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POUR : Oui, on aime ce film un peu foutraque pour cette petite musique au clavecin bien tempéré et qui en dit beaucoup sur l'art et la manière de passer à côté de sa vie.
Cette comédie à l'humour corrosif mais non dénuée de tendresse offre à Laurent Lafitte, Benjamin Biolay et Nicolas Bedos de beaux personnages d'antihéros attachants.
Brice Cauvin signe un deuxième film sensible porté par une galerie d’acteurs au diapason. En dépit de quelques moments flottants dans la mise en scène, les dialogues de cette adaptation du roman éponyme de l’auteur américain Stephen McCauley rappellent la maestria d’un Woody Allen.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Moments de joie et de déprimes alternent, tout en pastels, mais au final, c'est un peu vain. Le film se referme sur la pointe des pieds, nous laissant imaginer que tout ça peut continuer bien longtemps sur le même rythme.
La sarabande pourra parfois sembler manquer un peu d’air, être un peu trop assujettie à la tyrannie du dialogue et du plan américain, elle n’en offre pas moins de la vive matière à disséquer pour des acteurs aussi éclectiques (...)
"L'Art de la Fugue" séduit par la minutie et l'élégance de ce traité sentimental, qui se nourrit moins de grandes effusions que de petits gestes élusifs.
Une belle distribution qui se perd dans un film qui n’arrive jamais à trouver ses marques et qui avance sans qu’on voie jamais où il veut aller. Décevant !
Brice Cauvin s'inspire du roman de Stephen McCauley pour réaliser cette chronique familiale qui, hélas, s'enlise dans l'emphase et souffre du jeu, tout en déclamations, des acteurs.
CONTRE : Mais quel dommage ! Disposer de pareilles pépites - un livre extraordinaire, des acteurs formidables - et parvenir à un résultat aussi plat, c'est à désespérer.
Telle quelle, la partition aurait tout pour séduire. Or, malgré son casting de choix, elle sonne faux en permanence. Les comédiens surjouent ce qu'ils sont et ce qu'ils éprouvent (...) Du coup, les scènes semblent se succéder pour faire avancer le récit, mais sans la moindre vérité, sans ce quelque chose qui existe hors de l'écran, ce hors-champ si précieux qui donne à un film sa force souterraine.
Télé 2 semaines
Tendresse pour les personnages et humour doux-amer sont donc au programme. Pour notre plus grand plaisir.
Le Parisien
POUR : Oui, on aime ce film un peu foutraque pour cette petite musique au clavecin bien tempéré et qui en dit beaucoup sur l'art et la manière de passer à côté de sa vie.
Ouest France
Cet "Art de la fugue" est une petite musique qu’on fredonne avec plaisir.
Public
Cette comédie à l'humour corrosif mais non dénuée de tendresse offre à Laurent Lafitte, Benjamin Biolay et Nicolas Bedos de beaux personnages d'antihéros attachants.
Télérama
On l'aime, d'autant que le réalisateur semble maîtriser un don qui manque à bien de ses confrères en comédie : le charme.
CNews
Brice Cauvin signe un deuxième film sensible porté par une galerie d’acteurs au diapason. En dépit de quelques moments flottants dans la mise en scène, les dialogues de cette adaptation du roman éponyme de l’auteur américain Stephen McCauley rappellent la maestria d’un Woody Allen.
Franceinfo Culture
Moments de joie et de déprimes alternent, tout en pastels, mais au final, c'est un peu vain. Le film se referme sur la pointe des pieds, nous laissant imaginer que tout ça peut continuer bien longtemps sur le même rythme.
L'Obs
C'est sympathique, souvent drôle et léger de ton.
La Voix du Nord
La sarabande pourra parfois sembler manquer un peu d’air, être un peu trop assujettie à la tyrannie du dialogue et du plan américain, elle n’en offre pas moins de la vive matière à disséquer pour des acteurs aussi éclectiques (...)
Les Inrockuptibles
"L'Art de la Fugue" séduit par la minutie et l'élégance de ce traité sentimental, qui se nourrit moins de grandes effusions que de petits gestes élusifs.
Première
Un portrait de l’évitement érigé en art de vivre qui pourrait énerver mais qui finit par toucher.
La Croix
Malgré ses bons acteurs, ce film réitère ses motifs jusqu'à s'enliser dans les états d'âme des uns et des autres.
Le Dauphiné Libéré
Une belle distribution qui se perd dans un film qui n’arrive jamais à trouver ses marques et qui avance sans qu’on voie jamais où il veut aller. Décevant !
Les Fiches du Cinéma
Brice Cauvin s'inspire du roman de Stephen McCauley pour réaliser cette chronique familiale qui, hélas, s'enlise dans l'emphase et souffre du jeu, tout en déclamations, des acteurs.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Critikat.com
Le film entier se traîne avec la même langueur apathique qui frappe le personnage incarné par Benjamin Biolay.
Le Parisien
CONTRE : Mais quel dommage ! Disposer de pareilles pépites - un livre extraordinaire, des acteurs formidables - et parvenir à un résultat aussi plat, c'est à désespérer.
Positif
Ce qui aurait pû être piquant et drôle paraît très vite plat et laborieux, trop explicatif dans les dialogues, jamais inventif dans la forme.
Sud Ouest
Telle quelle, la partition aurait tout pour séduire. Or, malgré son casting de choix, elle sonne faux en permanence. Les comédiens surjouent ce qu'ils sont et ce qu'ils éprouvent (...) Du coup, les scènes semblent se succéder pour faire avancer le récit, mais sans la moindre vérité, sans ce quelque chose qui existe hors de l'écran, ce hors-champ si précieux qui donne à un film sa force souterraine.