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    Keep the Lights On
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    3,4
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    46 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 décembre 2012
    Un film abordant homosexualité et addictions au drogues, ce serait le genre d' oeuvre cinématographique ou la frontière entre l' underground et le « tendance » est poreuse

    Ira Sachs livre un film en partie autobiographique puisque l' histoire est en partie basée sur la relation amoureuse qu' il a eu avec Bill Clegg.
    Le thème de l' amour impossible est ici abordé à travers l' histoire d' un couple sur dix ans (98 à 2008 ).
    Erick est un documentariste dont l' oeuvre d' étude est le cinéaste gay des années 40 Avery Willard tandis que Paul est un avocat dissimulant (?) en partie son orientation sexuelle (on apprend qu' il a une copine) et ayant une addiction au crack.
    C'est cette addiction qui sera la cause principale de l' impossibilité de leu union à long terme.Ce problème renvoyant/mettant chacun à ses défauts de caractère (Paul reproche à son amant de vouloir tout controler de sa vie).
    Au dela donc des problèmes relationnels, Sachs aborde volontairement la question de l' univers gay via une mise en abime de la recherche «anthropologique » sur cette communauté avec le documentaire sur Williard et rappelle également la problématique du sida, encore marquée à l' homosexualité à la fin des nineties .
    L'esthetique du film entre la photo et ma musique d' Arthur Russel contribue de manière positive à ce film.
    dryan06
    dryan06

    16 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2012
    Très bon film meme si l on peut regretter quelques longueurs.
    Certes c'est un peu pessimiste et triste mais montre une realite que beaucoup de couples peuvent vivrent en regle general.
    c'est bien filme, les personages sont envoutants et nous entrainent dans leurs peripeties et leurs intimités.
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 novembre 2012
    Ce récit de la lente désagrégation d'un couple gay n'évite pas suffisamment les clichés et conventions pour empêcher l'indifférence polie du spectateur.
    jd78
    jd78

    7 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2012
    Lauréat du Teddy Award (le prix LGBT) du festival de Berlin, « Keep the lights on » raconte l’histoire d’amour passionnelle et douloureuse entre deux hommes dont l’un est en proie à l’addiction au crack. Le film s’inscrit dans la lignée de « Week end« d’Andrew Haigh en s’écartant du thème du coming out et de l’acceptation de sa sexualité pour se concentrer sur la relation d’un couple, dans ses bons comme ses très mauvais moments.

    Comme dans « Week end », d’ailleurs, tout commence par un coup d’un soir. Erik (Thure Lindhardt), réalisateur d’origine hollandaise de trente ans, cherche un plan cul sur un chat téléphonique et prend rendez-vous chez Paul (Zachary Booth, qui incarne le fils de Glenn Close dans la série Damages) dans son appartement de Manhattan. Après avoir fait l’amour, Paul prévient Erik qu’il ne doit pas s’attendre à plus car il a une petite amie. Et pourtant, cette nuit marque le début d’une relation qui va durer dix années, à partir de 1988.

    C’est à travers le point de vue d’Erik (ou du réalisateur Ira Sachs, le film étant très largement autobiographique) que l’on va ensuite suivre les différentes étapes de cette relation, entrecoupées d’ellipses, sur plusieurs années. Quand la passion du début laisse place à l’intrusion de la drogue et que Paul disparaît plusieurs jours sans donner trace de vie, le coup de foudre vire à la tragédie intime. Si l’on veut, comme le personnage principal, croire que Paul va s’en sortir, après de multiples promesses et une première cure de désintox, l’addiction semble toujours la plus forte. Finira-t-elle par avoir raison du couple, qui se sépare et se retrouve toujours, chacun étant aussi accro l’un à l’autre ? Erik aura-t-il la force de combattre le fléau qui ravage son couple et de soutenir son compagnon dans ses moments de déchéance les plus sordides ? Des questions qu’Erik ne cesse de se poser au fil du temps et au gré de ses propres errances, auxquelles on devine malheureusement la réponse.

    Malgré les épreuves terribles que va connaître cet homme qui tente coûte que coûte de sauver son couple, le film offre aussi de véritables moments de grâce et d’amour partagés, d’autant plus cruels qu’ils sont toujours très éphémères. « Keep the lights on, I want to see you », lui-dit Paul quand ils se retrouvent au lit après des mois de séparation, car quoi qu’il ait pu se passer entre eux, le lien qui unit ces deux êtres est si fort qu’ils se connaissent par coeur et que le regard qu’ils portent l’un sur l’autre veut tout dire. D’où cette impression d’un immense gâchis.

    Un film très personnel et véritablement touchant, grâce à l’interprétation à fleur de peau de ses deux acteurs principaux et à la mise en images soignée de son réalisateur, qui sait très bien mettre en valeur la beauté de ses acteurs.
    kenone
    kenone

    34 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 octobre 2012
    Une love story gay ou comment un couple va essayer de faire survire leur passion réciproque à l’addiction sexuel de l'un et l’addiction aux drogues de l'autre. Au delà de ce pitch peut être un peu cliché, le film est souvent cru mais évoque avec subtilité la cruauté des relations amoureuses.
    Mathieu H.
    Mathieu H.

    23 abonnés 290 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 novembre 2012
    "Keep the Lights On", dans la lignée de films comme "Week-end", traite de ces histoires d'amour qui naissent d'un rien et à vocation universelle. Pari gagné pour Ira Sachs qui signe ici un film abouti, une œuvre d'art comme on en trouve peu aux États-Unis : c'est bien la confirmation que leur cinéma d'auteur peut générer des petites pépites. On suit ici sur une dizaine d'années l'aventure longue et tumultueuse d'un couple gay qui tente de surmonter ses addictions ou ses façons d'être : la drogue, le sexe, la possessivité ... Mais qui dit addictions, dit problèmes de couple et dit souffrance. C'est bien le fer de lance de ce film : une histoire cruelle et douloureuse. Le talent et les qualités de faiseur d'images du cinéaste nous font ressentir une profonde empathie pour Erik, amant en souffrance mais attaché, mais aussi, évite de nous faire ressentir de la haine à l'égard de Paul, parfois transformé et méconnaissable. "Keep the lights on" est également revendiqué comme personnel : Sachs s'est inspiré de sa propre vie. Mais l'ensemble n'échappe pas à une certaine froideur et à une légère perte de vitesse dans sa deuxième partie, par une répétitivité de l'intrigue. Mais finalement, on sort de la salle avec cette satisfaction permise par le vrai cinéma : celle d'avoir vécu et éprouvé, et celle d'avoir vécu et compris.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 septembre 2012
    excellent jeu dacteurs et tres bonne mise en scene. pour moi un des meilleurs films de lannee !
    a voir absolument !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 septembre 2012
    Le film débute comme commence un film X. À cette histoire parfois prenante, s'invitent l'alcool, la drogue, puis l'ensemble du "milieu". au rythme de quelques longueurs, le film éclairé lentement notre lanterne sur le fil de l'histoire, qui termine, comme elle nous aura été contée, un peu fouillie.
    S'il est toujours difficile de faire transparaître les sentiments dans un film, celui-ci aura, pour ca aussi, manqué de réalisme.
    Julien D
    Julien D

    1 199 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 septembre 2012
    En nous faisant profiter avec autant de délicatesse de sa romance tourmentée autobiographique, Ira Sachs signe un film d’une justesse poignante. Avec une maitrise narrative faisant merveilleusement bien ressurgir les sentiments de son alter-égo, Erik, il nous fait vivre le parcours chaotique de sa relation amoureuse, étendue sur une dizaine d’années, avec son conjoint, Paul, que son addiction au crack va rendre instable. Un drame humain filmé avec un style intimiste plein d’émotions et bénéficiant d’admirables jeux de lumières, en particulier pendant les scènes érotiques, mais qui souffre d’un rythme lent et peu soutenu ainsi que d’un manque d’ambition cinématographique flagrant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 septembre 2012
    Hormis le dénouement, longuet car cousu de fil blanc, j'ai été captivée dès le début de l'histoire par cette histoire d'amour entre deux hommes. L'esthétique des corps est parfaite de sorte que le mot voyeurisme ne vient guère à l'esprit, c'est juste "beau". L'effacement du personnage de Paul, addict au crack, au fur et à mesure de l'intrigue s'estompe. Au contraire, celui d'Erik, joué avec une justesse fascinante par Thure Lindhardt triomphe. L'opposition entre les 2 n'est cependant pas du tout caricaturale. Loin d'être un abstinent, Erik est capable de céder à la tentation, de prendre des risques calculés et de ne jamais tomber dans l'excès, contrairement au fragile Paul. Serait-ce parce que le premier assume parfaitement et de longue date son homosexualité ? En somme un beau film avec une scène particulièrement poignante et décisive (Erik assiste à la prostitution de Paul), et une BO magnifique.
    A voir !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 septembre 2012
    Y a pas de mot tellement c est nul. Payer une place de cinéma pour ca!!! Si on me donnes de l"argent pour le revoir je n y vais pas
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 septembre 2012
    Quelle déception ! Le film part bien mais on s'ennuie vite. C'est dommage. Le seul intérêt c'est qu'il lutte contre l'homophobie en montrant bien que finalement cette histoire aurait pu être celle d'un couple hétéro .
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    80 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2012
    Aprés "week-end"d'Andrew Haigh, voilà un film qui traite une relation amoureuse homosexuelle, avec beaucoup de délicatesse et d'authenticité.
    Même si on peut être mal à l'aise avec les scènes de "sexe" le contenu du film dépasse largement cet obstacle. Je trouve que la finesse psychologique, la sincérité, les dialogues, font beaucoup pour combattre l'homophobie...... Sans drame, c'est la descente aux enfers d'un jeune homme, victime de la drogue....
    ffred
    ffred

    1 702 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 septembre 2012
    Après le très british (et pas franchement renversant) Week-end, voici donc le très attendu deuxième fil estampillé « indé gay » de l'année. Auréolé d'un Teddy Award au dernier festival de Berlin, c'est le nouveau film de Ira Sachs, auteur du très joli Married Life en 2008. Aussi scénariste et producteur, le réalisateur met en scène ici tout un pan de sa vie, car cette histoire est aussi la sienne. Même s'il est entièrement auto-biographique, il qualifie le récit d'universel. Et il a tout à fait raison. Si le film m'a touché, ce n'est pas par sa mise en scène, son interprétation ou ses qualités techniques. Mais bien parce qu'il...
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-keep-the-lights-on-109663145.html
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 220 abonnés 7 513 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 septembre 2012
    Avec Keep the Lights On (2012), le réalisateur s’inspire de son propre vécu pour y retranscrire une relation amoureuse complexe entre deux hommes dont l’un assume mal son homosexualité. Raconté sur presque une décennie, le film accumule les ellipses et laisse plus d’une fois le spectateur dans le flou. Il en résulte au final un joli drame humain, émouvant et ultra réaliste, où deux êtres se déchirent sans parvenir à ne former plus qu’un couple (stable). Le premier est réalisateur de documentaire, le second est avocat et il se drogue. Très accro aux drogues, difficile dans pareille situation de mener une vie de couple bien sous tous rapports. C’est pourtant ce que va tenter de faire Erik, en poussant Paul à suivre une cure de désintoxication, dans le seul but de sauver ce qu’il reste de leur couple. Très autobiographique (ce qui insuffle d’avantage au film un côté réaliste), Ira Sachs ne parvient cependant pas à nous émouvoir sur toute la durée du film (certaines séquences s’avèrent assez répétitives). Si le film est imparfait sur toute la durée, il n’en reste pas moins captivant et ce, en très grande partie grâce à son tandem formé par Thure Lindhardt & Zachary Booth.
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