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20centP
17 abonnés
235 critiques
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2,0
Publiée le 21 septembre 2012
Un film pas déplaisant mais trop superficiel. On sourit a plusieurs reprises. Cependant , beaucoup de thèmes ouverts mais la plupart ne sont qu'effleurés : la relation père/fils, la tentation de l'adultère, la question des sans papier, l'adolescence, ... Du coup, bien que servi par un joli jeu d'acteur, il ne reste de ce film que de très vagues souvenirs après quelques semaines. Dommage car des choix plus affirmés dans le scénario aurait rendu l'ensemble plus cohérent.
A ma grande surprise je vois que la presse aime beaucoup ce petit film un peu bâclé d'ou émerge de temps à autre une idée intéressante , deux trois répliques amusantes une situation cocasse mais ça va pas casser trois briques à un canard , même laqué ! Alors on peut éviter le déplacement ...
Je sors de voir.....Beaucoup de bruit pour pas grand chose, comme d'habitude. je me suis un peu fait spoiler: chier cette histoire de ss papiers improbable, ces histoires de cul, ces histoires de mal être intello parisiens, ON S'EN FOUT !! racontez nous une bonne histoire, sans histoire à l’intérieur de l'histoire,bordel.
Malgré les décors standards de ce type de film, et quelques problèmes des riches habitants de Paris que l'on croise assez souvent au cinéma français, Jean-Pierre Bacri et Isabelle Carré, tout comme Claude Rich, apportent, aider par un scénario réussi et des bons dialogues, une touche de sincérité, humour et même parfois romantisme.
Les acteurs font ce film...Bacri, Scott Thomas, Carré et Rich campent des personnages intenses , attachants ou excrécrables. Le scénario parfait cette réalisation de Pascal Bonitzer.
Distribution allechante et tous sont justes dans leurs roles respectifs, le seul souci etant qui ne se passe rien de captivant c est dommage car mieux yraite ce film pouvait etre tres bon. De plus quelques scenes surrealistes inutiles au film, a quoi bon! Je me suis ennuye.
Une très belle comédie douce amère qui aborde plusieurs thèmes, les sans papiers, la vieillesse et son lot de solitude, les rapports parents enfants,la crise de la cinquantaine. Les acteurs sont au top. Bacri sans Jaoui semble libéré, quant à Isabelle Carré, elle est d'une naiveté touchante. Mention bien à Christin Scott Thomas.
Une comédie grinçante qui vaut le détour grâce à un scénario prenant et une histoire bien écrite qui fait qu'on ne perd jamais le fil. Egalement grâce aux comédiens qui, d'Isabelle Carré à Claude Rich en passant par Kristin Scott Thomas, sont tous excellents. Mais c'est Bacri qui, égal à lui-même, à savoir bougon, râleur et renfrogné, grandit encore le film à travers un jeu tout en émotion et en sensibilité. On peut maintenant faire le reproche au réalisateur d'intégrer son histoire dans le milieu intello-bourgeois parisien, bien pensant mais qui ne bouge que dans les discours.
Si l'incompréhension et la dispersion du couple est ressenti, on comprend mal le rapprochement des individus à l'extérieur du couple. Ce qui est franchement gênant quand ni sensualité ni délivrance ne pousse Bacri dans les bras de cette inconnue bien trop présente pour être tout à fait innocente. Puis ses turpitudes dû à ce service non rendu et son père pas entendu depuis tant d'années. Beaucoup de sujets traités avec trop peu d'intérêt.
On peut toujours chercher Hortense, on ne la trouvera pas dans le dernier film de Pascal Bonitzer. Qu’y trouve-t-on alors ? Un peu de tout, et c’est bien le problème du film : à vouloir raconter les histoires de tous les personnages navigant autour de Damien (Bacri, toujours égal à lui-même, c’est-à-dire formidablement râleur), il finit par ne pas raconter grand-chose. Entre le fils gentiment rebelle, la femme volage, le père plus ou moins homo (Claude Rich, finalement la seule vraie surprise du film), le couple d’amis qui s’invite pour baiser dans la salle de bains et une Serbo-Croate sans papiers, Damien n’a pas le temps de s’ennuyer et voit sa vie basculer alors qu’il n’avait rien demandé à personne. Si les acteurs sont bons et que certaines scènes ne sont pas désagréables, tant sur le pan de la comédie que du drame, « Cherchez Hortense » n’est rien d’autre qu’un petit film bobo, décrivant les petits tracas de Parisiens classe-sup ainsi que leurs nobles intentions à l’égard des sans-papiers, face à un Etat qui, lui, ne s’en moque pas mal (la scène assez cliché du contrôle de papiers – dans le XVIème…) C’est bien-pensant, propre sur soi, et finalement totalement conventionnel, surtout pour un film qui nous explique en cours de route qu’être un homme et coucher avec des hommes ne fait pas de soi un homosexuel (une étiquette communautariste, dixit le père de Damien). Ici, on se révolte contre l’injustice, mais en douceur : à défaut de Grand Soir, on se contentera d’un peu de caviar.
Personne d'autre que BACRI ne peut jouer ce rôle, ( mais les rôles d'IVA et de NOÉ sont très bien interprétés aussi) ce film à voir vraiment, est assurément « sous côté » par la critique très injuste !
Voilà un pur produit de cinéma parisien pour bobos sans réelle histoire si ce n'est l’éternelle redite sur le couple en crise sur fond politique, ici l'expulsion des sans papiers. Mention spéciale pour Jean Pierre Bacri que j'adore et qui porte le film sur ses épaules, sinon à part ça pas grand chose à retenir, typique du film français qui se laisse regarder mais dont on se sait jamais trop où il veut nous mener.