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    5 Caméras Brisées
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    4,2
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    16 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 mars 2013
    Dur. Très dur voire insoutenable tellement le traitement fait aux palestiniens est cruel et inhumain. Je ne comprendrai jamais pourquoi l'Etat d'Israël qui représente les juifs - un peuple qui a souffert- tue et afflige les pires choses à un autre peuple. Progrès technologique ne rime pas avec progrès de l'humanité ....
    velocio
    velocio

    1 320 abonnés 3 152 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 novembre 2013
    Parmi les nombreux films consacrés au conflit israélo-palestinien, aucun autre ne montre avec autant de force et, malheureusement, de vérité le comportement absolument révoltant, ignoble et scandaleux qu'Israël impose aux palestiniens.
    JEANRENE43
    JEANRENE43

    11 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juin 2015
    Les terres agricoles, oliveraies, jardins, terres à faire paître les moutons des paysans du village de Bil'in en Cisjordanie de 1700 habitants sont en partie absorbées par les colons israéliens de la ville de Mod'in Illit de 150.000 habitants. Ce film amateur est réalisé par un jeune homme du village, sa façon de témoigner et de supporter l'hégémonie des colons. Il nous montre les relations entre les villageois, les colons et les militaires israéliens. Il s'agit surtout d'une résistance pacifique par des manifestations hebdomadaires voire quotidiennes pour s'opposer à une barrière qui empêche les villageois d'accéder à leur terre mais aussi pour s'opposer à l'annexion des terres. Ce film porte sur les événements d'une période de 5 ans. Cette durée donne une dimension historique au film pour des événements contemporains. Grâce à cette opposition, l'état Israélien a dû reculer le mur mais au prix d'une violence insoutenable qui a tué 3 ou 4 villageois et a occasionné de nombreux blessés (chaque manifestation faisant l'objet d'une riposte des militaires par des grenades lacrymogènes) et emprisonné des villageois. C'est un film très courageux qui mérite 5 étoiles pour sa contribution à la vérité, à la résistance pacifique des faibles bien démunis contre les forts avec une puissance armée.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 mars 2013
    Pendant cinq ans, un homme filme son effroyable quotidien. Avec successivement cinq caméras, cet homme ordinaire regarde, et filme sans concession les conséquences du conflit Israëlo-Palestinien. De prime abord, que savons-nous de ce conflit ? Pour la majorité, pas ou peu grand-chose. Certains prennent parti, d'autres non et ainsi va la vie. En définitive, nous ne savons rien. Nous ne vivons pas là-bas. Cette réalité qui englue les habitants est un monde "extraordinaire" à nos yeux, comme une seconde lune, quelque chose d'inconcevable. Et pourtant, ce qui est raconté dans "5 caméras brisées" est réel et se produit tous les jours. Sa caméra pour regard, ce père de quatre enfants se fait l’œil de tout un peuple à qui les terres sont volées et pour qui toute résistance est sévèrement réprimée. À leurs cris et leurs manifestations régulières sont projetés des bombes lacrymos et des coups de feu au hasard. Tel un "Bloody Sunday" journalier, habituel, comme si l'injustice était une chose normale, coulant de source et indiscutable. Durant la création de cet objet filmique, des gens mourront, d'autres seront blessés et les caméras seront brisées une à une. Ce témoignage choc et indescriptible est peut-être bien l'un des plus courageux films jamais réalisés. Pour chaque caméras brisées, c'est un habitant que l'on tente de faire taire, d'assassiner pour que continue cette annexion révoltante. Pourtant, l'homme se relève, malgré les coups du sort et les douilles qui peuplent sa terre. Malgré les arrestations, et les pleurs sur le visage de sa femme. Il continue à filmer encore et encore. Et pendant que le cinéma s’investit du douloureux devoir de mémoire, un artiste se révèle, comme une étoile dans la nuit. Un film essentiel, magnifique, implacable et révoltant, d'une puissance inouïe.
    pitch22
    pitch22

    170 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 mars 2013
    Je suis partagé. En fait, c'est très bien, soit, oui c'est scotchant (et carrément révoltant, oui)! Mais... Qui a financé tout ça? On parle de ce qu'on nous montre mais sans presque aucune mise à distance. C'est sensationnaliste mais on ne voit pas vraiment de réflexion. Et pourquoi on ne montre que les hommes et garçons? Les femmes, les filles, ben y en a pas, elles sont jamais là, en tous cas au cœur de l'action (sinon aux fourneaux ou à préparer les fêtes de maisonnée): on ne sort pas d'un certain patriarcat! Même le tout petit, parce que c'est le bon gros dernier, on en fait un peu un "dur", qui doit pas avoir peur, comme enrôlé, même lors des attaques de bombes au gaz lachrymo... Assez désolant. spoiler: Quand la mère de famille sort "arrête de filmer, pourquoi tu fais ça, arrête!", et elle a raison; mais Emad Burnat, lui, tient à son projet, à ses risques et périls (de fait!), et ne cesse qu'à l'approche de la limite.
    Avec d'un côté les tireurs d'élite aux ordres d'un pouvoir ultra nationaliste infect (les mots nazis, ghetto de Varsovie viennent résonner dans nos têtes - sans commune mesure, mais c'est quand même fou), qui savent bien viser en plein dans la caméra (! ou ailleurs...) et de l'autre, des manifestants sans défense ou presque (y a les projectiles, les recours juridique et médiatique), on est en présence d'un rapport de force clairement inégal. En fait, ce type de documentaire a quelque chose de franchement déplaisant, parce qu'il offre une mise en scène de la résistance d'un village à travers des personnages qui passent pour totalement innocents: on ne peut donc qu'être touchés, dégoûtés, écœurés spoiler: (y compris... lors du sacrifice du mouton)
    , remués voire tourneboulés. Mais ensuite, au-delà? Le film a été en partie financé par des Israéliens qui en ont marre de la politique des ultras, qui contestent le pouvoir et s'opposent à la politique de violation de territoires qu'implique la colonisation à marche forcée. Ils ont raison, on ne peut qu'être d'accord. Le mal viendrait de Jérusalem. Et ici, c'est rien par rapport à ce qu'a connu Gaza. Mais ce serait faire vite si on oubliait aussi, de l'autre côté, la haine abjecte et le danger de l'islamisation phallocrate. Bien sûr, ici c'est une famille qui s'expose, qui montre une partie de son quotidien. Ça a l'air triste comme ça mais viennent aussi des moments de réjouissance et ces Palestiniens ne vivent pas dans la misère, loin de là. Au final, ce film est certes efficace mais aussi particulièrement déplaisant car mono-centré, sans recul ni contextualisation.
    alexdelaforest
    alexdelaforest

    38 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 avril 2013
    Une expérience de cinéma documentaire assez exceptionnelle. Malgré la militance et le manque de recul parfois, ce film nous offre un point de vue unique sur le monde dans cette bande de terre où se trouve réunies toutes les failles de notre histoire permanente.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 février 2013
    Avant de parler du film en profondeur, il est un devoir de reconnaitre un véritable respect pour le réalisateur de ce film tant pour son courage que la qualité de son produit.
    En effet, Emad un paysan vivant sur les terres de Bil'in en Cisjordanie décide le jour de la naissance de son 4ème enfant, de filmer durant cinq ans, le conflit qui oppose son petit village aux colonies juives expropriant petit à petit ses 1700 habitants.
    Ce film, à l'allure étonnement cinématographique, nous livre un portrait déchirant et humble des actions juives dans leur village.
    Muni simplement, d'une camera il va au détriment de sa vie et de sa famille tout montrer.
    Les peurs, les peines, les colères pacifistes, le sang, et les joies d'une guerre à l'échelle humaine qui laisse un témoignage au combien poignant et édifiant.
    A travers des scènes de vie banale qui s'alternent aux scènes de confrontations verbales et physiques, on nous laisse sans voix.
    Assis sur notre siège, notre confort à la con, on reste là, avec tant de questions et tant de mystères.
    Comment l'humanité peut elle en arrivé là ?
    Même lorsque les tirs se dirigent vers des voix de paix, vers des gens qui n'ont rien, des gens rigolent encore et croient miraculeusement à la conciliation.
    Même lorsqu'un frère meurt dans une manifestation, on attaque pas. On essaie d'être significatif au même titre que filmer.
    Même les enfants sont obligés d'être des hommes seulement à 4 ans.
    Il est totalement bouleversant de voir un peuple, à qui l'ont enlève ses habitants, sa nourriture, et même la mémoire ( en référence à la camera ), rempli d'autant d'amour et de courage.
    Ce film nous oblige à vivre intimement le cœur serré, les sentiments qu'ils ont pu ressentir.
    C'est bouleversant, et je vous promet qu'on se sent très petit en sortant de ce film, lorsque nous nous bâtons pour de infâmes droits idéologiques (Bien qu'ils aient tout de même raisons d'être).
    Quelle remise de pendule à l'heure.
    Aussi dur ce film est il, il n'en demeure pas moins que c'est un film qui fait paradoxalement du bien à la tête. Ce film vous fera bien relativisé sur la vie.
    Il n'est pas question de blâmer qui que ce soit, mais de démontrer que l'humanité perd de sa valeur, et Emad Burnat, par son courage, sa famille qu'il tente de protéger, ses enfants à qui ils décident de laisser voir la vie telle qu'elle est, nous ramène à l'essentiel de la vie qui ne doit pas être une guerre.
    Une camera qui servira tant de bouclier pour son village que de cible pour son opposant.

    Antoine Bensa.
    Jumgeo
    Jumgeo

    30 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2015
    Plus qu'un film ancré dans une actualité toujours brûlante ; plus qu'un documentaire puisant sa matière dans une réalité vive - qui lui a permis déjà d'obtenir le grand prix au Cinéma du Réel - "Cinq caméras brisées" montre en quoi son agencement rélève d'un processus purement cinématographique : c'est la caméra qui, dans sa matérialité, fait le montage ; elle définit brutalement l'arret d'une séquence, elle en constitue une butée contre laquelle le corps même de Burnat vient se heurter - et inversement, par ses multiples stigmates, la réalité vient se projeter contre son corps. Il y a simultanéité entre un corps meurtri qui prend part comme rarement vu à son rapport au réel (au risque de la mort) et des caméras qui marquent cet engagement dans le tissu de la réalité.

    Par ailleurs, le film prend une dimension fortement mythologique, proche de la mythologie westernienne, par la manière dont Burnat et Davidi dressent des figures héroïques, aux contours précis, répétés, comme celui qui défie les soldats, histrion tentant de dépasser sa peur et sa rage, en faisant danser son corps.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 décembre 2013
    Comment critiquer ce qui nous est juste donné à voir ou à découvrir ? Une réalité qui n'est pas la nôtre en occident mas qui détermine de temps à autre telle ou telle tension et partant, tel ou tel climat. C'est cette réalité qui est poignante, plus que le documentaire qui n'en reste que le support. À considérer ce qu'avance ceux qui lui confèrent une faible note, le problème de "5 caméras brisées", c'est qu'on n'y voit pas tout, qu'on en ignore le financement et je ne sais quelle autre idiotie. Pourtant, on n'y voit bien plus que ce qu'il nous est donné d'appréhender depuis des décennies (pour parler des grands médias censés nous informer de l'actualité internationale). Quant à la question du financement, dur d'imaginer ici dans quelle mesure elle pourrait influencer le contenu, vraiment. Des gens se font voler leur terre et leur pain, vivant précisément de cette terre. L'image des oliviers arrachés ou brûlés pour y construire d'innombrables blocs de béton, nouvelles résidences de colons relève de la persistance rétinienne. Voilà ce que l'on voit. L'occupation et la modeste résistance de ceux qui invoquent le coeur, la compassion, la compréhension. Et pas Dieu ou autre préoccupation métaphysique. Des humains qui font appel à l'humanité de chacun. En vain...
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2013
    Grâce au courage d’Emad Burnat, paysan en Cisjordanie, 5 Caméras Brisées montre avec douleur et sincérité le combat pacifique d’un village souhaitant conserver ses terres. Réalisé par un Palestinien et un Israélien, le documentaire est une ode à l’espoir qui néanmoins n’est pas sans point de vue.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 février 2013
    Film excellent qui fait découvrir à quel point les forces Israéliennes sont violentes envers les Palestiniens. Et c'est surtout un très bon film de lutte.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 février 2013
    Le film a droit à une sortie salles ( grâce au distributeurs Zeugma Films, qui m'a fait découvrir le film avant tout le monde) car il a a reçu un accueil exceptionnel dans tous les festivals où il a été présenté et notamment reçu le Prix Louis Marcorelles au Cinéma du Réel 2012, le Prix de la réalisation au Sundance Film Festival 2012, le Prix du Jury et le Prix du Public à l'IDFA (International Documentary Film Festival Amsterdam) en 2011, et il est même en lice pour les Oscars 2013 dans la catégorie "meilleur documentaire".

    Pourquoi ce documentaire est-il aussi exceptionnel? Tout simplement car c'est la première fois qu'un Palestinien et un Israélien ont réalisé ce film à la première personne qui raconte le quotidien d’un village de Cisjordanie dépossédé de ses terres et confronté à la violence. Il aura fallu cinq caméras successives, chacune se cassant les unes après les autres, au fil des différentes luttes, pour filmer une part de cette histoire dans l’Histoire.

    Au départ de l'aventure, un simple paysan de CisJordanie, Emad Burnat, qui vit dans le village de Bil’in. Il y a cinq ans, invoquant des impératifs de sécurité, les Israéliens décident de construire un « mur de séparation » à côté de la colonie juive voisine, ce qui prive les habitants de Bil’in de la moitié de leurs terres. Les villageois s’engagent dès lors dans une lutte non violente pour préserver leur droit d’en rester propriétaires.

    A la naissance de son quatrième enfant, Emad reçoit une caméra pour filmer ses proches et le début du conflit. Pendant cinq années, il brosse ainsi le portrait des siens, famille et amis, tels qu’ils sont affectés par ces événements. Cinq années d’une chronique intime de la vie d’un village plongé dans un affrontement de tous les instants. Emad a en tout utilisé cinq caméras, chacune s’étant brisée au cours de différents incidents. L’une d’elles a même protégé le paysan-cinéaste d’une balle qui aurait pu l’atteindre à la tête.

    Chacune de ces caméras rend compte d’un chapitre de la longue marche pour la justice des habitants de Bil’in : les manifestations, les arrestations, l’accident grave d’Emad, la mort des amis, les espoirs…

    Si le conflit israelo palestinien a déjà fait l'objet de quantités d'oeuvres (notament) cinématographiques, ce film est un témoignage absolument unique sur ce conflit qui n'a jamais été pareillement vu de l'intérieur.

    Emad filme sans relâche pour témoigner, pour la mémoire de son village et ce documentaire à la première personne rend compte sur un temps long de la lutte d’un village contre l'imposition de ce mur.

    De par cette façon d'Emad de raconter ce qu'il voit et ce qu'il vit sans jamais porter de justement, en y intégrant même un peu de poésie d'une voix douce posée sur des images d’une grande violence, le film est un vrai choc visuel qui nous dit comme rarement la folie meurtière des hommes et cet instinct de survie qu'a l'homme.

    Alors, forcément, même si le coréalisateur Guy Davidi ( qui a monté et coordonné les images d'Emad) est israélien, le film est totalement de parti pris et fait clairement son choix dans le fait de savoir qui sont les victimes et qui est le boureau.

    Cette subjectivité pourrait choquer, mais vu qu'il n'y a ici ni manipulation ni fictionnalisation, elle rend d'autant plus intense le combat de ces hommages pour sauver d'abord leur terre, puis leur vie.

    Bref, le film ne sera évidemment pas distribué sur nombre de copies, mais si vous avez l'occasion de passer devant un cinéma qui le passe, ne le manquez surtout pas.
    idagnidif
    idagnidif

    4 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 décembre 2017
    C'est un photographe palestinien amateur qui filme les exactions des israéliens à l'egard des habitants d'un village de Cisjordanie.
    La construction d'un mur de séparation engendre l'expropriation des terres palestiniennes et pousse les habitants à manifester contre cette injustice.
    Ce mur est une honte du fait qu'il sépare deux peuples,empêche la coexistence et perpétue le conflit.
    C'est une situation insupportable et qui ne fait pas honneur à l'humanité.
    GnAwA
    GnAwA

    88 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mars 2013
    Poignant, j'ai eu les larmes aux yeux à ausculter cette guerre du quotidien, éprouvante, entre des hommes qui ne parviennent pas communiquer. La force de l'image passe par ces symboles qui ponctuent le film. Cette caméra qui aimante la violence et marque des cycles de vie qui se brisent et des conflits qui ne semblent pouvoir s'arrêter. La force de ces oliviers que l'on parvient tout de même à déraciner ou mutiler, terre de poussière et édifices de ciment qui bourgeonnent au milieu de collines arides. Ces paysages se déshumanisent progressivement, dans un cycle infernal sans horizon
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 juin 2013
    documentaire sublime. on y dénonce la violence, la tyrannie, l'inhumanité, l arbitraire, de la soi disant seule démocratie de la région. on assiste à une démonstration de calme du peuple palestinien, qui subit depuis 60 ans tout cela, mais qui grâce à son attachement viscéral à cette terre, qui est la leur, fait preuve d un courage et d une détermination jamais vues. on s attache à tous les personnages de ce doc, surtout al fil.... grand moment d'émotion à la fin. bravo, continuez, on ne vous oublie pas...
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