monaco, que pour le passage de Grace Kelly à Grace de Monaco et ce que cela entraînera. La réalisation est malheureusement très inégale. Nous retrouvons les plans séquences comme les aime Dahan, mais pas aussi longs et orchestrés que ceux vus dans la Môme. Certains cadrages très serrés sur le visage de Nicole Kidman, en particulier ses yeux, sont très beaux. La lumière est belle mais fait parfois fausse. Le montage malheureusement ruine un peu tout le rythme... Nicole Kidman est convaincante et fait une belle interprétation. Le reste du casting laisse un peu indifférent. Un biopic de plus qui ne sort pas vraiment du lot.

Le film démarre par une citation de Grace Kelly (extraite sans doute du bac philo 2013 de la principauté) : "L'idée que ma vie soit un conte de fées est déjà un conte de fées."
La ligne directrice est donnée, ce sera un conte de fées... donc ....
Il était une fois, une très jolie actrice oscarisée et célèbre, qui par amour pour un prince quitte les sunlights artificiels pour ceux plus naturels de la Riviéra. Le beau prince, c'est Rainier de Monaco, régnant sans partage sur un bout de rocher. Il n'a pas un physique de rêve, le charme semble absent, mais l'amour est aveugle ! Et que l'on ne vienne pas dire qu'elle l'a épousé pour l'argent, les caisses monégasques sont vides ! Elle l'aîîîme donc !
Deux enfants plus tard, constamment suivie par une duègne à cheval sur le protocole, Grace glisse nonchalamment sur les parquets vitrifiés du palais. Elle sourit, elle est heureuse. Elle voit peu son mari qui ne l'embête pas, ils ont la bonne idée de faire chambre à part. Soudain, Alfred Hitchcock vient lui proposer un rôle dans son prochain film. Le front de Grace se plisse de souci. Là, il faut le dire, Mlle Kidman qui joue Grace, a un peu de mal à rendre l'expression intense, disons que le trop plein de botox ne lui permet que d'esquisser un léger frémissement d'oreille. L'angoisse monte ... Rainier acceptera-t-il ? Comme il a d'autres chats à fouetter et notamment un honteux blocus mis en place par de Gaulle risquant d'affamer tout le royaume, voire, si l'on en juge les réunions au sommet dans lesquelles nous sommes invités à assister, une troisième guerre mondiale, il donne son feu vert. Du coup Grace roule à 300 à l'heure sur des routes sinueuses, répète d'arrache pied son rôle de blonde frigide et se confie à son meilleur ami, un prêtre, sans qu'il y ait la moindre anguille sous roche.... c'est un conte de fées, je vous rappelle.
Las ! La situation géopolitique évolue mal. Entre un complot fomenter par une perfide belle-soeur et les menaces des chars français risquant d'anéantir la principauté, le projet cinématographique tombe à l'eau. Mais Grace n'écoutant que sa bravoure, va passer à l'action. Super Grace is back ! De l'ex actrice tirée à quatre épingles, on passera sans ciller à la candidate à la canonisation, mais en tailleurs griffés et en Rolls-Royce, faut pas charrier non plus ! Comme son image est déplorable auprès de la population locale (qui est au bord de recevoir une bombe atomique sur la tête, je vous le rappelle), Grace fonce sur le premier marché venu et propose gracieusement son aide à une brave maraîchère, lui vendant son stock de patates aussi rapidement que des carrés de soie un jour de soldes chez Hermès. Action réussie, les locaux sont conquis ! Puis sus aux bonne oeuvres ! L'hôpital pour les enfants de Monaco ressemble à un orphelinat du Lesotho qui aurait subi les assauts successifs de hordes barbares et de douze bombardements ? ...
La fin sur le blog

Loin de la polémique de Cannes, le spectateur est plongé dans une œuvre de fiction qui met en scène la biographie certes romancée mais poignante, du destin d'une femme mais surtout du destin d'un symbole princier et d'un État. Une belle réussite où se mêlent politique, amour et complots...

pas si mal de la vérité en option rose et kidman sublime : pouvoir et secret et argent depuis la nuit des temps

hommage à cette femme si belle mais si généreuse. On retiendra de ce film qu'un côté de Grace une femme qui par amour pour son prince charmant fera tous ce qu"elle peux afin de devenir la princesse du rocher au prix Nicole Kidman.

Je ne connaissais absolument pas les arcanes de l'antagonisme entre la France (c'est-à-dire de Gaulle) et la principauté de Monaco au sujet de la non taxation des résidents monégasques et de l'exode que cela générait vers le rocher. Après tout, à l'époque j'avais une dizaine d'année et cela ne m'intéressait guère. Dans la mesure où l'histoire racontée dans ce film contient sans doute un bon fond de vérité, j'ai donc appris pas mal de choses en allant le voir. Le scénariste a ainsi réussi à nous présenter ici un épisode assez peu connu de la vie de Grace Kelly, devenue Princesse de Monaco, sans tomber dans le pathos, en évitant donc d'évoquer sa fin tragique. C'est intéressant, j'oserais même dire assez passionnant, parce que, bien qu'on sache que le blocus français a finalement été levé et que tout est rentré dans l'ordre dans le meilleur des mondes, le film nous dévoile la manière dont les choses ses sont normalisées... un peu grâce à Grace... (Désolé, je n'ai pas pu m'en empêcher !). Le dilemme (actrice ou princesse ?) auquel est confrontée Grace Kelly et le choix cornélien qui s'impose à elle sont adroitement mêlés à l'intrigue "politique". Quant aux acteurs, ils sont vraiment superbes, Nicole Kidman en tête. Dommage que les dialogues soient exagérément en Anglais dans un environnement où de toute évidence le Français devrait dominer. Dommage également que la grande salle dans laquelle j'ai visionné le film n'ait accueilli ce soir qu'une vingtaine de spectateurs. Simultanéité de la sortie de "Godzilla" ? Mauvaises critiques de presse ? Promo ratée ou désintérêt du public pour un monde glamour suranné ? J'espère quand même que la barre se redressera : ce film en vaut totalement la peine, malgré quelques longueurs qui auraient pu être évitées....

Ce film un peu niais manque cruellement de naturel et de réalisme, malgré toute la bonne volonté de Nicole Kidman. On est vite lassé par le côté surfait et mégalo des pseudos biopics à l'américaine, qui enlève toute crédibilité à l'histoire. Le manque d'action et les "intrigues" brouillons finissent de nous convaincre que ce film ne mérite même pas l'attention et la colère de la Principauté. PS: quelqu'un pourrait-il se charger de dire à Kidman d'arrêter le botox, svp?