Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Closer
par La Rédaction
Bien ficelée, cette dystopie portée par la performance de Noomi Rapace est la belle surprise de cette fin d'année.
L'Ecran Fantastique
par Loris Hantzis
Thématiquement passionnant, sans oublier d'offrir des scènes de bravoure insolites et étonnantes, cet excellent film de science-fiction s'impose comme un spectacle ambitieux et visuellement irréprochable.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un scénario original, traité sous forme de thriller s-f, et qui donne à Noomi Rapace l’occasion de se multiplier par 7 : qui s’en plaindrait ?
Bande à part
par Jo Fishley
Magistrale, Noomi Rapace dépasse le simple jeu des apparences et du travestissement de l’acteur, du grimage et du maquillage. À chaque personnage, elle a trouvé une personnalité, leur associant des musiques et des parfums propres. Sa manière de les faire exister de manière différenciée, dans un jeu stupéfiant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Simon Riaux
Malgré quantité d'ingrédients et d'idées sympathiques, Seven Sisters donne le sentiment de ne jamais trancher entre questionnement métaphysique, science-fiction et action spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une série B efficace qui vaut pour la peinture nihiliste de la société et la performance nuancée de Noomi Rapace.
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Un divertissement plaisant, mais qui manque d’audace en ne s’intéressant pas vraiment aux possibilités cinématographiques de sa septuple interprétation.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Captivant de bout en bout, flirtant avec le jeu vidéo teinté d'esthétique steampunk et jouant habillement entre les points de vue des sept jumelles, Seven Sisters est une jolie surprise.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Jérémy Piette
En marge du déroulé téléphoné de la narration, son girls band de duplicatas d’elle-même produit toutefois un tableau accrocheur. Si une sœur tombe au combat, l’actrice se retrouve à pleurer sur son propre corps, plutôt brièvement, comme le temps d’un deuil express, et l’on imagine les larmes tomber sur le front de celle qu’elle n’a pas encore jouée sur fond vert.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Voici
par La Rédaction
Un Orphan Black inégal, porté par le jeu multiple de Noomi Rapace.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Malgré ses faiblesses de budget qui limitent les ambitions visuelles et esthétiques, le cluedo high tech sur fond de musique tronique, est un passe-temps généreux qui sait aussi insuffler son rythme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Télérama
par Nicolas Didier
Le film promet un vertige schizophrène, comme dans la scène inaugurale de repas réunissant les sept – mieux vaut être un inconditionnel de l’actrice. Hélas, le Norvégien Tommy Wirkola, visiblement absorbé par les défis techniques liés au tournage (masques, incrustations et autres écrans verts), néglige totalement la caractérisation des héroïnes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Fabien Baumann
(...) les méchants en brushings et costards matrixiens n'ont aucune saveur, d'interminables courses-poursuites se répètent sur fond de pompeux tsoin-tsoin et les survivantes ne manifestent qu'une passagère irritation tandis que leurs jumelles se font exploser le crâne.
Closer
Bien ficelée, cette dystopie portée par la performance de Noomi Rapace est la belle surprise de cette fin d'année.
L'Ecran Fantastique
Thématiquement passionnant, sans oublier d'offrir des scènes de bravoure insolites et étonnantes, cet excellent film de science-fiction s'impose comme un spectacle ambitieux et visuellement irréprochable.
Le Dauphiné Libéré
Un scénario original, traité sous forme de thriller s-f, et qui donne à Noomi Rapace l’occasion de se multiplier par 7 : qui s’en plaindrait ?
Bande à part
Magistrale, Noomi Rapace dépasse le simple jeu des apparences et du travestissement de l’acteur, du grimage et du maquillage. À chaque personnage, elle a trouvé une personnalité, leur associant des musiques et des parfums propres. Sa manière de les faire exister de manière différenciée, dans un jeu stupéfiant.
Ecran Large
Malgré quantité d'ingrédients et d'idées sympathiques, Seven Sisters donne le sentiment de ne jamais trancher entre questionnement métaphysique, science-fiction et action spectaculaire.
Le Journal du Dimanche
Une série B efficace qui vaut pour la peinture nihiliste de la société et la performance nuancée de Noomi Rapace.
Les Fiches du Cinéma
Un divertissement plaisant, mais qui manque d’audace en ne s’intéressant pas vraiment aux possibilités cinématographiques de sa septuple interprétation.
Les Inrockuptibles
Captivant de bout en bout, flirtant avec le jeu vidéo teinté d'esthétique steampunk et jouant habillement entre les points de vue des sept jumelles, Seven Sisters est une jolie surprise.
Libération
En marge du déroulé téléphoné de la narration, son girls band de duplicatas d’elle-même produit toutefois un tableau accrocheur. Si une sœur tombe au combat, l’actrice se retrouve à pleurer sur son propre corps, plutôt brièvement, comme le temps d’un deuil express, et l’on imagine les larmes tomber sur le front de celle qu’elle n’a pas encore jouée sur fond vert.
Voici
Un Orphan Black inégal, porté par le jeu multiple de Noomi Rapace.
aVoir-aLire.com
Malgré ses faiblesses de budget qui limitent les ambitions visuelles et esthétiques, le cluedo high tech sur fond de musique tronique, est un passe-temps généreux qui sait aussi insuffler son rythme.
Télérama
Le film promet un vertige schizophrène, comme dans la scène inaugurale de repas réunissant les sept – mieux vaut être un inconditionnel de l’actrice. Hélas, le Norvégien Tommy Wirkola, visiblement absorbé par les défis techniques liés au tournage (masques, incrustations et autres écrans verts), néglige totalement la caractérisation des héroïnes.
Positif
(...) les méchants en brushings et costards matrixiens n'ont aucune saveur, d'interminables courses-poursuites se répètent sur fond de pompeux tsoin-tsoin et les survivantes ne manifestent qu'une passagère irritation tandis que leurs jumelles se font exploser le crâne.