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Mimit_le_vrai
32 abonnés
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3,5
Publiée le 17 octobre 2014
Les images et les effets spéciaux sont très beaux, l'histoire est sympathique, Angelina Jolie assure dans son rôle. J'ai passé un moment agréable. 14/20
Très bon film, acteurs excellents ( mention à Angelina Jolie qui est juste parfaite dans son rôle ), bons effets spéciaux, histoire un peu surprenante spoiler: ( Maléfique n'est pas très méchante, enfin à un moment de l'histoire elle est diabolique, puis elle devient proche d'Aurore, ce qui m'a paru un peu étrange, mais bon )
Je ne me suis pas ennuyée durant tout le film, j'ai vraiment bien aimé ! A voir !
Bonne surprise, bonne actrice, et oui ce film est réussie dans quasiment tous les points, pas de faille dans le scénario qui coule jusqu'à la fin de l'histoire.Des animations inégal assombrie ma note, et certain personnage qu'on se serait bien passer (les fées) si on enlève ces Defaults, ce film mériterais au moins 4 étoile.
Avoir une corne sur sa tête est il censé vouloir dire qu'on a une corne dans son coeur?
Après avoir éduqué les petites filles pendant des décennies sur le schéma traditionnel du patriarcat via les histoires de princesses et de princes transits d'amour, voilà donc poindre chez Disney la nouvelle doxa familiale destinée aux petits et aux grands (surtout les petites) Starring Angelina Jolie, plus charismatique que jamais dans le rôle d'une Maléfique à des années lumières du Sleeping Beauty d'origine.
Et c'est bien là justement où se situe toute la perversité de l'affaire!
Non content de prendre à rebours toute l'imagerie classique du conte de fée traditionnel, Maléfique se pose tout simplement en nouvel étendard d'un féminisme agressif, où l'indépendance des femmes est sans cesse menacée par l'ambition et la fourberie des hommes (dont la duplicité n'a d'égal que leur lâcheté) distillant au passage une vision pour le moins dérangeante et ultra simpliste du combat pour l'égalité des sexes (qui ici n'existe pas, les hommes étant incapables de faire preuve de la moindre compassion).
Car outre l'incongruité pour une petite fille ravissante d'être affublée d'un nom à consonance négative (comment t'appelles tu? Ducon? Oh mais quel joli prénom!) impossible de ne pas s'interroger sur les conséquences désastreuses qu'un tel film peut avoir sur le public visé, surtout en considérant les antagonismes naturelles des premières années opposant filles et garçons, ces derniers étant dépeint symboliquement comme des êtres inférieurs, incapables de s'émouvoir de la beauté des choses simples, bien trop occupés à jouer à la guerre et autres jeux idiots (à moins bien évidemment qu'ils soient réduit à de simples valets tel le corbeau du film, véritable homme à tout faire de la "mauvaise" de service).
D'un manichéisme confondant, le film de Robert Stromberg enfonce encore plus le clou avec un final spoiler: que ne renieraient pas les associations LGBT, Pro choix, le fameux baiser d'amour sincère étant finalement délivré par la Jolie à la Belle, conjurant par la même occasion le sort jeté par la "marraine" repentie, là où le piètre prince avait malheureusement échoué, son amour étant probablement plus motivé par un excès d'hormones que par de nobles sentiments (ah les hommes, tous les mêmes!).
On s'interrogera également sur la symbolique pour le moins ambigüe relative à l'éducation de l'Aurore par un trio de fées bouffant littéralement à tous les râteliers, reléguées ici aux rôles de mauvaises mères (aux ordres du roi) Maléfique pourvoyant naturellement aux besoins primaires du bébé, telle la mère isolée sachant d'instinct comment éduquer une fille.
Un film pour le moins pervers donc (surtout si l'on considère les ravages que sa vision pourra engendrer chez les plus influençables quand ces dernières revisiteront La belle au bois dormant à l'aune de cette version inversant les rôles gentils/méchants!), vendu comme blockbuster familial innocent et novateur mais dont la vocation ressemble bien plus à la destruction de tout ce qui caractérise l'essence même du couple père/mère (la base pour faire des enfants depuis la nuit des temps, n'en déplaise aux apprentis sorcières "modernes") qu'à un rééquilibrage des rapports sociaux entre des hommes et des femmes ici présentés comme des ennemis mortels, le tout chapeauté par une simili Baphomet (voir wikipédia pour s'en convaincre) Luciférienne (l'ange déchu donc privé d'ailes dans la tradition Chrétienne) ou comment taper dans l'initiation au satanisme très subtilement l'air de rien (aurait il fallu que le corbeau métamorphe s'appelle Devil "Diable" au lieu de Diaval pour que vous compreniez l'allusion?).
Le film à ne surtout pas montrer aux enfants en somme!
Du point de vue de la bande-annonce, ce long-métrage annonçait du lourd niveau action et univers visuel. C'est ce qui m'a décidé à le regarder et je l'avoue, rien d'autre n'entrait en ligne de compte. Résultat : c'est plus ou moins ce à quoi je m'attendais. Je m'attendais par exemple au fait que le film, Disney oblige, se termine bien, que les personnages soient un peu niais (mais moins que d'habitude, il convient de le signaler) etc. Ce à quoi je m'attendais moins c'est le manque de rythme dont souffre le film (heureusement on ne s'ennuie pas vu la longueur du film), comme ne le laissait pas supposer la BA. L'action tarde à venir, et quand elle vient elle est trop brève, mais à la limite cela ne me dérange pas. Par contre ce à quoi je ne m'attendais pas du tout, c'est à un scénario qui, pour une fois, laisse un peu tomber le manichéisme pour nous proposer quelque chose de plus complexe, et là pour le coup ça m'a fait plaisir (surtout de la part de Disney). Un Disney un peu plus mature (ça fait du bien) et fort sympathique.
Fée au bois corrompu, Angelina Jolie écrase tout de sa surprenante performance dans MALEFICENT, le récit, le casting, les intentions. Règlement de conte au parfum féministe, ce détournement de la Belle au Bois Dormant étonne de prime abord, nuance multicolore des racines d'un Mal emblématique, source martyre et incisive d'une sous-lecture violemment crue. Malheureusement, production Disney oblige, le film se trouve vite rattrapé par son statut familial et enchaîne les déséquilibres du contraste imposé : le déluge indigeste d'effets spéciaux et de créatures prosaïques, contamination lymphatique, plonge progressivement l'intrigue des rosseries humaines dans un torrent de naïveté, malgré le maigre spectre de l'impuissance. On boude l'absence totale de virtuosité visuelle et son happy-end baveux, mais MALEFICENT conserve une âme, celle de sa tête d'affiche, qui nourrit cette fable exorbitante d'une pointe ébène de décadence.
Reprenant l'histoire de la belle au bois dormant, "Maléfique" l'adapte de manière très plaisante avec un scénario bien écrit. D'autant plus que la réalisation est excellente avec un rythme entraînant. Quant aux acteurs, ils sont convaincants surtout les protagonistes. Ainsi, le film divertit beaucoup et reste intéressant dans tous son ensemble.
N'a d'intérêt que la prestation d'Angélina Jolie et certains décors plutôt bien réalisés. Le scénario n'a pas d'originalité (si ce n'est le point de vue pris de ce conte), et la plupart des acteurs (dont la belle au bois dormant ! ) n'ont pas de charisme (ou très peu) et sont effacés par le personnage principal. Une grosse déception pour moi.
En un mot : étonnant! Un point de vu différent du conte initial, un film moins naïf que les autres Disney avec une belle leçon : dans toutes les histoires du monde, il y a toujours autant de points de vue différents que de protagonistes impliqués!
Un très beau film, Angelina Jolie est très bien dans le rôle de Maléfique, encore une fois Walt Disney réinvente l'histoire de Charles Perrault, là on découvre la sorcière sous un autre visage, pourquoi était-elle devenue méchante, ce qui est très intéressant, fini le conte pour enfant, on est dans un aspect plus adulte, où le mal n'est pas vraiment le mal et le bien pas vraiment le bien. Un cœur blessé peut faire des choses très noires, une ambition sans amour, tout autant, les 2 côtés s'affrontent. Les effets spéciaux sont corrects, on est plongé au début dans un décor féérique, juste petit bémol pour les 3 sorcières, l'illusion n'est pas parfaite. Un film à voir pour Angelina Jolie et Elle fanning.
Film magnifiquement joué par Angelina!!! Les effets spéciaux sont bluffants! L'histoire entre le bien et le mal...l'éternelle question, très bien traité ici par ce conte.
une superbe adaptation au cinéma. l'histoire change mais elle est magnifique.Quelques scene du dessin animé et retrouvé dans le film ce qui ma fait plaisir.les acteur et les actrices incarne a la perfection leur personnages et personne etait mieux placer pour jouer malefique et c'est incroyablement bien fait les ailes sont juste incroyable.et pour finir j ai adorer le corbeau
Je suis souvent déçue des films Disney mais celui-ci est très bien réalisé. L'histoire vue du côté Maléfique est excellente et je préfère celle-ci au conte. Angelina Jolie est incroyable et tient son rôle comme personne, les effets spéciaux sont à couper le souffle. Petite exception pour le roi Stéphane, l'acteur n'a pas du tout de charisme! L'interprétation de Lana Del Rey en bande sonore finale est magique. Film à voir absolument pour tous les amoureux de magie et de l'univers Disney ( avoir vu le film d'animation me paraît obligé!)
Agréable conte revisité à la sauce sombre, Maléfique propose un focus sur la face cachée de la "méchante" pour compléter l'histoire originelle. On reste quand même dans du Disney alors faut pas s'attendre à des miracles non plus, le but est clairement de surprendre le spectateur pour retenir son attention mais pas trop quand même pour ne pas le brusquer. Aucune révolution ici donc, malgré ce qui nous est vendu en bande annonce ! Alors si on s'éloigne agréablement des sentiers battus du côté de l'histoire, on retrouve toujours le décor fantastique, les accessoires et les personnages fantastiques qu'on voit partout ailleurs (alors que le principe du fantastique, c'est quand même de n'avoir aucune limite en termes d'interprétation), les personnages idiots censés nous faire rire mais qui se révèlent agaçants dès qu'ils (en l’occurrence, "elles") alignent deux mots et ainsi de suite. Quant au jeu d'Angelina Jolie, il compense agréablement les inévitables clichés du genre en apportant une touche grave et non pas ridicule comme on pourrait s'y attendre et parvient même à susciter de l'attachement. Heureusement qu'elle est là parce que l'ensemble manque quand même de réelle prise de risque.