AlloCiné
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Alors voilà, si vous voulez du sang vous allez être gâté ! Film sans aucun intérêt qui porte même à rire quand on voit les énormités... Énormes c'est aussi les points de couture qui ont recousu la gorge du type lol ..
La famille Bondurant, véritable légende dans leur comté, se présente comme étant aussi charismatique que dangereuse. Tom Hardy tient ici la place du chef de famille ultra-protecteur littéralement indestructible. Il joue de façon si admirable qu’il est de loin le plus imposant à l’écran. Shia Labeouf est quant à lui au centre du récit et nous offre une surprenante performance en crescendo. Son personnage, remplit d’ambition, représente le rêve américain toujours d’actualité aujourd’hui. On peut également ajouter à cet impressionnant casting Gary Oldman, impeccable en gangster des années 30, mais surtout le méconnaissable Guy Pearce. Ce dernier interprète avec brio le rôle de l’antagoniste parfaitement vaniteux et sans scrupule, tout droit tiré du luxe de Chicago avec son apparence pour le moins remarquable. Nous retrouvons ici une bande son et des thèmes propres à la prohibition et plus globalement aux films de gangster. Cependant « Des Hommes Sans Loi » s’apparente plus à un western sur sa forme. Le récit prend place principalement en Amérique rurale et est efficacement mis en scène par sa violence très graphique. Celle-ci accentue le suspense et l’amène à son sommet sans jamais en faire trop. C’est donc avec ce suspense très intense que nous suivons les aventures des frères Bondurant qui, refusant de se soumettre, participeront à leur légende d’immortels. Et sa marche.
Pour moi c'est une des variantes actuelles d'un western revisité ; un peu long quand meme!
pas grand intérêt, c'est l’époque de transition entre celui des western et celui de la modernité.
l'histoire c'est trois frere soutenu par la police réussite à tué l'assistant du procureur et son procureur pour abolir l'interdiction de l'alcool.
ça aurais pue etre comment l'etat américain utilisais cela pour faire reconnaître en meme temps la taxe d'habitation et la propriete intellectuelle.
j'ai l'impression de l'avoir vu 1000 fois.
fin de l'histoire .
l'histoire c'est trois frere soutenu par la police réussite à tué l'assistant du procureur et son procureur pour abolir l'interdiction de l'alcool.
ça aurais pue etre comment l'etat américain utilisais cela pour faire reconnaître en meme temps la taxe d'habitation et la propriete intellectuelle.
j'ai l'impression de l'avoir vu 1000 fois.
fin de l'histoire .
velocio
En compétition au Festival de Cannes 2012, ce nouveau film du réalisateur australien John Hillcoat est de nouveau le fruit d'une collaboration avec le chanteur australien Nick Cave. c'est en effet ce dernier qui a écrit le scénario de "Des hommes sans loi", en adaptatant "The wettest county in the world", traduit en français par "Pour quelques gouttes d'alcool", roman écrit en 2008 par Matt Bondurant. Un roman qui n'en est pas tout à fait un puisque Matt Bondurant s'est largement inspiré de la vie d'un de ses grand-pères et de deux grand-oncles, des producteurs et des vendeurs de whisky clandestin dans la Virginie de la prohibition. A mi-chemin entre western et film de gangster, à la frontière entre réalité et légende, "Des hommes sans loi" se hisse au niveau des meilleurs films des frères Coen, juste décalé comme il faut, plein de petites touches d'humour. Comme Nick Cave et son complice Warren Ellis se sont chargés de la B.O., on a, en plus, une musique de derrière les fagots, dans laquelle on est aux anges d'entendre Ralph Stanley, un vieux chanteur (85 ans) de bluegrass, reprendre et Captain Beefheart et The Velvet Underground; plus les mêmes chansons reprises également par Mark Lanegan, un rescapé de grand talent du grunge de Seattle; plus la présence d'Emmylou Harris, de Willie Nelson et d'une chanson de Townes Van Zandt. Que du bonheur ! Voir critique complète sur www.critique-film.fr
En plus d'être une histoire vraie, celle-ci est passionnante. Avec ses personnages d'un charisme sans nom et ses acteurs au nombre et à la qualité exceptionnels, ces frangins là en imposent et nous imposent le respect. Entre western et film d'affranchis, Des hommes sans loi a cette narration propre aux films cultes, par sa beauté, sa rage, sans aucun concession, sans se soucier du politiquement correct, puisqu'il ne s'agit que de raconter une histoire. Shia Labeouf, excellent, est même supplanté par un Tom Hardy des grands jours, au physique comme à chaque fois unique, dont la définition d'invincible lui va comme un gant. En plus de sa définition de la fraternité, Des Hommes sans Loi nous donne le ton de la prohibition, de la corruption, la violence mais aussi l'amour, qu'il soit romantique pour conquérir cette fille de secte ou même bien plus adulte avec cette serveuse (magnifique Jessica Chastain). Un film qui prend aux tripes, dont on ne peut rester indifférent.
Un film d'une rare violence, tiré d'une histoire vraie et qui nous remue manifestement. Habituellement, je déteste la violence, surtout crue, mais ici elle sert la lourde ambiance qui devait régner au temps de la prohibition. On est pris et pas un instant on ne regarde sa montre : c'est un signe. Photo magnifique, musique au diapason, retranscription très réussie de l'époque, étude psychologique fine des trois frères, tout y est pour faire un excellent spectacle. Vraiment à voir.
Un trio infernal, une vrai histoire de famille de trafiquant qui défende leur territoire et leur honneur par dessus tout. Une scénario plus que parfait, bravo au réalisateur. Quel dire des acteurs alors! Tom Hardy qui ne fait que monté dans le cinéma, je trouve qu'il donne vraiment un plus dans ce film, son interprétation de faux gentil que j'ai adoré. Shia Labeouf toujours aussi complet, sérieux, un vrai bonheur de le voir dans ce genre de film "western". Et enfin Jason Clarke le barbare sans pitié.
Un film vraiment très gore pour un western, car normalement un western n'est pas sanglant du tout. Les scènes de torture sont pas mal. Carrément tout le film tourne autour du combat et c'est vraiment pas mal. J'ai été heureux de retrouver Shia LaBoeuf dans un film aussi bien. La scène finale, ben c'est la joie de la vengeance de tout le film. Bref un western énorme. Mon meilleur western ça c'est sûr !
Déception terrible...en lisant les critiques j'ai été tenté mais le film est long parfois très long.
Shia (la tête à claque d'Hollywood) a le don de m'énerver après chacun de ses films. Le casting ne sauve rien, ni Tom Hardy en espèce de vieux sage égorgé, ni Gary Oldman en gangster de légende, ni Guy Pearce en bi-sexuel fasciste. Ennuyant beaucoup de bruit pour rien
Shia (la tête à claque d'Hollywood) a le don de m'énerver après chacun de ses films. Le casting ne sauve rien, ni Tom Hardy en espèce de vieux sage égorgé, ni Gary Oldman en gangster de légende, ni Guy Pearce en bi-sexuel fasciste. Ennuyant beaucoup de bruit pour rien
Vraiment super, très bon film , très bonne ambiance famille gangster, les musique son pas mal...Tom Hardy joue bien le rôle lui va parfait, et shia labeouf toujours aimez cette acteur il à quel que chose, ça m'énerve les gens qui le critique...Bref super film mais il manque un petit truc en plus peut tête plus d'action je c'est pas mais bon super.. Mon style de film depuis le temps que y a pas eu un film comme ça...
Raphaël O
Excellent western basé sur la période de la prohibition.
Le trio Labeouf/Hardy/Clarke est superbement joué et montre les liens entre frères.
Jusqu'où irait-on pour sa famille ?
Ce film répond à la question.
Superbe !
Le trio Labeouf/Hardy/Clarke est superbement joué et montre les liens entre frères.
Jusqu'où irait-on pour sa famille ?
Ce film répond à la question.
Superbe !
Pour son cinquième long-métrage en tant que réalisateur, le cinéaste australien John Hillcoat, connu pour son adaptation "La Route" et le western "The Proposition", s'attaque au film de gangsters, chose assez rare de nos jours. "Des Hommes Sans Loi" met en scène une fraternité produisant de l'alcool de contrebande pendant la prohibition en Amérique, en 1931. Célèbre pour leur production illicite, les trois frères Bondurant ont acquis au cours du temps une réputation plutôt flatteuse. L'aîné et chef de famille, Forrest Bondurant, est considéré comme indestructible, loyal pour les affaires et inébranlable. Jusqu'au jour où une certaine Maggie vient demander à la famille sa protection. Réalisé par le polyvalent John Hillcoat, "Des Hommes Sans Loi", déploie une intrigue basique, prenante, nuancée par le jeu des acteurs et les quelques scènes de violences très sauvage. Ce long-métrage aux allures de western réunit un casting de rêve comprenant l'excellent Shia LaBoeuf qui incarne le cadet impulsif, plein de volonté et d'espoir, Jason Clarke, plus froid dans le rôle de celui qui ne maîtrise pas sa colère, Tom Hardy, impressionnant en tant que chef de famille posé et bien sûr le méconnaissable Guy Ritchie, détestable au plus haut point. La réalisation est exemplaire et parvient à reproduire parfaitement la période de la prohibition grâce à des décors somptueux et une mise en scène au cordeau. Le film démontre à travers l'évolution des personnages au fur et à mesure que le film avance, l'obsession de la société américaine, l’obsession de vouloir faire à chaque fois mieux pour gagner à chaque fois plus, et que cette obsession finit par nous rattraper et par nous causer des ennuis. Disposant d'une bande son du tonnerre, le film rend très vite ses personnages attachants et charismatiques. Interprété par des acteurs impliqués, "Des Hommes Sans Loi" est une chronique passionnante qui doit son succès à la qualité de la réalisation ainsi qu'à la puissance des interprétations.
Nicolas V
magnifique film ou l action et le suspence restent omniprésents .tom hardy est charismatique et shya le boeuf est parfait.
cette histoire vraie étonnante est remplie de rebondissements et les personnages présents sont tous très bien joués .
cette histoire vraie étonnante est remplie de rebondissements et les personnages présents sont tous très bien joués .
Décors et costumes admirables, scénario ridicule et puéril. Moralité, les vrais hommes produisent et consomment de l'alcool à 90° en bocal.
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