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Un visiteur
4,0
Publiée le 30 juillet 2015
Une comédie légère, de bonne humeur dans laquelle on ne s’ennuie pas. Film très agréable destiné pour un public adulte. Le concept est sympa de raconter la petite histoire des personnages principaux dans la grande histoire commune que l'on connait tous.
Film intello-politique dont on retiendra ces images d'archives des années 80 jusqu'au début 2000 sur la politique et pas que. Perso je n'est pas accroché, surement le film manque un peu de rythme et de folie. Un petit 2 sur 5. -----Juillet 2015----
Avec ce film Nicolas Castro nous retrace, dans une sorte de fresque, plus de 20 ans de politique française dont 12 ans de présidence socialiste entre l’élection de Mitterrand et la réélection de Chirac en 2002. La bande-annonce était intrigante et plutôt amusante, tant on regarde avec amusement et un brin de nostalgie l'enthousiasme et l’idéalisme de ceux qui ont vécu l’arrivée de la Gauche au pouvoir. Le film est donc touchant à regarder et on se laisse prendre par la main pour suivre les destinés opposées de ces deux frères qui vont diverger à partir de ce moment clef. On s’amuse même à rechercher dans les personnages montrés les vraies identités des édiles et des journalistes qui ont côtoyé le président (Jacques Attali, Jacques Séguéla…). Las, comme le personnage de Léon, ce retour sur les années Mitterrand, nous rappelle la gueule de bois qui en a résultée et comment le pouvoir a corrompu les idéaux de ceux qui avaient voté pour un changement de société. On se lasse donc assez vite de cette fresque sur la France des années 80-90 et l’intrigue qui manque quand même de force ne fait que suivre assez mollement le destin de ces deux frères sortes d’archétypes des militants de gauches qui ont divergé entre ceux qui sont restés fidèles à leurs idéaux, peut-être trop, et ceux qui ont basculé dans l’ivresse du pouvoir et de l’argent. Cette dichotomie est un brin manichéenne et donc pas mal simpliste. À côté de ça on a des séquences avec le père des deux hommes dont la finalité est encore à déterminer et dont la présence n’était pas vraiment nécessaire tant elles s’avèrent inintéressantes. L’interprétation de Pio Marmaï, Gaspard Proust, Ramzy Bedia et Laetitia Casta est solide, mais elle ne parvient pas à soutenir l’intérêt pour un film dont l’intrigue, sur fond de revue politique de ces 20 dernières années, n’est pas vraiment très passionnante. Un film pas plus désagréable que ça, mais qui au bout d’une demi-heure trois quarts d’heure perd fortement de son intérêt. Pas franchement indispensable.
Lamentable bluette socialo-propagandiste. Entre 1981 et 2002.... Quand la France se défait chaque jour un peu plus (les années Mitterrand et le 1er mandat Chirac - kif, kif). Film "politique" par un homonyme de Mme ex-Fabius (Françoise de son prénom, elle), avec historiette où l'ambition du frère A (Gaspard Proust) lui fait oublier d'où il vient (askhénaze prolo coco - tendance Trotsky probable, eu égard au prénom du cadet), quand le frère B (Pio Marmaï) se cramponne à ses idéaux. Avec "fiancée" (Laetitia Casta) passant de l'autre à l'un, puis de l'un à l'autre..... Une étoile quand même pour les passages hilarants (sans que cela soit sans doute le but premier...) mettant en scène le boboland en émergence (plutôt encore "gauche caviar" - sphères supérieures spécialement friquées, totalement déconnectées du réel vécu par le populaire, et du dernier ridicule...).
une comédie tantôt marrante quand elle traite de moments de vie ordinaire mais beaucoup moins quand elle parle de nostalgie politique. Ce sujet est un peu la base et le thème du film : sujet pas facile pour une comédie , mais les acteurs s'en sortent assez bien et la réalisation est sympa et fraiche, mais trop peu de rebondissement ce qui en fait un film ennuyeux. Les fans de Gaspard Proust apprécieront la prestation de l'acteur.
Fable politique presque insipide, pas franchement drôle ni intéressante, Des Lendemains qui Chantent nous conte l'histoire d'une famille / bande de potes socialistes qui suit la montée en puissance puis le déclin du PS, de 1981 à 2002. Assez décevante dans son ensemble, cette comédie made in France a bien du mal à convaincre, et ce malgré son casting alléchant.
On reste sur notre faim à suivre ces personnages qui nous replongent dans le passé, forts de leur conviction et surtout de leurs incertitudes. PLV : quelques moments font sourires
Film sympathique traversant les époques avec les présidents au pouvoir, il manque cependant d'une étincelle pour en faire un grand métrage français car après tout il est rempli de clichés et de ficelles scénaristiques faciles. Dommage car Laëtitia Casta sort son épingle du jeu et montre qu'elle n'est pas simplement qu'une belle plante !
Faible dans la mise en scène, le jeu des acteurs est très amateur. Autant dire que le film qui voulait passer un message d'une France populaire, tombe dans le cliché maladroit du parisien, bobo, totalement égoïste. Malheureusement, si on peut rire de la présence de Ramzy dans le film, Des Lendemains qui chantent déchantent vite à cause d'erreurs de script : les scènes avec le père sont presque inutiles, tout comme la présence de Laëticia Casta.
Je mets 3.5 car ce film m'a fait du bien. Sans être un chez d'oeuvre, j'ai aimé les acteurs (tous), la mise en scène et l'histoire. D'ailleurs drôle de voir que les attentes de 1981 sont les mêmes encore aujourd'hui.
Très joli film ! Un mix de politique, fraternité, amitié et amour, ce cocktail est rarement proposé au cinéma, c'est vraiment une belle surprise. Le trio Marmai, Proust et Casta fonctionne, bien entouré par Ramzi et Dussolier entre autre car même les petits rôles sont parfaitement castés. Cette histoire d'émancipation de deux frères est touchante et prenante car ponctuée par des événements qui ont faits notre génération, les différentes élections politiques, les avancées technologiques et la coupe du monde... Un agréable moment à travers le temps et les idéaux.
J'avais pas mal d'à priori, je me disais un film sur la politique oups, mais non c'est traité intelligemment, même si ça reste une bonne petite comédie Française. Car on apprend pas grand chose dans ce film, même les relations entre les personnages sont survolés, rien n'est approfondi. Par contre Ramzy pour une fois m'a bien fait rire il est parfait dans son rôle et c'est vraiment drôle. Pour le reste une bonne comédie de TF1 un Dimanche soir pour tout public.
Allez le lendemain c'est un Lundi et c'est pas des Lendemains qui chantent les Lundis
Quel est l'objectif du réalisateur avec cette comédie qui n'en est finalement pas une ? A travers l'histoire de 2 frères militants socialistes, Nicolas castro aborde la politique de manière assez simpliste comme s'il ne s'agissait pas de son thème principal. Oscillant donc entre la romance et l'esprit nostalgique, "Des lendemains qui chantent" traite avant tout de l'amitié, de la réussite professionelle et des convictions que chacun a ou croît avoir. Ce n'est pas un film passionnant mais il se laisse volontier voir.