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Mais non, ce n'est pas le chef d'oeuvre du siècle, ni de l'année d'ailleurs. Alors pourquoi 4 étoiles? Pour remonter la côte dudit film, pardi! Il s'agit d'une bonne adaptation du jeu vidéo. En fait, c'est un bon petit film, avec un scénario qui ne casse pas des briques, mais qui a un minimum d'originalité. L'excellent acteur Tchéky Karyo sauve presque à lui tout seul le film. L'histoire se laisse regarder, les effets spéciaux sont honnêtes et je suis ressortie avec une bonne impression en ayant passé du bon temps. Et c'est tout ce que je lui demandais.
L'un des premiers films pour geek (1999) reprenant l'univers de la série d'un jeu vidéo du même nom. « Wing Commander » n’est sûrement pas un film de science-fiction qui restera dans les mémoires, mais bon pour se divertir sans grande exigence, il peut convenir. Les dialogues sont insipides, les bons sentiments un peu exaspérants, le scénario parfois léger (les ennemis laissent leurs coordonnées de saut sans protection) voire stupide. Bref si vous êtes un fan du genre vous serez scandalisé et si vous êtes simplement exigeant sur le scénario, affligé. Mais si vous ne visez qu’à vous divertir devant un film d’action vous ne bouderez pas votre plaisir.,
Petit space opera insipide qui ne restera pas dans les anales. si le tout peut divertir, l'envergure et l'aura de ce film sont vraiment trop modestes.
11/20
11/20
fatiguant dès les premières minutes, les dialogues sont d'une nulité effroyable, un très mauvais film à tout les niveaux, dialogues, acteurs minables, histoire nulissime...etc etc
Wing Commander aurait pu fonctionner, le film n'est pas mal réalisé, bien que Chris Roberts n'a jamais réalisé de grands films et n'en aura signé que 2 en tant que réalisateur.
Pourtant, Tchéky Karyo en est l'acteur présumé principal, Jürgen Prochnow nous fait l'honneur d'une référence à l’excellent "das Boot" et Thierry Arbogast (Le cinquième élément, Valérian ...) est à la photo ; mais, hélas, cela n'a pas suffit à rendre le film solide.
Il est assez difficile d’adhérer aux personnages, trop jeunes, trop immatures, au jeu d'acteur fragile et qui se contentent d'entrouvrir des bouches hébétées pendant 1h40. C'est une guerre, ce sont des marines, mais ils n'ont pas le profil, on n'y croit pas une seule minute. Wing Commander ne réussit pas la prouesse de nous donner envie d'accompagner, les petites blagues, les petites bagarres et les amourettes d'une bande de jeunes adultes comme le fait Starship Troopers.
Il fallait du talent, pour éviter tout risque de produire "Les années collège dans l'espace".
Les personnages souffrent d'un terrible manque de charisme, et Tchéky Karyo, qui lui n'en manque ne pouvait porter le film à lui tout seul. Responsable d'une garderie spatiale, il a hélas peu de place dans le film.
Quand on n'accroche pas aux personnages, difficile de les suivre, difficile de trouver intéressants les dialogues creux et insipides, difficile de se projeter, de se mettre dedans et d'y rester, sans lâcher à chaque scène de parlottes ineptes.
Un manque cruel d'humour et d'épaisseur.
Des "ennemis" eux aussi anecdotiques, ils ne nous paraissent ni dangereux, ni malins, ni habiles, un peu balourds, bâclés, relégués à l'état de figurants utilisés comme simple cible et pourtant, il aurait fallu en faire des "félins", des vrais, fins, intelligents, furtifs, prédateurs et habiles au combat. spoiler: Quand ils envoient un missile, celui-ci ne provoque aucun dégât, mais lorsqu'ils en reçoive un, leur vaisseau explose, nous sommes bien dans un jeu vidéo !
Un film de S.F qui est passé totalement à coté de lui-même et du public.
Pas terrible du tout. C'est bien dommage ... car il y avait matière à un bon spectacle.
Pourtant, Tchéky Karyo en est l'acteur présumé principal, Jürgen Prochnow nous fait l'honneur d'une référence à l’excellent "das Boot" et Thierry Arbogast (Le cinquième élément, Valérian ...) est à la photo ; mais, hélas, cela n'a pas suffit à rendre le film solide.
Il est assez difficile d’adhérer aux personnages, trop jeunes, trop immatures, au jeu d'acteur fragile et qui se contentent d'entrouvrir des bouches hébétées pendant 1h40. C'est une guerre, ce sont des marines, mais ils n'ont pas le profil, on n'y croit pas une seule minute. Wing Commander ne réussit pas la prouesse de nous donner envie d'accompagner, les petites blagues, les petites bagarres et les amourettes d'une bande de jeunes adultes comme le fait Starship Troopers.
Il fallait du talent, pour éviter tout risque de produire "Les années collège dans l'espace".
Les personnages souffrent d'un terrible manque de charisme, et Tchéky Karyo, qui lui n'en manque ne pouvait porter le film à lui tout seul. Responsable d'une garderie spatiale, il a hélas peu de place dans le film.
Quand on n'accroche pas aux personnages, difficile de les suivre, difficile de trouver intéressants les dialogues creux et insipides, difficile de se projeter, de se mettre dedans et d'y rester, sans lâcher à chaque scène de parlottes ineptes.
Un manque cruel d'humour et d'épaisseur.
Des "ennemis" eux aussi anecdotiques, ils ne nous paraissent ni dangereux, ni malins, ni habiles, un peu balourds, bâclés, relégués à l'état de figurants utilisés comme simple cible et pourtant, il aurait fallu en faire des "félins", des vrais, fins, intelligents, furtifs, prédateurs et habiles au combat. spoiler: Quand ils envoient un missile, celui-ci ne provoque aucun dégât, mais lorsqu'ils en reçoive un, leur vaisseau explose, nous sommes bien dans un jeu vidéo !
Un film de S.F qui est passé totalement à coté de lui-même et du public.
Pas terrible du tout. C'est bien dommage ... car il y avait matière à un bon spectacle.
Attention...prèparez-vous pour le saut! Acheter "Wing Commander" en DVD dans un Cash Express ou ailleurs relève d'un procèdè propre à satisfaire pleinement le masochiste aguerri à la discipline! Rien à sauver si ce n'est son casting improbable et international : le lieutenant Freddie Prinze Jr., mètisse de pèlerin et l'un des derniers descendants d'une race qui s'èteint ; Tchèky Karyo (le pauvre !) , David Warner en grand chef des armèes, Jürgen Prochnow...Entre un champs d'astèroïde, un saut dans l'espace-temps, une atomisation de cratères, un vaisseau espion et des monstres aux yeux verts fluorescents, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent si ce n'est l'humour de Matthew Lillard alias le Lieutenant Todd Marshall dit « Todd Maniac » ! A celui qui règlait sa tèlè sur la 5 juste avant de se coucher, rejoignait Morphèe en pleine tèlèportation, et faisait de joyeux rêves dans l'espace-temps, à celui-ci donc, il est à priori fortement conseillè d'oublier "Wing Commander" du tâcheron Chris Roberts, même si on vous offre ce Direct-to-DVD gratuit! A la fin, on se dit « bienvenue enfin dans le système solaire »...
J'ai beau me dire que ce film a plus d'une dizaine d'années à ce jour, je n'en ai pas moins de mal à lui trouver des excuses à sa médiocrité tant scénaristique que visuelle. Pour parler des graphismes, c'est à croire que le monde du cinéma n'a bénéficié d'aucune avancée technologique entre la date du premier star wars et celle de ce pseudo film. C'est non seulement vilain mais en plus, le scénariste semble s'amuser à nous prendre pour des demeurés. J'en veut pour preuve, son vaisseau résulte du plus pure croisement entre un sous marin et un porte avion de notre temps. Il n'y a aucun effort pour proposer d'éventuels avancés technologiques et pire que tout, il semble que dans l'espace et en tout lieu (selon les réalisateurs) la gravité soit belle et bien présente! Et que dire de ces méchants aux allures de marionnettes du Muppet Show? J'en viens à douter que ma critique puisse avoir été différente si j'avais noté le film à la date de sa sortie cinéma... Inintéressant.
L'un des premiers film de geek (1999) reprenant l'univers de la serie d'un jeu video "wing commander", et réalisé par le créateur de ce jeu, sacré pari a l'epoque, je trouve la réalisation et les effets pour l'époque tout a fait honorable surtout pour un premier film.
un film raté avec un burget ridicule vu que les vaisseaux sont des avion de chasse maquillé un film bidon.
Nous sommes en 1999 et les adaptations de jeux vidéo ont commencé à (laborieusement) déferler sur les écrans. Ainsi, Chris Roberts, auteur des jeux "Wing Commander", décide d'adapter lui-même son œuvre au cinéma pour ne pas être déçu et proposer un bon film de SF intergalactique avec un budget serré et quelques jeunes acteurs issus des récents slashers en vogue. Mais c'est la douche froide pour l'apprenti réalisateur qui se prend un four monumental. Explications. La SF a marqué les années 90 à travers des blockbusters mémorables grâce à Roland Emmerich, Paul Verhoeven et Michael Bay. Malheureusement pour Chris Roberts, son long-métrage sort trois mois avant le retour de Star Wars ; les modifications de dernière minute de script, l'ambition trop grande et le manque d'intérêt du public auront eu raison de lui. Terriblement bavard, presque très mal écrit, sans aucune scène d'action mémorable (hormis un court passage en bullet-time, si si) ni personnage attachant, Wing Commander peine à retenir l'attention, cette histoire de guerre spatiale contre de gros chats-aliens belliqueux, visuellement ringards et sans réel background, n'allant jamais vraiment plus loin que son nez... Inscrit dans le même univers que les jeux vidéos, le long-métrage a également déçu les fans du jeu original à cause d'écarts assez importants, surtout visuellement. Les néophytes, eux, n'y ont vu qu'un téléfilm à gros budget sans grand intérêt très mal cadré, aux batailles spatiales molles comme un boudin, aux personnages bêtes comme leurs pieds, à l'interprétation nanardesque et au scénario ô combien niais et revu. On a peine à croire qu'un tel film ait pu sortir en salle de par le monde. Une curiosité pas très agréable à mater et par conséquent fortement dispensable.
NeoLain
D'après la série de jeux vidéo. Casting au rendez-vous avec notamment Tchéky Karyo et David Suchet ( Hercule Poirot ), une adaptation correcte avec bataille intergalactique, le tout moins cucu qu'un Star Strek c'est toujours ça à prendre même si parfois les effets pour les explosions partent légèrement tout droit dans un trou noir.
Redzing
Créateur du jeux vidéo, Roberts réalise lui-même l'adaptation de "Wing Commander" au cinéma. Etant donné le faible budget, et la présence d'acteurs de teen-movies (Freddie Prince Jr, Matthew Lillard), on pouvait craindre le pire. Pourtant, le réalisateur s'en tire correctement. Les séquences de batailles sont honnêtes et contiennent quelques idées sympathiques inspirées des combats navals, les effets spéciaux sont inégaux. Signalons également quelques gueules au casting (Tchéky Karyo, Jürgen Prochnow, etc.). Au final, le film n'a certes pas la dimension épique d'un "Star Wars Episode I" sorti dans la même période, mais demeure une série B regardable, sans plus.
Passé totalement inaperçu lors de sa sortie en salle, l'adaptation du légendaire jeux vidéo "Wing Commander" avait pourtant des atouts indéniables. En 2654, "Les Kilrathis", créatures mi-hommes mi-félins, organisent une attaque surprise contre une base de la confédération terrienne, "Pegase". Les agresseurs s'emparent du système central de navigation, le "Navcom", qui permet de calculer les voies d'accès directes à la terre. Un navire marchand intervient pour tenter de rejoindre le dernier vaisseau de guerre encore présent dans la zone attaquée, avant d'alerter la terre. Bénéficiant d'un univers de type "Space Opéra" aux résonances "Néo Rétro" entre "Star Wars" et "Star Trek", "Wing Commander" reste un spectacle honnête ou l'on retrouve certains grands acteurs comme "Tchéky Karyo", "David Warner" et "Jürgen Prochnow", et dans la plus jeune génération "Matthew Lillard", "Saffron Burrows" et "Freddie Prinze Jr." dans le rôle titre de "Christopher Blair". Sans avoir le budget d'autres grosses machines du "Space Opéra", le film de "Chris Roberts" (Géniteur du jeux vidéo éponyme) s'avère dépaysant et distrayant s'appuyant sur des effets spéciaux sympathiques (Sans être non plus exceptionnels) et une "B.O." de qualité !
Jeux vidéo populaire à sa sortie, Wing commander s'est vu adapté au cinéma pour surfer sur le phénomène Stars Wars. Mais ce n'est pas tout nous sommes en 99 en pleine époque post-Scream et cela se voit sur le casting qui recycle un casting teenage à la mode à l'époque mais disparu depuis. Heureusement pour contrebalancer cela, il y a une multitude de gueule allant de Prochnow à Karyo. Le film a aussi été réalisé par le réalisateur des cinématiques du jeu. Ce qui devait être un gage de continuité s'est transformé en bien mauvaise idée, Chris Roberts filme le tout platement,sans tension et sans aucun dynamisme.Le film n'est qu'une succession de scène sans liant et sans aucuns enjeux si bien qu'on se demande parfois ce que l'on regarde.
On dirai un film des années 60-70 avec des maquettes tenus par des bout de ficelle et des explosions style pétard mouillés, tout est mal fait dans ce film, le scénar, les décors, les batailles, les aliens et les comédiens ne croit pas du tout en ce qu'il font, amuser vous avec le jeu vidéo et ne regarder pas cette daube.
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