Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Télérama
par Nicolas Didier
Dans ce second volet, Sean Anders va plus loin dans la satire sociale (le rêve américain grippé) et joue agréablement avec les codes du polar — voir ce kidnapping foireux par trois pieds nickelés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Closer
par La Rédaction
Une comédie classique.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une suite d'humour potache prévisible.
Voici
par La Rédaction
Encore plus artificiel que l'original. Reste l'abattage important des trois vedettes (...) en roue libre.
Ecran Large
par Simon Riaux
Quiconque est déjà resté enfermé dans un espace confiné avec des pré-adolescents bloqués au stade anal sait combien ce genre de mésaventure est éprouvante.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Dans le genre comédie des nuls et humour à la truelle, un bon numéro de série.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Cette suite reste dans les rails de la comédie américaine potache, au scénario prévisible, qui n’évite pas les longueurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Critikat.com
par Pierre-Edouard Peillon
Progressant sur le terrain de la grosse farce méta comme un hamster dans sa roue, "Comment tuer son boss 2" prétend se libérer des conventions à travers une débauche d’énergie confinant à l’hystérie quand, au fond, il ne fait que tendre mollement le bras pour réclamer sa perfusion d’humour bigardien et de séquences affreusement clippées.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Régnier
Un "buddy movie" de plus - hautement dispensable - comme en vomit régulièrement Hollywood.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
Dans ce second volet, Sean Anders va plus loin dans la satire sociale (le rêve américain grippé) et joue agréablement avec les codes du polar — voir ce kidnapping foireux par trois pieds nickelés.
Closer
Une comédie classique.
Ouest France
Une suite d'humour potache prévisible.
Voici
Encore plus artificiel que l'original. Reste l'abattage important des trois vedettes (...) en roue libre.
Ecran Large
Quiconque est déjà resté enfermé dans un espace confiné avec des pré-adolescents bloqués au stade anal sait combien ce genre de mésaventure est éprouvante.
Le Dauphiné Libéré
Dans le genre comédie des nuls et humour à la truelle, un bon numéro de série.
Le Journal du Dimanche
Cette suite reste dans les rails de la comédie américaine potache, au scénario prévisible, qui n’évite pas les longueurs.
Critikat.com
Progressant sur le terrain de la grosse farce méta comme un hamster dans sa roue, "Comment tuer son boss 2" prétend se libérer des conventions à travers une débauche d’énergie confinant à l’hystérie quand, au fond, il ne fait que tendre mollement le bras pour réclamer sa perfusion d’humour bigardien et de séquences affreusement clippées.
Le Monde
Un "buddy movie" de plus - hautement dispensable - comme en vomit régulièrement Hollywood.