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Raphaël O
145 abonnés
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4,5
Publiée le 5 décembre 2015
Christopher McQuarrie signe un cinquième opus au scénario élaboré donnant un cocktail explosif et rythmé d'une efficacité redoutable, au suspense haletant et bourré d'action (les séquences de l'avion, de l'eau et des courses-poursuites sont époustouflantes), le tout servi par un super casting (Tom Cruise toujours aussi épatant et la très sexy Rebecca Fergusson). Un blockbuster puissant qui comblera les fans.
Mission impossible, Rogue nation : Une série qui n’a rien perdu de son efficacité et son ingéniosité grandissant d’épisode en épisode. Et après un MI : Protocole Fantôme qui est le must du film d’action ou chaque seconde peut couter la vie des personnages, je me disais, on ne peut pas faire mieux. Et avec ce nouvel opus, il ne fait pas mieux, j’ai toujours une préférence pour le 4 (avis personnel) mais il est tous aussi bon. Pourquoi pas meilleur car je trouve qu’il manque un poil de rythme, les scènes d’action sont assez espacé donc ça manque des fois de punch dans le rythme et le final est pas aussi grandiose. Mais, il a quelque chose en plus de très intéressant par rapport aux précédant, c’est qui joue la carte de la nostalgie et l’authenticité, c'est-à-dire qui ce rapproche plus du premier épisode et de la série Tv et ça c’est pas mal du tous, il y a qu’a voir le générique quasi identique que le premier film. Après, pour un film d’action, il a un scénario soigné et bien construit avec du suspens, des faux semblants et une certain s tension palpable, on voit qu’il est bien travaillé. Car IMF est dissous, Ethan est un fugitif recherche par le gouvernement et il y a un anti mission impossible qui le recherche. De plus, l’équipe de personnage/acteur marche du tonner : bonne cohésion et un humour très sympa. Après, cet épisode est basé sur les cascades réelles que notre cher Tom Cruise s’amuses à faire, cela prouve qui est un des meilleurs et encore une fois très impliqué, cela le démarque des autres. Et j’ai beaucoup aimée l’héroïne principale qui a un très bon rôle et fait de très bonne scène d’action, femme fort et déterminé, ça fait plaisir. Et il fait dire que encore une fois, l’action est terrible, ingénieuses et très prenants, chaque scène d’action est mémorable et ça grâce aussi a une bonne réalisation. PS : si vous pouvez, aller le voir en Imax, l’expérience vaut le coup. Donc voila, pas meilleur que le 4 mais la qualité est toujours la, très bonne série pour un super film d’action.
Ecrit et mis en scène par Christopher McQuarrie, ce cinquième « Mission : Impossible » est pourvu d’un scénario habillement mené, un peu jamesbondien par certains aspects et ne déviant jamais inutilement de sa trajectoire. Les scènes d’actions sont impressionnantes à l’instar des séquences se déroulant à Casablanca, la décoiffante poursuite en moto en étant le parfait exemple même si, forcément, Tom Cruise s’en sort sans quasiment aucune égratignure (faut pas pousser quand même...). Dans un rôle énigmatique et sexy, Rebecca Fergusson s’y révèle excellente, tout comme le sympathique Simon Pegg, fidèle à son image. Le reste du casting est par contre en léger retrait, Jeremy Renner en étant le principal pénalisé. Puissamment distrayant, « Rogue Nation » rempli parfaitement sa mission pour notre plus grand plaisir.
Nouveau Mission Impossible avec une grosse partie des acteurs de Protocole Fantôme. On suit toujours Ethan Hunt dans la lutte pour contrer un groupuscule opposé à Mission Impossible : le Syndicat. On ne s'ennuie jamais durant le film qui contient beaucoup plus d'humour que les autres opus. Mais certaines scènes d'action sont surjoués et peu crédibles (la scène de l'avion n'est tout simplement pas possible). Bref : Ok pour montrer des missions impossibles possibles mais il y a des limites !
Plus les "Mission: Impossible" passent et plus j'ai de l'affection pour Tom Cruise: non seulement parce qu'il se dévoue constamment corps et âme en tant qu'acteur et cascadeur à repousser ses propres limites tout ça pour nous offrir du divertissement jamais vu mais aussi parce qu'en tant que producteur il sait prendre tout le temps nécessaire et ne sortir ses films qu'une fois totalement aboutis. Résultat si la franchise se cherche encore une identité propre histoire de se démarquer une fois pour toutes de 007 et tracer sa propre route (MI4 ressemble à s'y méprendre au scénario de Skyfall et celui-ci à Spectre) elle est devenue depuis le volet d'Abrams un gage de qualité. "Rogue Nation" est de très loin le meilleur blockbuster de cet été et pas seulement par faute de mieux, c'est aussi l'un des meilleurs de l'année jusqu'ici je avec "Kingsman" et "Mad Max". Pas de secret dans la recette: une politique du tout en images réelles qui fait toujours aussi plaisir (et qui tend heureusement à se démocratiser au sein des blockbusters) au service de scènes d'action/espionnage à couper le souffle et constamment dans la démesure mais qui paraissent vrai justement parce qu'elles le sont. À vrai dire c'est plus la qualité de l'intrigue qui surprend, un bon cran au-dessus de la moyenne de la franchise et qui joue habilement des McGuffins. À noter que le film balance la purée dès le début pour se consacrer pleinement à son scénario dans sa dernière partie, un jeu de dupes dans la veine du premier opus, pas banal pour un blockbuster de ce calibre. À noter aussi une agréable propension de McQuarrie aux mexican standoffs en tous gente, le meilleur exemple étant sans doute l'Opéra... ça fait du bien de voir un décorsi bien exploité pendant une scène d'action. Plongé dans le film je n'ai senti aucun semblant de fausse note, les seues limites viennent avec le recul: d'une il faut bien le dire, aussi énormes soient-elles aucune scène n'est aussi intense, spectaculaire ni emblématique que l'ascension du Burj Khalifa de l'orgasmique "Ghost Protocol". De deux c'est vrai que même si les deux derniers opus sont mes préférés ils sont aussi ceux qui n'ont aucune personnalité, à aucun moment on ne sent l'aura de l'auteur de "Usual Suspects" derrière et c'est un manque à gagner. Après ce ne sont pas des défauts, plus des remarques qu'autre chose. S'il n'atteint pas forcément les sommets de son prédécesseur en termes de frisson ce cinquième opus le compense par une intrigue plus léchée, et reste une sacrée claque et une leçon pour la concurrence de toute façon.
Quatre ans après le précédent opus de la franchise, Mission Impossible est de retour. Aux manettes, la révélation Christopher McQuarrie (Jack Reacher) nous propose d'emblée une scène impressionnante et très attendue avec ce fameux avion A400M : du grand spectacle. On retrouve donc avec plaisir Ethan Hunt dans une intrigue où ce dernier se trouve vite en difficulté face à un ennemi charismatique (interprété par Sean Harris). Le film continue sur de hauts standards grâce à une séquence exceptionnelle à l'opéra de Vienne. En effet, pendant que se joue un opéra de Puccini, Hunt œuvre en coulisse pour déjouer un attentat. C'est grandiose sur le plan esthétique et musical et cela se termine sur le célèbre air Nessun Dorma, dans une scène à grand suspens. Côté casting, Tom Cruise fait donc le métier, comme toujours, avec beaucoup d'application et donne du sien dans toutes les séquences de cascade. Il est bien épaulé par Simon Pegg, le comédien britannique, très présent qui apporte une touche d'humour toujours parfaitement dosé. Les seconds rôles sont aussi convaincants que ce soient Jeremy Renner, Alec Baldwin ou encore Rebecca Ferguson dans le seul rôle féminin du film. La réalisation de McQuarrie est brillante et moderne, ce qui rend le film toujours agréable à regarder. Au final il n'y a donc que le scénario qui finit par dérailler. Bien tenu sur un tiers du film, le récit succombe ensuite dans la mode du toujours plus d'action, plus de vitesse et plus de simplicité. Ce qui se passe à Casablanca est bien inutile, tout va trop vite, et toutes les ficelles scénaristiques font dans le déjà-vu. De plus, il est bien difficile d’accrocher à l'intrigue, cette histoire confuse de syndicat et ses imbrications. Enfin, on ne sent jamais vraiment les héros assez en danger. On est donc loin de la tension, du suspens et de la maestria du film de Brian de Palma, Mission Impossible premier du nom.
Un nouvel épisode de MISSION IMPOSSIBLE qui suit et colle parfaitement à l'entertainment du précédent volet ! Des cascades spectaculaires, des gadgets, des complots entre agences gouvernementales et le soupçon d'humour qui suffit. Ça fonctionne toujours aussi bien. Tom Cruise bluffe encore et reste un action-man sur lequel on peut compter depuis quelques années. Les surprises : dans ce 5e volet, Simon Pegg prend du galon et participe à l'action de A à Z. Ethan Hunt se trouve également un séduisant alter-ego : Ilsa Faust, une ex-agent du MI6 jouée par la brillante et sauvage Rebecca Ferguson. Le scénario en est donc bien plus tordu et faussé par cette femme fatale déterminée. Pour l'action, la scène de course-poursuite en voitures et motos au Maroc est tout simplement hallucinante. Moins spectaculaire cependant la scène de l'avion qui semble avoir été placé là juste pour ouvrir le film avec panache. Une belle scène d'opéra magnifiquement réalisé à noter également (qui m'a fait fortement pensé au James Bond Quantum of solace). Du grand spectacle donc, à découvrir évidemment au cinéma et en IMAX !
Un blockbuster bien rythmé et hyper divertissant confectionné par un artisan en la matière avec un acteur qui réalise lui-même ses cascades à plus de 50 piges et qui peut se targuer de n'avoir jamais joué dans un mauvais film ! J'en redemande !
Mission Impossible est un divertissement pas mal, mais tout de même en dessous de Ghost Protocol et assez moyen par rapport à la franchise cinématographique. Tom Cruise est impeccable en Ethan Hunt, rôle qu'il habite complètement depuis maintenant 5 films. Jeremy Renner est excellent lui-aussi (même si son rôle a beaucoup moins d'intérêt). Simon Pegg excelle dans le registre comique (registre auquel il est habitué). Alec Baldwin est très convaincant. Sean Harris est un méchant correct mais très peu charismatique. Rebecca Ferguson joue correctement le rôle de l'acolyte féminine de service (cette franchise a un vrai problème avec les personnages féminins, totalement interchangeables et sans dimension). L'histoire a tendance à s'embrouiller les pinceaux toute seule à force de parler de complot et de double voire de triple-agent (dont on ne sait plus dans quel camp ils se trouvent). L'action est très bien mais n'arrive pas à surenchérir par rapport au précédent volet (je pense notamment à la scène de Burj Khalifa) et finalement, est moins surprenante. Néanmoins, le divertissement visuel est indéniable même s'il est moins mémorable.
Un "joli" navet survitaminé made in USA pour sortie estivale : le 5e volet de "Mission : Impossible", à la gloire des pecs de Tom Cruise. Et de son talent pour chevaucher les motos, voire les fuselages d'avion. Et de ses capacités à courir dans les cintres d'opéra, de se dépasser en apnée, etc. Du sport, et du rien. A coûté bien cher, et devrait rapporter gros - notamment à un certain Tom Cruise, aussi (en partie) à la production. L'histoire (par une équipe bien formatée au "blockbuster" - estival, ou pas - cornaquée par le réalisateur McQuarrie, crédité aussi au scénario, un chevronné de l'exercice) ? Aucune importance ! Et sur le papier, et à l'écran. Du grand n'importe-quoi, taillé à la serpe. Du moment que cela permet de sauter de Vienne à Casablanca..... Et à la star maintenant quinqua, toujours en pleine forme physique, de montrer cette dernière sous son jour le plus séduisant. Le reste de la distribution n'étant là que comme bouche-trous et faire-valoir.
Il y a vingt ans, j'adorais les James Bond, les Mission Impossible, les Jason Bourne ..... Mission Impossible 5 - que les producteurs n'osent plus désigner par son numéro de série - m'a fait bailler d'ennui. Est-ce moi qui ai vieilli ? Suis-je arrivé à un âge où ce genre de films ne m'excite plus ? parce que j'en ai trop vus ? ou parce que je n'ai plus la bonne capacité à m'enthousiasmer / acuité visuelle / masse capillaire / production de testotérone ?
Ethan Hunt est aux prises avec une inquiétante organisation internationale qui s'emploie à déstabiliser le monde. Son nom ? le sceptre était déjà pris ; du coup les producteurs ont opté pour "le Syndicat". Le méchant : un ancien du MI6 (never Trust the Brits!) passé du côté obscur de la force. La James Bond Girl : une Suédoise inconnue mais solidement customisé qui déambule en talons de 14 cm sur les toits de l'Opéra de Vienne. le héros : l'immarcescible Tom Cruise, 52 ans au compteur, fait des acrobaties de jeune homme. Sauf qu'on s'en fout ! Il décolle sur les ailes d'un A400 M ? il manque mourir en apnée ? Il fait une course poursuite en moto ? Zéro suspense. parce qu'on connaît déjà la fin.
J'invite à déjeuner celui/celle qui me dira que : 1/ que je ne suis pas vieux 2/ ce film est bien une daube dépourvue d’intérêt
"Rogue Nation" propose un équilibre excellent, entre scènes spectaculaires, une bonne complexité du récit et de l’humour. Les acteurs sont exceptionnels et partagent la bonne entente et la folie du plateau, comme le souhait Tom Cruise. Véritable thriller haletant et sans longueurs, "Rogue Nation" est une réussite totale, surpassant – très légèrement – le précédent opus. Le prochain volet étant confirmé, on peut demander comment il pourrait mettre la barre encore plus haut – mais on ne s’inquiète pas davantage puisque Tom Cruise ne connaît pas l’impossible.
Je ne mets pas 5 étoiles parce qu’un, de là à parler de chef-d’œuvre, mieux vaut ne pas s’emporter ; deux, dans le genre, Skyfall est à mon avis un cran au-dessus (et peut-être aussi le précédent Mission : Impossible, j’hésite) ; trois, les placements produits tape-à-l’œil et répétitifs pour BMW et Windows, pour ne pas les citer, m’horripilent. Mais je dirais que ce sont mes seules réticences : j’ai été enchantée par tout le reste. Il y a juste tout : du rythme (avec des scènes d’action spectaculaires, disséminées avec régularité sur les deux heures de film), du suspens (courses-poursuites qui tiennent en haleine), des retournements de situations en veux-tu en voilà, quelques touches d’humour pour agrémenter le tout… Une certaine classe se dégage d’ailleurs de l’ensemble, et je pense ici particulièrement aux passages à l’opéra de Vienne, théâtre (dans les deux sens du terme) des opérations prestigieux à lui tout seul, mais surtout, spoiler: toute l’action se passe en coulisses, dans la discrétion la plus totale, alors qu’en même temps une représentation a lieu sur scène, et ce contraste entre la magnificence des airs d’opéra et ces protagonistes létaux, dans l’ombre, quasi silencieux, avait juste une élégance folle. Mentionnons également un doublage très crédible, une bande-son efficace et des acteurs qui n’ont pas perdu une once de leur charisme, Tom Cruise le premier (évidemment). En somme, et mon paragraphe en atteste, ce film m’a embarquée du début à la fin : on tient là LE blockbuster de l’été !
Ai testé LE "blockbuster" de l'été - "Mission : Impossible" n° 5 (déjà !), ce qui pourrait donner "MI 5" (eh, eh - services de l'Intelligence intérieure british) et ses "voyouteries" ("Rogue"), au plus haut niveau de danger ("Nation") promises. Après 10 minutes de "mise en place" d'un manque d'originalité confondant, j'ai compris que j'allais m'y morfondre : "Mission : réussie" !..... Au fil du bruit des "scènes d'action" s'enchaînant mécaniquement, en particulier. Soyons honnête, sauvons l'incongru aparté du "Nessun Dorma" à Vienne (le passage "culturel" - enfin, surtout une opportunité pour hitmen "mélomanes")... 0 inventivité dans le scénario (vu, revu, re-revu... ad nauseam), 0 surprise de mise en scène, 0 performance d'interprétation (autre que athlétique). Les cascades, les "exploits" sportifs de Tom Cruise n'étant pas du tout "my cup of tea" en eux-mêmes (mais les amateurs existent - et même en nombre..), j'ai eu donc tort de m'égarer à ce spectacle pour décérébrés.... Notons que dans la vraie vie, ce sont les Etats, surtout "Unis".... qui sont directement les voyous, foin de "Syndicat"..... et la réalité (quand on réussit à en appréhender quelque chose, nous, vulgum pecus), dépasse très largement la fiction, sur le fond - la voyouterie...