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Un visiteur
5,0
Publiée le 12 août 2015
Enfin le 5ème volet est là!! Moi qui suis une vraie fan de Mission Impossible je suis ravie de ce "Rogue Nation". Il y a tout ce qui fait MI: de l'action (à pied, en voiture, en moto, dans l'eau, dans un théâtre.. (oh oui les scénaristes n'ont pas été à cours d'idées) mais il faut bien ça quand le fameux et talentueux Mr Ethan Hunt parcourt le monde! Puisque nous sommes arrivés à la 5ème mission impossible de la saga, il fallait du lourd! L'agence MI se fait fermer pour cause "de liberté individuelle dans l'exécution des plans qui n'aboutissent pas toujours". Du coup, le directeur de la CIA (Alec Baldwin) engage les anciens agents du MI.. sauf Ethan qui lui espère se sauver des griffes de Mr Lane et sa bande (le syndicat) et qui va être secouru in extremis par une belle brune ancien agent de Londres... mais sur combien de tableaux joue t elle?? Heureusement que Ethan va pouvoir compter sur Luther et benji déjà présents dans le MI2 et Grant rencontré dans le MI4. Ils faut au moins tout ceci éour déjouer les pièges, faire des courses poursuites, se battre avec ou sans armes.. mais aussi avoir de l'humour!! Je trouve que l'humour justement donne un nouveau souffle à ce film, une connivence entre les personnages, même si Ethan reste un éternel solitaire et que son combat ne finit jamais!! Petite attention aux scènes de cascades en voitures et en motos qui nous tiennent en haleine un bon moment (même si cette fois ci ils n'utilisent pas de Porsches.. mais plutôt des bmw.. bon pour ce qu'ils en font ça passe! Vraiment je recommande ce film à ceux qui comme moi on été pris dans les filets de cette saga vous ne serez pas déçus, et pour ceux qui ne connaissent pas lancez vous!!
L'un des charmes de la franchise Mission Impossible, c'était, à l'instar de la saga Alien, le fait que chaque opus soit pris en main par un réalisateur radicalement différent des autres. Du thriller tortueux en passant par le ballet explosif, chaque film avait sa propre personnalité. Même le protagoniste, Ethan Hunt, était écrit différemment d'un film à l'autre ! C'est donc chose révolue, avec Christopher McQuarrie qui reprend la franchise en main pour un moment. Un nouveau venu certes, mais qui restera en place pour les volets suivants, promettant une certaine homogénéité. C'est aussi un symptôme de la carrière de Tom Cruise, qui aime depuis les années 2010 s'entourer d'une petite poignée de réalisateurs fidèles pour mener ses projets. Toutefois, on ne perd pas au change. Le scénariste de "Usual Suspects" livre là un film d'espionnage/action élégamment mis en scène, fluide et livrant quelques hommages inattendus. Dont une très jolie séquence à l'opéra qui fait un gros clin d'oeil à "The Man Who Knew Too Much" d'Alfred Hitchcock ! Le tout est mené tambour battant, enchaînant les rebondissements à foison, permettant à peine au spectateur et aux personnages de se poser. Il faut bien dire que l'on est parfois à la limite de la surenchère et du non-plausible (limite que franchira le 6ème volet), ou du récit frénétique qui fuit en avant, à l'instar de ses protagonistes. Pour autant, la limite n'est pas franchie, "Rogue Nation" restant lisible et franchement bien écrit. Tom Cruise ne masque pas son égo, mais mouille allègrement le maillot, livrant encore une fois des cascades bien senties, devenues au fil du temps la marque de fabrique de la franchise. En l'occurrence, un décollage osé d'Airbus A400M, ou une poursuite endiablée au Maroc, pour ne citer qu'eux. On retrouve aussi avec plaisir Simon Pegg, et Jeremy Renner (malheureusement Paula Patton a disparu !). Néanmoins, si Sean Harris campe un méchant inquiétant, la révélation est clairement Rebecca Ferguson, alors peu connue. Habile, audacieuse, ambigüe, son personnage ici est le plus intéressant de tous, et l'actrice y apporte un naturel et une fraicheur bienvenue. En résulte un cinquième volet qui se situe clairement dans le haut du panier d'une franchise qui n'aura décidément pas dit son dernier mot !
Après tous ces films de super-héros et autres blockbusters sans âme, qu'il est plaisant de voir qu'il existe encore une alternative avec ce 5ème volet de la saga "Mission : Impossible". Si je regrette un peu le temps où chaque réalisateur imprimait sa marque visuelle, nul doute qu'on prend énormément de plaisir devant cet opus plus fou, plus virevoltant, plus fun que les autres. Ce qui frappe, c'est la bonne tenue de son intrigue, sa volonté de créer un suspense constant (marque de fabrique de McQuarrie, qui joue à fond sur le double jeu et créer des pics émotionnels assez sensationnels) et d'alterner scènes d'actions pétaradantes et développements des personnages. Le rythme effréné n'empêche jamais de créer une vraie relation entre le public et les persos, surtout qu'on ne sait jamais trop ce qui va se passer à l'avance, les morceaux de bravoure, parfois trop exagéré, sont bluffants, l'humour est présent par petites touches et sert l'intrigue, T. Cruise fait des trucs encore plus insensés et malgré quelques petits défauts, le plaisir est constant. Bien entouré, la star se met en valeur mais toujours au service du film et de son propos, avec une R. Ferguson dans un rôle féminin enfin étoffé, complément de Hunt mais aussi allié voire parfois adversaire. Un vrai rôle de femme forte, loin des clichés et des standards et ça, ce n'est pas la moindre des réussites du film. Du bon blockbuster à l'ancienne, plaisant, fun et décomplexé pour l'une des meilleures sagas de l'histoire du cinéma. Vivement un 6ème volet qui devra poursuivre dans cette voie et savoir se renouveler visuellement. D'autres critiques sur
Comme pour les autres sagas hollywoodiennes, suites ou reboot, on garde les mêmes recettes. Tom Cruise fait du Tom Cruise. Les cascades sont réussies, les décors variés, les courses-poursuites sont intenses, et les méchants le sont comme il faut. Le film se voit comme un pur divertissement, aucun élément scénaristique ne tient la route après analyse. Ce que je regrette par rapport aux James Bond et mêmes à d'autres films d'action, c'est que le film ne se pose jamais. Il ne développe jamais d'atmosphère, et il n'y a aucun développement des personnages. Les acteurs secondaires se contente d'être les stéréotypes habituels : l'informaticien rigolo, le grand black qui parle fort et en fout pas une, la jolie fille du film, version féminine de Tom Cruise, qui passe son temps à se la jouer James Bonds' Girl, sans qu'aucune relation ne s'installe avec le héros. Un film spectaculaire et honnête divertissement, mais incapable de se surpasser, avec le sentiment que ce concept datant des années 90 commence à se faire vieux, utilisé jusqu'à la lie par tous les films d'actions depuis lors.
Nous voilà reparti pour une nouvelle opération de l'IMF (Impossible Mission Force) rien n'est impossible pour Ethan et ses comparses, qui après avoir été passés sous silence lors dernier épisode ("Protocole Fantôme"), sont ici carrément dissout dans ce nouvel opus, enfonçant un peu plus la franchise le tumulte des services décidément très secrets la sombre déliquescence des services décidément très spéciaux, plus efficaces mais moins conventionnels - orthodoxes ? - que les historiques en place. En ces jours de "Loi de Renseignements", des moyens technologiques au rayonnement et pouvoir (certes abracadabrantesques) à méditer ... mais pour en revenir à la qualité intrinsèque dudit film, des scènes d'actions remarquablement chorégraphiées et filmées, une dose d'inventivité qui (pourvu qu'on y délaisse toute rationalité technologique ou réalisme d'action) ravira/ravivera les cinéphiles les plus blasés, moult rebondissement afin de laisser le spectateur en haleine (au risque d'en faire trop ?) ; enfin, un personnage principal dont l'âge "réel" est censé le rapprocher davantage de la retraite, qui de par ses performances déjoue tous les pronostics de "péremption cinématographique" !
Alors, puisque le comparatif est inévitable, avec ce cinquième morceau de bravoure au compteur, Mission Impossible tient la dragée haute à Monsieur Bond (qui passerait presque pour un espion snob désuet) ... tout en donnant des leçons de sagesse au nerveux et taciturne Monsieur Bourne (devant encore faire ses preuves avant d'atteindre le niveau de maîtrise des deux précédentes franchises).
Calibré, millimétré, maîtrisé (à défaut d’insuffler une âme, en particulier), McQuarrie n'aura pas démérité, face à la (quasi-)impossibilité de la mission ! :)
Cela fait déjà presque vingt ans que Tom Cruise incarne Ethan Hunt, le nouveau visage de l'IMF. De grands réalisateur se sont ensuite succédés pour dresser le piédestal de l'acteur. Après John Woo, J.J. Abrams et Brad Bird, c'est Christopher McQuarrie qui a été choisi pour ce cinquième film après avoir déjà dirigé Tom Cruise dans Jack Reacher, autre film appelé à devenir une franchise. Mais le réalisateur est aussi un scénariste a qui l'on doit notamment le script de Usual Suspects mais aussi celui de Edge Of Tomorrow.
Difficile à croire qu'on puisse encore faire un film sur le vol d'un clé USB, pourtant c'est bien le cœur d'une bonne partie de l'intrigue de cinquième Mission : Impossible alors que le premier opus parlait à l'époque déjà du vol d'une disquette. Curieusement, Mission : Impossible - Rogue Nation semble aussi partager beaucoup de points communs avec les quatre derniers James Bond qui installaient doucement une autre organisation secrète qui va être dévoilée au grand jour dans le prochain film Spectre en fin d'année.
Autre point commun avec les James Bond, l'horripilant placement de produits très peu discret qui donne l'impression de voir une publicité de deux heures. Des voitures aux motos en passant par les tablettes et les téléphones tout est clairement sponsorisé et tout le monde a étonnamment les mêmes sans parler de la présentation d'un jeu même pas encore sorti. Impossible aussi de passer à coté de la marque de montre régulièrement montrée en gros plan.
Depuis son second épisode et l'escalade de la falaise, la saga Mission : Impossible fait dans la surenchère de scènes spectaculaires. Le plus fou c'est que Tom Cruise tient à chaque fois a les faire lui même comme si il était prêt à mourir pour faire un film plus réaliste. Ce nouvel épisode ne manque pas d'exemples du genre, le problème c'est qu'elle sont quasiment toutes dans la bande annonce, histoire d'attirer les spectateurs en salles qui n'auront au final plus grand chose d'inédit à découvrir.
Mission : Impossible - Rogue Nation donne de l'ampleur au rôle tenu par Simon Pegg depuis le troisième film. Il est cette fois ci le véritable acolyte d'Ethan Hunt pour apporter son humour au long métrage. Heureusement d'ailleurs qu'il est là pour palier le jeu très mauvais de Tom Cruise qui tire des tronches pas possible à longueur de plans. Alors qu'on pensait que Jeremy Renner finirait par remplacer Tom Cruise dans la franchise, il est cette fois ci relégué à un rôle de bureaucrate qui a du être bien frustrant pour l'acteur déjà si inutile dans les Avengers de Marvel. La nouvelle Ethan Hunt Girl s'appelle Rebecca Ferguson, une actrice vue dans le Hercule de Bret Ratner, qui malgré un rôle très cliché nous régale de ses charmes et de ses combats au corps à corps.
A la vue de ce nouveau Mission : Impossible, on a du mal à croire qu'il s'agit du même scénariste qu'Usual Suspect. L'histoire pleine de clichées et d'incohérences n'est là que pour permettre l'enchaînement de cascades et de poursuites. De ce coté là, on pourra dire qu'on en a pour notre argent car le film de Christopher McQuarrie ne manque pas de moments forts. On appréciera aussi l'ampleur donné au personnage de Simon Pegg qui compense ce qu'il ne peut donner physiquement par son humour irrésistible.
Énième épisode sans surprise de la série. On ne comprend pas tout, on ne s'étonne d'aucune coïncidence ni des capacités physiques - trois minutes en apnée notamment - du héros, ni des compétences technologiques de ses comparses. On voyage des Etats-Unis à l'Europe en passant par l'Afrique, zut, on a oublié l'Asie cette année! On vole en avion, on passe d'une poursuite en voiture à une autre, un peu longuette, toutefois, en moto. Tout ça sans transpirer ni salir son smoking. Les dialogues sont simplistes et parsemés d'un humour à deux balles qui ne fatigue pas trop les méninges. Et la fille, rassurez-vous, elle n'est pas manchote ni trop moche. Pas même un baiser chaste toutefois entre l'encore pas trop mal héros du film et la bad girl (finalement pas si bad, d'ailleurs), on va pouvoir exporter le film partout et le vendre aux moins de 10 ans. Je rigole, mais je me suis laissé prendre par le rythme endiablé, les effets spéciaux et les cascades et j'ai passé un excellent moment. N'oubliez pas votre seau de pop-corn!
(...)Il dépasse même un peu les espérances qu’on peut projeter sur les films hollywoodiens à gros budget de ces dernières années. Premièrement on respire enfin en se disant que certains savent écrire un scénario, par forcément impérial mais qui tient sur toute la durée du film et qui plus est en respectant à la lettre les codes de la série. A ce titre, au jeu de dupe et des fausses apparences nous sommes très proches du premier film. Bon point et excellente base pour ne pas perdre le spectateur un peu exigeant. Bordé d’humour, à la limite du cartoon, de références aux films précédents, à la série, sans en mettre à toutes les séquences, le film tient vraiment la route sur ce point et semble être le pont idéal entre les anciens chapitres et les nouveaux, qui travaillaient déjà cet aspect. C’est aussi avec une jolie direction d’acteurs et des comédiens efficaces que les répliques censées être moins sérieuses font mouche. Simon Pegg est parfait dans son rôle, quand Tom Cruise assure vraiment comme à son habitude. A 53 ans, l’icône des 80’s n’a rien perdu de son jeu, on peut ne pas apprécier l’homme à l’égo démesuré mais il faut avouer qu’il impacte très joliment encore la pellicule. Et que dire de ses exploits physiques quand ce dernier exécute lui-même ses cascades ; certaines impressionnantes. Alors oui Christopher McQuarrie n’est pas le maestro de la mise en scène comme un Michael Mann ou John McTiernan peuvent l’être, mais il maîtrise assez bien une certaine grammaire cinématographique et le sens du découpage pour prouver que c’est un vrai metteur en scène et non un faiseur. Tout est lisible et bien découpé, chose rare ces derniers temps. Des courses-poursuites (à motos notamment) aux combats mano a mano (scène en sous-sol), tout impressionne, respire la scène de bravoure. Cette fluidité, sorte d’engrenage dans la forme et dans le fond du film contribue à la vraie réussite d’un ensemble et fait de « Mission : Impossible – Rogue Nation » un des meilleurs épisodes de la franchise, sinon le meilleur. (...) Au final on en redemande, et sur une franchise qui plus est, de plus de 20 ans ; c’est plutôt bon signe. Christopher McQuarrie aux commandes, Tom Cruise en chef de file deviennent probablement les membres de l’équipe la plus sûre pour rendre une suite possible.
Un bon divertissement. Cinquième épisode de la saga réalisé par Christopher McQuarrie et produit par J.J. Abrams. Dans cette épisode, l'équipe de Mission Impossible est dissoute et doit affronter un réseau nommé, le Syndicat. Ethan regroupe alors son équipe et fait alliance avec Ilsa Faust, une espionne britannique aussi redoutable qu'imprévisible. Le scénario est bien construit, le rythme est bien soutenue et les scènes d'action sont réussies. Tom Cruise reprend de nouveau son rôle d'Ethan Hunt et on retrouve aussi le trio : Jeremy Renner, Simon Pegg et Ving Rhames. Rebecca Ferguson se débrouille bien dans le rôle d'Ilsa Faust et le reste du casting est pas mal : Sean Harris, Simon McBurney, Tom Hollander et Alec Baldwin.
Tom Cruise alias Ethan Hunt, membre très actif de l'IMF (Impossible Mission Force) est indéniablement plus fort que l'agent 007 et l'acteur entend nous le montrer dès le début de ce cinquième volet de la saga éponyme en s'accrochant, après lui avoir couru après, à un énorme avion-cargo en train de décoller, parvenant à entrer à l'intérieur puis à régler leur compte à des méchants en route vers de mauvais coups. Ce clin d'œil appuyé montre que Tom Cruise parfaitement remis de ses déboires avec la Paramount en 2006 (le studio avait résilié son contrat par suite de propos jugés gênant pour la promotion de Mission Impossible 3) entend s'affirmer comme un pion essentiel de l'industrie hollywoodienne. Devenu son propre producteur, il a fait appel à Christopher McQuarrie, scénariste du mythique "Usual Suspects" (Bryan Singer en 1995) qui l'avait dirigé dans le plutôt réussi "Jack Reacher", réponse tardive à peine voilée au triptyque "...dans la peau" réalisé successivement par Doug Liman (2002) et Paul Greengrass (2004,2007) qui avait vu Matt Damon donner une vision beaucoup plus sobre du héros d'espionnage. Tendance qui sera amplifiée avec l'arrivée de Daniel Craig en 2006 dans le rôle de James Bond. Une inclinaison qui ne pouvait que convenir à Tom Cruise dont le jeu assez monolithique, hormis quelques saillies déjantées chez des réalisateurs iconoclastes (Paul Thomas Anderson, Ben Stiller ou Adam Shankman), répond parfaitement à ce nouveau cahier des charges du film d'espionnage de divertissement. Dans ce nouvel épisode, Ethan Hunt doit continuer seul le combat, la CIA ayant réussi à convaincre le Congrès américain de la nécessité de dissoudre l'IMF. Progressivement sa pugnacité à continuer le combat contre l'obscur et dangereux Syndicat (groupe criminel agissant sur la planète) va ramener à lui ses anciens équipiers. L'intrigue concoctée par McQuarrie lui-même, emberlificotée à souhait, ne sert que de prétexte à la mise en place de situations où l'agent Hunt pourra mettre sa bravoure en avant. De ce point de vue le film est réussi, Cruise donnant parfaitement le change malgré 52 ans au compteur. Le méchant incarné par Simon McBurney est tout à fait convaincant ainsi que l'énigmatique Rebecca Ferguson. Si le bât blesse quelque part hormis les invraisemblances qui se succèdent en cascade (sans jeu de mots !), c'est sans doute à travers l'aspect un peu lisse que dégage la personnalité de Tom Cruise. Particularité que lui reproche ses détracteurs depuis le début de sa carrière. Le moins que l'on puisse constater est que cela n'a pas empêché l'ex-enfant de Syracuse (Etat de New York) d'accomplir la carrière que l'on connaît. Ce cinquième volet vous l'aurez compris remplit parfaitement son office si on ne lui demande pas plus que ce qu'il promet.
"Mission : Impossible - Rogue Nation" est un film proprement éblouissant dans tous les sens du terme. La force de cette série cinématographique, depuis quelques années, réside dans le fait que la narration a tout de la science fiction, voire du genre fantastique, mais que la vraisemblance est si bien mise en scène que le spectateur se retrouve complètement dans le film comme si les évènements qui se déroulent étaient réalistes. Il y a du Star Wars dans les personnages de méchants ou les batailles à coups de couteaux avec le terrible Solomane Lane qui fait penser au maléfique Dark Vador. On est tout aussi dans le pur thriller, comme dans la comédie sentimentale. Ethan Hunt, brillamment porté par Cruise, n'a pas pris une ride, ni un poil de graisse. Il tourne autour de l'envoutante agente spéciale, Ilsa Faust, troublante et incernable, comme les héroïnes d'un bon vieux James Bond. Bref, le réalisateur réalise un coup de maitre. On est emporté dans cette histoire de Syndicat, de complot et d'espionnage politique, à la fois si complexe qu'elle est irracontable, mais si clairement menée qu'à l'issue du film, on en perçoit toute la cohérence et la logique. La course-poursuite en motos sur les routes montagneuses qui mélange les prises et les points de vue est conçue à l'image du film : une action ininterrompue, un suspens puissant, et peut-être même une touche d'autodérision. Il faut se laisse emporter dans ce périple où les bons sentiments dominent, les valeurs d'amitié et de loyauté à sa patrie sont valorisés et où les personnages, tous très beaux, ne vieillissent pas. "Mission : Impossible - Rogue Nation" est un vrai grand film pour l'été, fabriqué pour la distraction et l'évasion. L'intention de l'auteur est complètement atteinte. Bravo.
Ce cinquième volet de "Mission : Impossible" comporte une bonne intrigue, du suspense et des grandes scènes d'action. Tout est rondement mené, on en prend plein les yeux. Tom CRUISE est toujours en forme, et son duo avec Rebecca FERGUSON apporte une touche de glamour dans l'histoire. Simon PEGG, quant à lui, est l'atout humour de "Rogue Nation", un pur divertissement.
Quel plaisir de retrouver l'équipe de MI16 et ce pour la 5è fois. On retrouve avec plaisir l'impeccable Tom Cruise, le boss ! Aucun temps mort et du rythme dans ce nouvel épisode de Ethan Hunt et ses acolytes. Le scénario est bien ficelé. La réalisation est impeccable. Des cascades impressionnantes, des scènes de poursuites à moto ou à voiture, des scènes d'action soignées, tout est nickel. Dans ce 5è opus, Ethan se retrouve une fois de plus seul face au danger. Notre héros a été kidnappé par une organisation secrète, Le syndicat. Il s'échappe grace à l'aide de la belle et mystérieuse Ilsa Faust. L'équipe du Mi16 est au complet pour démasquer ce mystérieux syndicat.
Tom cruise est toujours la, efficace, séduisant, musclé. A ses cotés, Simon Pegg interprète Benji, le maladroit. Son personnage amène de l'humour et de la légèreté. A leurs cotés, Jeremy Renner, Alec Baldwin, Ving Rhames. Et le méchant de ce film est interprété par Sean Harris.
Mission Impossible - Rogue Nation mérite un beau succès. Ethan Hunt n'a rien à envier à James B... et Tom Cruise ne change pas, toujours en forme. Du pur divertissement.
Ce cinquième volet est dans la même veine que le précédent opus : un divertissement d'action de très haut vol. On retrouve l'équipe avec plaisir pour un scénario qui nous réserve de sacrés moments, de l'action, de l'humour, du suspense...
Un opus qui au premier abord peut nous paraître un copier coller du précédent. M.I encore mis à l'écart et en danger, mais ce film renferme plus de richesses scénaristiques que son prédécesseur. Un film ou les espions dans le sens noble du terme on la part belle : jeux de dupes, faux semblant accompagnant l'intrigue. Une héroïne captivante et sexy a côté de la bande habituelle. Des scènes d'actions moins irrationnels que les autres (excepté la scène d'introduction) et qui font parfois penser à du James Bond. L'arrivé du syndicat amène une nouvelle vague et fraîcheur à la franchise.