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Yves G.
1 461 abonnés
3 488 critiques
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2,5
Publiée le 7 juin 2014
Sentiments mitigés à la sortie de "Grace de Monaco". Une première moitié du film qui ne m'emballe guère. Parce qu'il est basé sur un suspense dont on connaît l'issue : Grace Kelly abandonne en 1956 Hollywood pour épouser le prince Rainier de Monaco et n'y reviendra jamais, même quand Hitchock lui proposera le rôle-titre de Marnie. Mais peu à peu la magie s'opère. La beauté des costumes, des reconstitutions font leur effet. Les acteurs en imposent par leur majesté : Nicole Kidman qu'Olivier Dahan filme amoureusement en ultra-gros plan, Tim Roth toujours excellent. Une scène aux deux tiers du film au montage haletant fait toucher du doigt ce qui est rarement filmé au cinéma : une négociation diplomatique, ses coups de bluff, ses aléas ... Hélas tout s'écroule par la faute du final grotesque. Un discours larmoyant et inepte de l'héroïne, comme Hollywood aime en conclure ses plus belles envolées.
Une fresque biographique scintillante et lénifiante !
« Fenêtre sur Four », « Délicieuse catastrophe », « Royal navet » ; autant d’expressions qui frôlant l’oxymore, attestent du dégoût généralisé de la presse mondiale pour Grace de Monaco, la dernière œuvre d’Olivier Dahan, réalisateur français adepte du béret et qui depuis son film La Môme, est devenu le porte-étendard des éloges panégyriques féminins, comprenez un hommage à une illustre personne la plupart du temps exagéré.
Pas de grâce pour Grace de Monaco ! Emporté par un casting en papier mâché, Grace de Monaco est un biopic qui nous donne des sueurs froides d'ennui! Olivier Dahan met en scène le portrait d'une Cendrillon dans un palais Monegasque, au coeur d'intrigues James Bondienne qui n'ont ni queue ni tête, pour finir par nous faire croire qu'un bal peut vous sauver d'une annexation – voire d'une troisième guerre mondiale ! Pour en savoir plus, lisez notre critique complète NoPopCorn !
Nicole kidman fait ce qu’elle peut mais le film ne décolle jamais et ne passionne guère. Il faut dire qu’au final ce biopic repose sur un scénario très plat, sans lyrisme, sans romantisme, sans glamour, sans action. A ne pas vraiment choisir un parti pris au risque de sortir des rails de l’histoire officielle et de froisser la principauté de Monaco le film et la réalisation sont plats et convenus. Un échec prévisible compte tenu de la période choisie, la vie de Grace Kelly étant sans doute plus intéressante que celle de Grace de Monaco.
Malgré de superbes décors et les remarquables interprétations du duo Nicole Kidman/Tim Roth, ce biopic d'Olivier Dahan révèle un scénario manquant d'intérêt, de consistance et délaissant le côté princier au profit de la politisation de l'histoire. Une déception de taille...
Comme la première phrase d'un roman, le premier plan au cinéma peut refléter l'âme d'une œuvre. C'est le cas avec Grace de Monaco et ses images filmées en plan-séquence, rendant hommage au septième art avec cette belle mise en abîme. D'abord actrice, Grace Kelly devient idole pour devenir enfin princesse. Cette scène d'introduction se finit sur un miroir qui laisse apparaître son visage que nous n'avions pas encore vu. À travers ce reflet, qui cette femme est-elle vraiment ? Les bases sont posées, le portrait peut alors commencer.
Olivier Dahan reprend le genre qui a fait son extrême popularité : le biopic. Avec La Môme, le réalisateur avait retracé tout le parcours de Piaf. Ici, le récit ne se concentre presque que sur une année de la Princesse pour aller à l'essentiel de ce tableau humain : les multiples identités de cette femme, et la terrible transition à laquelle elle est confrontée. Ayant pleinement conscience de diriger l'une des plus belles actrices de son temps, le cinéaste filme Nicole Kidman au plus près avec des mouvements de cadre sensuels et harmonieux.
À l'image de son héroïne, Grace de Monaco s'avère être naïf et penche bien plus du côté du conte que du film historique, comme une sorte d'hommage à la femme et aux sacrifices qu'elle doit faire. Il n'y a qu'à voir le discours final, certes très beau, mais en dehors de tout enjeu politique et de réalité diplomatique. Il n'empêche que Nicole Kidman se montre toujours aussi glamour et inatteignable, jouant l'abnégation avec justesse. Face à elle, le trop peu sollicité Tim Roth incarne l'autorité et l'incertitude avec pudeur.
Vous connaissez la légende, la plupart des contes ont le devoir de bien finir puisqu'ils sont destinés aux enfants. Même si le public est ici plus âgé, l'envie reste la même : croire que l'amour existe, sous toutes ses formes.
La grâce… Tout ce que n’a pas ce Grace de Monaco aux allures de guimauve écœurante, symbole parfait des risques guettant un biopic raté, le danger du grotesque risible en premier lieu. Avec ce « Crasse de Monaco », Dahan se loupe tant dans ses intentions que dans ses choix artistiques ou son discours. Un naufrage gênant sous perfusion de glucose et de glamour, qui empile les tares comme des jetons de Casino. Horrible.
(...) chaque conte de fée recèle de nombreuses facettes. Il y a les paillettes et les avantages liés au rang et au statut mais surtout le protocole. Un protocole bien difficile à suivre lorsqu’Alfred Hitchcock de par son projet de film amène ce feu artistique qu’elle accepte d’éteindre mais qui la consume encore. Une voie qui lui manque et qui, couplée à des problèmes maritaux et une situation politique tendue (la menace d’annexion de la France) la font douter et la confronte à une question, qui constitue le cœur du film : comment passer le reste de sa vie dans un lieu où elle ne peut pas être soi-même ? Une image et un questionnement, qui bien qu’intéressant souffrent d’une gestion très maladroite. En effet, avec Grace de Monaco, Dahan, peu soucieux de se voir attribuer l’étiquette d’historien et relater les événements tels que l’Histoire les dicte ( l’historien Jean des Cars, spécialiste de la famille royale monégasque, a d’ailleurs déclaré après visionnage du film qu’ « historiquement, politiquement, sociologiquement et humainement, il n’y a pas une scène ni une réplique qui soit conforme à la réalité ni même à la vraisemblance. »), opte pour une mise en scène s’affranchissant du protocole des biopics et propose ainsi une fiction inspirée de faits réels qui ne cherche pas à réinventer la réalité mais bel et bien à la repeindre. Repeindre oui, car Dahan préfère l’étiquette d’artiste à celle d’historien. Tel un Picasso de la pellicule, celui-ci cherche par les libertés qu’il prend avec l’Histoire, à dresser de manière assez fidèle le portrait caché de cette Princesse méconnue en mettant a disposition de Nicole Kidman la palette d’émotions que ressent Grace, entre peur, incertitude, déception et enfermement. Grace de Monaco, ce sont des émotions, qui de par leur surexploitation laisse transparaître le réel défaut du film : la vacuité de son scénario. Personnages la plupart du temps assez creux et réduits à des stéréotypes, baisse de régime due à l’improvisation ou encore mélange hasardeux entre film d’espionnage, film de conspiration, récit familial et drame scintillant, le film est un peu tout à la fois, sans jamais donner une ligne directrice. Tout juste, pouvons-nous nous extasier devant la représentation des années 1960, qui parfaitement retransmise, évite au film de sombrer dans les limbes de la nullité.
Olivier Dahan réalise son deuxième Biopic ,7 ans (Déjà !) après "La Môme". Une autre figure féminine emblématique avec cette fois, Nicole Kidman dans le rôle titre. Froide beauté australienne, elle incarne à merveille la Princesse monégasque. J'ai cherché pendant tout le film qui d'autre aurait pu incarner Grace Kelly - sans résultat. Et si j'ai eu le temps de penser à tout ça, c'est que l'histoire défilant sur l'écran n'est pas parvenu à capter mon intérêt. Et ce malgré les jolis costumes et décors. Pas de glamour derrière les tenues de soirées, pas d'intrigue captivante entre les murs du Palais, pas d'émotion dans les beaux discours.
Ce n'est pas un biopic mais du remplissage. Pourtant le film fourmille de sujets : crise conjugale, espionnage, politique et diplomatie et la difficulté pour Grace de trouver son identité. Tous sont à peine effleurés, laissant le spectateurs sur sa faim. On en sort avec une étrange impression de vide, celle d'avoir vu un brouillon de film, de téléfilm plutôt.
Pour faire court : Sans envergure et sans saveur. Olivier Dahan n'est pas au top de sa forme. On attend son prochain long (avec lui, c'est un peu un coup sur deux).
Je comprend les mauvaises critiques de ce film. Cependant en ce qui me concerne je l'ai plutôt apprécié cependant le scénario est un peut mal ficelé à certain moments et le doublage... Pourrave ! Qu'est-ce qui a prit aux gens de mettre une voie de jeunot pour Tim Roth ? rraaaaaa mais oreille on eu mal et puis faire un gros plan sur le seul baisé du film de sorte à ce qu'on le voit pas... C'est nul ! Malgré tout c'est un film plutôt sympathique j'aimerais voir en version original car à mon avi les doublages ne mettent pas du-tout les comédiens en valeurs !
Difficile de tenir 90 minutes su un sujet aussi pauvre. Bien qu'ayant eu une vie originale grace kelly n'a rien accomplit méritant ce biopic. On apprendra qu'un discours sur l'amour à lui seul a permis de mettre fin à une invasion... qu'attend on pour le traduire aux terroristes, aux guerres du moyen orient et du reste du monde... Sinon bravo pour l'excellente interprétation de Kidmann.
Le film est pas mal et l histoire intéressante, en revanche heureusement j étais prévenue qu il s agissait que d'une partie de la vie de 'Grace a Monaco, sinon j aurais pu être déçue. Gros coup de cœur pour Tim Roth qui est plus qu excellent dans ce rôle. Nicole Kidman très belle très glamour très "Grace" mais quel dommage le botox : elle n a plus d expression sur son visage et c est dommage pour une actrice...
J'attendais beaucoup de ce film malgré les polémiques qu'il avait susciter. Savant aussi que c'est Olivier Dahan (réalisateur de la Môme) qui réalisé de film. A la vue de ce film quel fut ma déception : tout est faux de bout en bout. Ce biopic présente Rainier III comme un macho et Grace Kelly comme une nunuche, le scénario écrit par Arash Amel est plus que douteux et sans grande qualité. De ce gros gachis ne reste que NICOLE KIDMAN qui signe une de ses plus belles interprétations et qui aurait vivement du remporter un oscar ou autre récompense tellement elle est merveilleuse et sauve le coté ''nunuche du personnage''. Et une bo moyenne mais sympa. A ne regarder que pour elle (KIDMAN) sinon fuyez ce film !!