Déjà fan de ses deux albums, le film nous éclaire sur la vie particulière de ce génie ignoré depuis des décennies :-) À voir absolument ... et à écouter !!!
enfin une injustice réparée. La reconnaissance pour un musicien qui le mérite vraiment. Très beau docu. Tout est au diapason, la musique, le personnage, l'histoire... On n'est pa sprès d'oublier Sixto Rodriguez après avoir vu ce film.
Je n'ai pas accroché. Le format documentaire ne me convient pas du tout. C'est d'ailleurs pour cela que j'avais décidé de ne pas aller le voir, mais les échos étaient tellement bons que je me suis laissé tenter. A tort.
Premier long métrage de Malik Bendjelloul, Sugar Man est un film documentaire retraçant le parcours de Sixto Diaz Rodriguez. Fin des années 60 et début des années 70, Rodriguez enregistrait deux albums Cold Fact et Coming from Reality qui seront reçus favorablement par la critique osant la comparaison, à juste titre, avec Bob Dylan. Malgré ce succès critique ces albums seront de véritables échecs commerciaux aux Etats-Unis. « Seulement six albums ont été vendus en Amérique » s’amuse le producteur. Pour Rodriguez c’est la fin de sa carrière, celui ci doit reprendre son métier de maçon. Mais en Afrique du Sud sous le régime de l’apartheid, ses disques se vendent en très grand nombre, plus connu qu’Elvis Presley, il devient le symbole d’une révolution et l’icône d’une génération. Idole devenu prophète de l’autre coté de l’antarctique, Rodriguez ignorera pendant de très nombreuses années son succès à l’étranger. Suite de la critique ici:
Le mythe rencontre la réalité dans cette quête émérite de fans à la poursuite d'une ombre. La légende prend vie et entraîne le spectateur dans un périple construit autour de doutes et d'inconnus. On en ressort conquis comme son public.
En fait c'est 5 étoiles pour "Rod Riguez" ! 5 étoiles pour la personnalité transcendante d'un homme ordinaire 5 étoiles pour l'espoir de pouvoir toujours changer sa vie, changer le cours du destin J'écoute en boucle depuis "Rich Folk Hoax"
Avec ce premier film, Malik Bendjelloul frappe très très très fort. Le réalisateur suédois prouve d’emblée une parfaite maîtrise technique et artistique, n’hésitant pas à introduire dans son doculmentaire des méthodes propres au polar afin d’amplifier ses effets de suspense. La frappe de bendjelloul est d’autant plus forte que son sujet nous bouleverse. L’homme dont il parle est bel et bien réel, et son histoire est encore plus incroyable que n'importe quelle fiction. L’émotion ressentie est comparable à celle que nous avait extirpée Wim Wenders avec son « Buena Vista Social Club ». Wenders avait su faire revivre le génie artistique de ces pappies sans trop évoquer le totalitarisme Castriste qui les avait enterrés pendant plus de cinquante ans dans un prolétariat misérable. Ici, Bendjelloul parvient lui aussi à nous bouleverser avec cet incroyablement talentueux Rodriguez, sans trop évoquer les causes de son non-succès, ni les responsables de sa spoliation. A voir puis à revoir sans modération, en attendant le prochain chef d’oeuvre d’un réalisateur qui, de toute évidence, ne fait que commencer à nous émerveiller, et ne se limitera pas au documentaire.
Ce film c'est .... The film !!!! L'histoire du film est très intéressante et très impressionnante. Personnellement je trouve que c'est le film a voir en famille ou avec des amis franchement, moi j'ai bien aimé.
Rodriguez semble bien synpathique mais les scenes sur ses concerts sont déranjantes : ses fans sont tous des africains du sud blancs. Il a eu du succes au pays de l'apartheid... génant !