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90
16 abonnés
777 critiques
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3,0
Publiée le 24 avril 2014
L'action et les courses spectaculaires sont bien aux rendez-vous, mais c'est tout ce que vous pourrez voir dans ce film. L'histoire n'est pas forcement intéressante a suivre et ne décolle qu'a la fin pour partir un peu dans tous les sens, heureusement que ça reste logique a rapport aux autres films de la saga. Mais malgré ce vide intersidéral scénaristique, il faut avouer que ça reste du divertissement efficace et agréable a voir grâce a des courses ce déroulant dans de beaux décors naturel. A voir pour le fun.
On continue la décente aux enfers avec ce "nouvelle" opus qui n'apporte encore une fois rien à l'ensemble. Scènes d'actions aux rendez-vous bien que pas toujours maitriser et éfficace. Le scénario on en parle même pas, le peut de surprises ne surprends guère et sont prévisible. L'explication de fin est inutile puisque c'était tellement gros avant que pas besoin qu'on en remette une couche. Bref c'est pas terrible encore une fois à un point qu'on finis par s’ennuyer au bout d’à peine une heure. Dommage et pas terrible.
Bon nanar , on s'est bien amusé tellement s'est surjoué , sur monté , à la maniére d'un clip de 1h30 avec des mannequins à foison et des afffrontements ratés , seules les courses arrivent à remonter l'interet du film. 1/5 pour le film mais je met 3.5/5 pour la côte nanardesque !
Ce film est vraiment mauvais,voir ridicule! Pour la trilogie c'est un raté total,le véritable massacre c'est la production qui investit dans ce genre de projet! Un conseil: passer votre chemin si vous avez apprécier les deux opus précédents! A vous de choisir...
Paul W.S. Anderson avait agréablement surpris avec son bon remake de la Course à la mort même si le film n'avait pas grand chose à voir avec la série B des années 70 produite par Roger Corman puis vint une préquelle correcte mais efficace et voici que Roel Reiné déjà réalisateur de la précédente préquelle en fait une suite avec les même acteurs se déroulant en Afrique du Sud. Toujours efficace surtout dans les séquences abordant la course Death Race: Inferno reste néanmoins une série B pas toujours très prenante (le scénario n'est pas très palpitant) mais qui a le mérite de faire passer un bon moment sans jamais nous ennuyer.
Le détenu Carl Lucas (alias "Frankenstein") a déjà remporté 4 victoires et il ne lui reste plus qu’une course à gagner pour pouvoir retrouver la liberté. Mais les choses vont se corser lorsqu’il va devoir pour la première fois se lancer dans une course automobile en plein désert…
On prend les mêmes et on recommence. Voilà ce que nous réserve Death Race 3 : Inferno (2013) qui est la suite directe du précédent opus et dont l’intrigue se situe avant le premier volet (vous suivez toujours ?). On retrouve à nouveau l'allemand Roel Reiné aux commandes, ainsi que les mêmes acteurs principaux dans un énième DTV low-cost à nouveau tourné en Afrique du Sud.
Le scénario s’avère toujours aussi ɔon et semble avoir été torché dans la précipitation. Bien évidemment, ça n’est absolument pas la distribution qui sauvera le film du naufrage, entre l’inexpressif Luke Goss, Danny Trejo qui cachetonne spoiler: (il n’est pas venu pour rien, il a droit à une turlutte) , Dougray Scott qui cabotine en bad guy (en nous rejouant son vilain dans Mission: Impossible 2 - 2000), sans oublier la potiche Tanit Phoenix (qui ne sert à rien d’autre que de nous mettre sous le nez son opulente poitrine pendant tout le film).
La principale différence qui en ressort ici (par rapport au précédent film), c’est son côté "stock car". Cette fois-ci, les pilotes ne se tirent plus dessus comme des bourrins, ils se rentrent dedans ! On se retrouve devant une sorte de "Paris-Dakar" faussement badasse avec des bagnoles qui s’explosent les unes contre les autres.
Sans la moindre surprise, le film s’avère totalement dénué du moindre intérêt, bis repetita toujours aussi laid et mauvais…
Le seul intérêt de ce nouveau film est que les décors sont plus sympa que dans le précédent. Mais le prix à payer, c'est que la course à la mort se retrouve en Afrique, ce qui est tout bien réfléchi aussi ridicule que le Paris-Dakar délocalisé en Amérique du sud. La fin est positive, même si c'est un peu gros. Dans ce genre de situation scénaristique, les auteurs essaient d'éviter d'en faire des tonnes pour tout expliquer, contrairement à ce qui se passe ici. Et le fait que je n'ai pas réussi à le trouver en "vrai" français mais seulement en québécois, ce qui n'a pas arrangé les choses...
Les vingt premières minutes nous rappellent les événements de Death Race 2. C'est nécessaire vu que dans ce genre de petits produits destinés au marché de la vidéo j'ai tendance à avoir tout oublié sitôt le film achevé. Une fois sur la piste, c'est parti pour de l'action non stop jusqu'au générique final. Ça se passe dans un désert sud-africain cette fois-ci sans que ça ne change quelque chose à l'affaire. On voit des bidonvilles, des seigneurs de guerre qui s'invitent à la fête mais à part ça...Ça reste des courses interminables avec des bagnoles trafiquées où le but est d'éliminer ses concurrents avant de franchir la ligne d'arrivée. Le tout filmé de manière complétement hystérique par le néerlandais Roel Reiné déjà réalisateur de Death Race 2. On peut considérer que ce qu'il arrive à faire avec des moyens moins importants qu'un Mad Max Fury Road ou un Fast and Furious et des acteurs aussi peu charismatiques que Luke Goss n'est pas si mal. Encore faut-il aimer ces bimbos vulgaires se désapant pour un oui ou pour un non, ces plans ne dépassant pas la demi-seconde, ce qui donne vite mal à la tête, le méchant passant son temps à ricaner devant son écran de télévision, les injures en guise de dialogue, Danny Trejo et Ving Rhames venus prendre leur chèque. Il y a de la générosité. Celle de proposer un spectacle totalement débridé avec des filles aux gros seins, de la vitesse, des explosions, de la baston. Et rien d'autre derrière. Comparons ça à un bout de pizza froide de la veille qu'on se fait réchauffer au micro-onde parce qu'on a la flemme de se faire à manger.
Un bon 3e film très divertissant, certaines scènes sont très impressionnantes, ce nouvel environnement offre beaucoup plus de possibilité que le circuit fermé par contre les scènes entre les courses sont souvent inutiles et parfois même ridicule. Le dénouement est aussi ultra prévisible.
Seules les courses valent le coup d'oeil, mais sont moins bonnes que dans les 2 précédents. En réalité, c'est assez ennuyeux. Les courses se déroulent dans le désert au lieu de la prison. Voilà le principal changement au scénario. Pas terrible et prévisible.
Belle surprise que ce deth race 3 inferno, l'histoire est plus intéressante que je ne l'aurais crû. Le changement de décor apporte un plus indéniable au film. Et le dénouement du film est inattendu.
"Death Race: Inferno" n'est autre que le 3em opus de la saga "Course à la Mort" orchestré à la base par "Paul W. S. Anderson" en 2008 (Avec notamment "Jason Statham") et qui n'est autre que le "Remake" du fameux "La Course à la Mort de L'An 2000" sortit en 1975 (Avec "Sylvester Stallone" et "David Carradine"). Dans ce 3em épisode on retrouve bien sur tous les protagonistes du 2em segment avec en tête "Luke Goss" (Alias "Carl Lucas / Frankenstein"), l'impayable "Danny Trejo" (Campant "Golberg") ou encore l'imposant "Ving Rhames" (Sous les traits de "Weyland"). Cette fois-ci, la fameuse "Course à la Mort" se déroule en Afrique, dans le désert infernal du "Kalahari". Fini les espaces clos et bienvenue dans l'immensité désertique dans ce véritable Paris/Dakar "Post Apocalyptique". Et même si le scénario arrive clairement à ses limites, force est de constater que "Death Race: Inferno" réitère tous les ingrédients concluants des opus précédents. Des courses tonitruantes entre "WipEout" et "Destruction Derby", un univers rappelant fortement celui de "Mad Max" ainsi que des personnages particulièrement violents et sans concessions. En ce qui concerne la trame principale (Qui ce concentre essentiellement sur le célèbre "Frankenstein"), le récit reste peu crédible et superficiel. Mais l'essentiel est là, et les "Fans" de la 1ère heure devraient replonger sans mal dans cette réjouissante course poursuite "Apocalyptique" !
"Death Race: Inferno" est le 3ème film de la saga des "Death Race" ou en français "course à la mort". Un film sympa qui suit le précédent avec beaucoup plus d'action mais à force sa devient un peu long il y a moins d'histoire à raconter car ils font toujours cette course de la mort entre les prisonniers mais cette opus est pas mal car ils cherchent de circuit et c'est pas plus mal. On y retrouvent des personnages des films précédent qui sont bien jouent par leurs acteurs, les décors sont pas mal et les effets spéciaux sont bien réussis.
Toujours un peu surpris à l'apparition d'un nouvel opus de cette série...on s'attend à un film totalement vide et sans autre intérêt que les massacres surpuissants entre participant, mais finalement les personnages tiennent parfaitement la route, et en deviennent attachants lors des différents épisodes. Certaines répliques ont la force de faire sourire de complicité et le message délivré n'est pas totalement stupide, cela à travers un montage assez habile, alliant humour et dénonciation. Pour ce qui est du lien entre les différents films, il est parfaitement tenu et vaut largement les dénouements des précédents. Après il est clair que la franchise tend à s'essouffler au niveau des scènes d'actions qui se veulent répétitives même si des originalités apparaissent au cours de la course, et l'esprit initial reste le même... L'essentiel c'est d'être agréablement surpris quand on s'attend au pire... et pour de l'action de 2nde zone, ça mérite d'être vu!
J'avais bien aimé le 2, et le 3, c'est un peu la même chose, en plus grand. Et le féministe que je suis aime beaucoup plus parce qu'on les voit beaucoup plus en avant (Mention spéciale à la ravissante Michelle Van Schaik qui incarne quand même la première pilote femme de la course !)