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    Keep the Lights On
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    3,4
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    46 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 septembre 2012
    Quelle déception ! Le film part bien mais on s'ennuie vite. C'est dommage. Le seul intérêt c'est qu'il lutte contre l'homophobie en montrant bien que finalement cette histoire aurait pu être celle d'un couple hétéro .
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 février 2013
    "Keep the Lights On" est filmé avec un puissant réalisme qui permettra sans doute à bon nombre de couples homosexuels de se retrouver dans les méandres d'une relation tour à tour passionnelle, distante, sombre et complexe, avec pour trame de fond les addictions. Un très bon film avec toutefois un gros bémol pour ma part : le réalisateur a en effet axé l'articulation de l'histoire du point de vue d'Erik (Thure Lindhardt). Ira Sachs ne nous emmène pas dans l'histoire personnelle de Paul (Zachary Booth). La manière dont est vécue et ressentie la relation par Paul, et les ténèbres qui l'habitent, sont à peine effleurés. Résultat : on a de l'empathie pour ce que vit Erik, Paul étant perçu comme un mec froid, irresponsable et égoïste, alors que son personnage contient une souffrance incommensurable. Je pense que c'était intentionnel de la part du réalisateur, mais j'aurais préféré qu'il mette le spectateur dans une position de non parti pris. Hormis ce point, un excellent film avec des acteurs de grand talent amplement à la hauteur de leur mission.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 1 septembre 2012
    J'ai été très déçu par le film. Le scénario est quasi inexistant. Si cette histoire avait été transposé sur un couple hétéro ça aurait sûrement pas eu le même effet mais la, vu que ce sont des gays y a un espèce d'engouement qui s'est créé, on se demande bien pourquoi.. Les personnages secondaires sont non exploités et peu convaincants. Les principaux, eux sont peu crédibles pour ma part. Les scènes de sexe sont pas toujours utiles .. et le ou les scénaristes aurait/aient pu s'abstenir de certains clichés notamment sur l'idée du bébé entre le mec gay et la fille à PD.
    mexico03
    mexico03

    3 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 septembre 2012
    Je m'attendais à un film sur la complexité des relations amoureuse entre deux hommes que tout oppose.......Mais au final c'est une succession d'images chocs, sans intérêts.
    Ennuyeux
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 août 2012
    Attention arnaque... Aussi snobe que mou et infernale de prétention ce film à la laideur sidérante cumule le pire du cinéma européen et le pire du cinéma américain... À fuir... Sans parler de l'ennui mortel qui vous attrape des les 10 premières minutes pour ne surtout plus vous lâcher!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 septembre 2012
    Hormis le dénouement, longuet car cousu de fil blanc, j'ai été captivée dès le début de l'histoire par cette histoire d'amour entre deux hommes. L'esthétique des corps est parfaite de sorte que le mot voyeurisme ne vient guère à l'esprit, c'est juste "beau". L'effacement du personnage de Paul, addict au crack, au fur et à mesure de l'intrigue s'estompe. Au contraire, celui d'Erik, joué avec une justesse fascinante par Thure Lindhardt triomphe. L'opposition entre les 2 n'est cependant pas du tout caricaturale. Loin d'être un abstinent, Erik est capable de céder à la tentation, de prendre des risques calculés et de ne jamais tomber dans l'excès, contrairement au fragile Paul. Serait-ce parce que le premier assume parfaitement et de longue date son homosexualité ? En somme un beau film avec une scène particulièrement poignante et décisive (Erik assiste à la prostitution de Paul), et une BO magnifique.
    A voir !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 décembre 2012
    Un film abordant homosexualité et addictions au drogues, ce serait le genre d' oeuvre cinématographique ou la frontière entre l' underground et le « tendance » est poreuse

    Ira Sachs livre un film en partie autobiographique puisque l' histoire est en partie basée sur la relation amoureuse qu' il a eu avec Bill Clegg.
    Le thème de l' amour impossible est ici abordé à travers l' histoire d' un couple sur dix ans (98 à 2008 ).
    Erick est un documentariste dont l' oeuvre d' étude est le cinéaste gay des années 40 Avery Willard tandis que Paul est un avocat dissimulant (?) en partie son orientation sexuelle (on apprend qu' il a une copine) et ayant une addiction au crack.
    C'est cette addiction qui sera la cause principale de l' impossibilité de leu union à long terme.Ce problème renvoyant/mettant chacun à ses défauts de caractère (Paul reproche à son amant de vouloir tout controler de sa vie).
    Au dela donc des problèmes relationnels, Sachs aborde volontairement la question de l' univers gay via une mise en abime de la recherche «anthropologique » sur cette communauté avec le documentaire sur Williard et rappelle également la problématique du sida, encore marquée à l' homosexualité à la fin des nineties .
    L'esthetique du film entre la photo et ma musique d' Arthur Russel contribue de manière positive à ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 septembre 2012
    Je n'ai pas du tout aimé, ai trouvé ce film long et ennuyeux voir plombant. Les personnages étaient tour à tour énervants et déprimants.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 septembre 2012
    Y a pas de mot tellement c est nul. Payer une place de cinéma pour ca!!! Si on me donnes de l"argent pour le revoir je n y vais pas
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 janvier 2020
    C'est ça un des plus beaux films américains de 2012 ? Quelle vacuité ! Avec Keep the ligyhts on, on est irrémédiablement dans un jugement social. On ne peut voir et émettre une opinion sur le film qu'au travers de sa condition sociale, car ce qui marque dès les premières minutes du film est la catégorie sociale des personnages. C'est une catégorie sociale qui n'a pas de problème d'argent. Elle évolue dans un monde privilégié, sans trop se soucier des problèmes économiques. Les personnages ont les mêmes mœurs, et on doit supporter leur crise existentiel. Ils semblent coupés du monde réel. Ce sont les gagnants du monde économique (vainqueurs par naissance pour le personnage principal). Ce qui effrayant aussi est que les autres catégories sociales n'existent pas dans le film. On ne les voit pas. Et de penser qu'une société si fragmentée est une société où chacun s'isole de l'autre. Dans le film on voit une forme d'isolement, mais entre enfants gâtés. Ce film ne s'adresse pas à moi. Je suis totalement hermétique à cette histoire. Alors bien sûr on peut voir le film seulement comme le témoignage un peu vain de la vie d'une classe sociale, les CSP+. Dans le film, le couple va dans différentes directions tout en restant dans la même classe sociale. Il ne se met pas vraiment en danger. Si il existe une fracture sociale, on voit bien que ce n'est pas une minorité sexuelle qui est exclue. Le personnage central a toujours sa famille friquée pour s'occuper de lui, entre oisiveté et création. Et de se demander si seulement des gens comme lui peuvent créer ? Si oui quel échec. On a pas le sentiment en voyant le film que nous vivons dans un système équitable, car on est pas transporté et enthousiasmé par le travail de création du personnage principal. Vous imaginez la perte de talents que cela entraîne si seulement des gens favorisées comme lui peuvent créer ? Pour créer quoi en plus ! La fracture sociale est aussi liée aux écarts de niveau de connaissances car dans le film on parle beaucoup d'art, de création. Les gens restent entre eux, dans leur milieu culturel avec leurs codes culturels. C'est la forme même de la séparation sociale. les groupes sociaux créent des objets correspondant à leur culture et à leur conception du monde (voir Pierre Bourdieu). On est un peu dans la même logique que dans les films de Woody Allen, l'humour en moins.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 septembre 2012
    Très bien interprété et très réaliste.
    Un bon film, pour moi.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 août 2012
    Pourquoi j'ai aimé ce film? Parce qu'il ne s'y passe rien! Il s'agit de la relation amoureuse de deux personnes sur 10 ans, leur hauts et leur bas, LA vie en somme!!! C'est donc une histoire universelle qui nous ramène à nos propres questionnements sur l'amour, l'intérêt que chacun cherche dans une relation amoureuse!!! Dans tout amour, n'aime t-on jamais que soi-même????
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 septembre 2012
    Bien amené même si lassant sur la fin. Peu réaliste dans l évolution des personnages sur 10 ans. J aurais aimé des personnages secondaires plus approfondis. Chapeau pour la reprise des codes plans gays à l écran.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 septembre 2012
    excellent jeu dacteurs et tres bonne mise en scene. pour moi un des meilleurs films de lannee !
    a voir absolument !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 août 2012
    Il y a dans "KEEP THE LIGHTS ON" quelque chose d'ultra réaliste, quelque chose qui rappelle le vrai cinéma, celui que faisait des réalisateurs comme J. Cassavetes. Un cinéma où les acteurs et l'histoire sont simplement d'une rare justesse. Ce n'est pas une petite histoire de gays New Yorkais mais une histoire passionnelle entre deux êtres humains. C'est avec qualité et sans fioritures gratuites que le réalisateur parvient à transcrire au cinéma, cette finesse de ces sentiments que nous avons tous vécu.
    Exit les scénarios faussement créatifs, basés sur des effets d'annonces et cousus de fils blancs. Exit les acteurs comme Marion Cotillard qui surjouent des scènes de mort ridicules...Exit le faux et les films pour lesquels la beauté de la vie n'est jamais au centre des histoires. KEEP THE LIGHTS ON est un bol d'air qu'il faut voir et dont on se souviendra.
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