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    Rosetta
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    3,0
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    128 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 janvier 2014
    Les dardenne filment comme des manches je fais mieux avec mon smartphone sinon quelle misere purée y 'en a des milliers comme Rosetta , la réalisation est un peu poussive avec son coté naturel limite pour avoir la palme
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 novembre 2013
    Pour être honnête, je n'ai absolument rien compris à ce film durant lequel j'ai eu tout loisir de m'emmerder. A part des réalisateurs reconnus qui filment une nénette dont la pauvreté apitoie réellement et dont la bêtise surprend plus encore, à la seule fin de récolter des honneurs avec la misère, ce film ne propose rien de cohérent. Voir toute la misère du monde a certainement paru novateur aux intellos du festival de Cannes qui ont lu une nouvelle critique du marasme ambiant et du pouvoir libéral qui laisse les pauvres gens livrés à eux-même. Mais Si Rosetta rate et gâche tout dans ce film, rien ne vient rattraper ce docu-fiction sans âme. On se croirait dans un mauvais Bresson.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 novembre 2013
    Les frères, j'en redemande.
    Ce cinéma de proximité me plait, les sujets abordés également.
    Bien que n'ayant visionné que deux de leurs films, j'ai le sentiment que je pourrais choisir n'importe lequel de leur carte de visite, je serai conquis dans la mesure où cette griffe si palpable dans rosetta et l'enfant s'y retrouve.
    Une chose est sûr, les frangins savent manier une caméra, ils savent créer un mystère en choisissant leurs cadrages, ils savent narrer leur protagoniste sans mot mais bien sur base du contexte dans lequel il vit.
    Dans un film des Daedennes, chaque séquence est minutieusement découpées pour mieux nous laisser profiter du moment, l'action raconte, les silences également.
    Bref, ils nous démontrent qu'une scène simple dans sa conception peut-être très riche dans sa signification.
    Shephard69
    Shephard69

    335 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 octobre 2013
    Un drame social glacé qui prend véritablement aux tripes. Des scènes d'un réalisme et d'une force hors du commun encore accentuées par la technique caméra à l'épaule et la mise en scène minimaliste. Emilie Dequenne est incroyable, profonde et mature. Une grande Palme d'Or puissante et, à mon sens, justifiée.
    Pomacantha
    Pomacantha

    13 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2013
    Une intrigue et une façon de filmer minimalistes mais une vraie histoire avec de vrais personnages.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 août 2013
    film poignant , et émouvant , on comprend qu'il a gagné à canne
    selenie
    selenie

    6 256 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 juin 2013
    Film de fiction officiellement ce film est aussi le meilleur représentant du docu-socialo-auteuriste car outre le fait qu'il ne s'agit pas à proprement parlé d'une histoire vraie le style des frères Dardennes pour ce film est d'une radicalité et d'une rigosité naturaliste qui a tout pour rebuter. On est proche du Dogme 95 des réalisateurs danois mais sans cette petite folie en plus, sans la petite pincée fictionnelle. Luc Dardennes a voulu faire de Rosetta une "guerrière qui ne se laisse jamais abattre"... Le problème s'est qu'on ressent pas cette combativité ou cette rage de survivre. Une bonne chose, l'éclosion d'une actrice, Emile Dequenne qui a depuis confirmé. Caméra à l'épaule, Rosetta en gros plan, on la suit dans un cheminement peu constructif. Au final l'héroïne ne se donne les moyens que par l'hystérie, la triche et même la trahison, ce qui est plutôt antipathique et anti-constructif. Le parti pris sans concession est respectable encore faut-il savoir transcender son sujet (dans le fond comme dans la forme). Cette Palme d'or 99 surestimée ne lui a d'ailleurs pas valu une reconnaissance folle. Encore heureux que les frangins belges se soient améliorés depuis. En conclusion une héroïne un peu plus bienveillante et surtout un vrai but (évolution, réussite, pire ?!) plutôt que ce manège et cette fin inepte.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 juin 2013
    Les dardenne filment comme des manches je fais mieux avec mon smartphone sinon quelle misere purée y 'en a des milliers comme Rosetta , la réalisation est un peu poussive avec son coté naturel limite pour avoir la palme
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    134 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mai 2013
    Rosetta est une jeune femme (18 ans à peine) qui part au front tous les matins : son champ de bataille, trouver un emploi. Vivre passe par l’emploi, donc elle en trouve un, le perd, en retrouve un autre, puis on lui le prend, puis elle le reprend, puis elle le vole… Et çà nous déstabilise en profondeur ; elle qui a un sens de l’honnêteté rivé au corps. On ne la croit pas capable de traitrise. Son credo, enfin qui par besoin de survie va sauter, est « Tu ne voleras point », « Tu ne mendieras point pour vivre ». A côté de çà, Rosetta vit dans une caravane avec sa mère alcoolique qui se prostitue occasionnellement pour payer sa boisson. Rosetta voudrait une vie normale, mais dans un contexte familial, culturel et social atomisé ; c’est un défi de taille. Pour s’en convaincre, en s’endormant on la voie même ânonner cette volonté comme un sermon : poignant.
    Palme d’or à Cannes en 1999 et prix d’interprétation pour la toujours phénoménale Emilie Dequenne ; les frères Dardenne poursuivent avec ce film intransigeant, radical et d’un humanisme brutal leur exploration sans concession et sans pathos d’un corps social en lambeaux. Caméra à l’épaule durant 90’, préparez vous à suivre durant 1h30 un corps à corps haletant avec une guerrière des temps modernes. Emilie Dequenne ne peut être qu’exceptionnel. La caméra est littéralement collé à elle tout au long du film, elle est de tous les plans. Toujours dans son dos, le spectateur la piste au point d’en être gavé mais surtout de la comprendre : on vit par procuration comme perché sur son épaule sa vie délabrée avec guère d’issue. C’est là une radicalité artistique qui vaudra la Palme aux Dardenne. Et puis, il y a une vivacité déconcertante dans le cadre. Accrochez vous bien ; les 10 premières minutes font l’effet d’un uppercut. Dans ce marathon de la misère, Emilie Dequenne semble être dans une improvisation complète alors que pour obtenir cette impression de vérité tout est joué à merveille et soigneusement écrit.
    La puissance du film tient aussi au fait qu’il ne cherche pas expliquer au spectateur, à faire compatir l’observateur, à générer une empathie facile pour l’héroïne ; un bloc de granit pur qui pourra effrayer certains. Et puis à l’absence d’explication répond une quasi absence de dialogue ; rien n’est fait pour facilité la tâche du spectateur, très bien. Terrible aussi, la première fois qu’est prononcé son prénom, c’est par elle-même au bout de près de 45’ de film. « Rosetta » ne sera prononcée par un tiers qu’au bout d’une heure de film. Dire qu’elle a peu d’intérêt pour son environnement : une anonyme urbaine. Et la première fois qu’on entend son prénom c’est par elle-même dans la nuit pour s’aider à s’endormir dans une sorte de prière glaçante : « « Tu t'appelles Rosetta... Je m'appelle Rosetta... Tu as une vie normale... J'ai une vie normale... Tu ne tomberas pas dans le trou... Je ne tomberai pas dans le trou... Bonne nuit... Bonne nuit... »
    Voir absolument ce film qui a l’intelligence de laisser le spectateur tirer lui-même les conclusions.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 mai 2013
    Les dardenne filment comme des manches je fais mieux avec mon smartphone sinon quelle misere purée y 'en a des milliers comme Rosetta , la réalisation est un peu poussive avec son coté naturel limite pour avoir la palme
    xavierch
    xavierch

    46 abonnés 1 167 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 mai 2013
    Que cette façon de filmer est chiante, à vous foutre la gerbe. A part çà le film n'est pas inintéressant, mais pas passionnant non plus. Emilie Dequenne joue très bien, mais le scénario est out de même un peu mince. De toute façon, je ne suis pas du tout un adepte des palmes d'or.
    Akamaru
    Akamaru

    3 098 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 avril 2013
    Palme d'or à Cannes en 1999 et prix d'interprétation pour l'époustouflante Emilie Dequenne,"Rosetta" est ce que les frères Dardenne,toujours soucieux de cinéma-vérité,ont fait de plus humaniste et intransigeant,avec cette pointe de radicalité qui n'appartient qu'aux grandes œuvres. Leur caméra extrêmement mobile ne lâche pas une seule seconde le visage de Rosetta,adolescente rejetté par son alcoolique de mère,qui vit sommairement dans une caravane,qui se nourrit de poissons appâtés dans le lac du camping et qui pique une crise à chaque fois qu'elle doit quitter un stage. les Dardenne font passer le message du misérabilisme dans une Belgique francophone sinistrée par le biais d'un personnage très fort,duquel on se soucie immédiatement. Emilie Dequenne lui donne une vitalité presque funèbre. Elle semble s'agiter dans le vent,toujours en exclue de la société malgré ses efforts désespérées. Les plans-séquences puissants la concernant,elle et le vendeur de gaufres,se passent de commentaires tant ils sont éloquents. Rosetta cherche l'amour,la dignité et le respect. Trois notions qui ressemblent à un parcours du combattant chez les Dardenne,qui ne jugent cependant jamais.
    Héléna0510
    Héléna0510

    10 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mars 2013
    La révélation d’Emilie Dequenne
    Voir Rosetta, si seule et si forte, se battre, s’accrocher pour vivre
    Avoir envie de la voir s’en sortir
    Filmer une histoire ordinaire, comme dans la réalité
    La technique du sèche cheveux pour soulager les douleurs des règles (à essayer!)
    Val_Cancun
    Val_Cancun

    53 abonnés 764 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 juin 2013
    Un nouveau style cinématographique est né, qui permit aux frères Dardenne et à Emilie Dequenne d'être primé à Cannes en 1999.
    Alors ok c'est original et novateur, mais sérieux on s'emmerde sévère!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 janvier 2013
    Une daube infecte filmée avec les pieds! En l'occurrence, caméra sur l'épaule, à 30 cm du visage ( Pas très joli) d'une actrice qui se fait virer de ses jobs pour des raisons obscures et qui passe son temps à rentrer par le bus, traverser la route, enfiler ses bottes et retrouver sa mère alcoolo dans sa caravane ! Palmes d'Or pour çà???? De qui cette bande de pseudos-intellos se moque t'elle? Ne cherchez aucun message dans cet excrément cinématographique! Ce film est comme une toile blanche que l'auteur aurait appelé "Plénitude amnésique" pour susciter chez le bobo nanti, le besoin de composer une ode bourrée de superlatifs, le soir, seul, devant son miroir! Et puis pourquoi toujours filmer la Belgique et le Nord de la France dans ce qu'il y a de plus triste, de gris, de laid, de sordide et de crasseux? N'allez pas le voir, ne l'achetez pas, ne le regardez pas à la télé, fuyez cette "chose"!!
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