Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Si l'histoire racontée est par moment douloureuse, on en sort avec ce plaisir exquis propre au cinéma, celui d'avoir vu vivre, et d'avoir vécu avec.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Le Point
par Florence Colombani
L'élégance de la mise en scène, la beauté de l'image et la douceur du regard posé sur l'effrayant Paul, que son addiction métamorphose au point de le rendre méconnaissable, tout cela sauve le film du voyeurisme et fait de "Keep the Lights On" une véritable oeuvre d'art.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
L'un des plus beaux films indépendants américains de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Marianne Fernandez
Malgré la justesse du ton, l'aspect lumineux très travaillé du film le condamne à une certaine froideur. [...] Mais la faille semble assumée par ce film personnel et, malgré tout, réussi.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le dépouillement de "Keep the Lights on" ne relève pas de l'inexpérience ou de la timidité. Dès les premières séquences, la volonté de parvenir à la vérité à travers l'expression physique de la passion est évidente. (...) Au fil des ans, "Keep the Lights on" se transforme en roman de formation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Frédéric Strauss
Ira Sachs signe la belle chronique d'une vie tournée vers ce qui permet de la réinventer sans cesse : l'amour et la création.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Sélim Ammouche
Sous les atours d'un drame sans réelle ambition, "Keep the Lights On" parvient néanmoins à dépeindre une relation amoureuse avec pudeur et délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Julien Gester
La douceur du film et la sensibilité désaffectée de son trait ont de quoi séduire, mais l'apprêt de l'ensemble agace.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O'Neill
(...) la lenteur et l'absence de drames épuiseront la patience de maint cinéphile.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Bernard Achour
Il y a dans ce film une noblesse d'approche, un respect pour les personnages et une maturité dans la restitution des sentiments qu'il faut saluer. (...) Le parti pris de tenir la même note tragico-érotico-dépressive débouche sur une monotonie dont l'émotion et l'empathie finissent par faire les frais.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Auteurisme chatoyant d'un cinéma au premier abord très séduisant, et qui finit toujours par se dégonfler dans sa deuxième partie, une fois que son habileté ne suffit plus et qu'une histoire demande, en vain, à être menée à bien.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Marianne
par Anna Topaloff
Etrange qu'Ira Sachs, icône du cinéma underground new-yorkais ait pu penser que de telles lapalissades suffiraient à nourrir un scénario.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Ira Sachs filme chaque cliché du genre comme s'il s'agissait d'un scoop, ahurissante virginité du regard qui fait osciller ce mélo entre impuissance crasse et gravité sursignifiante de petit élève zélé.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
Si l'histoire racontée est par moment douloureuse, on en sort avec ce plaisir exquis propre au cinéma, celui d'avoir vu vivre, et d'avoir vécu avec.
Le Point
L'élégance de la mise en scène, la beauté de l'image et la douceur du regard posé sur l'effrayant Paul, que son addiction métamorphose au point de le rendre méconnaissable, tout cela sauve le film du voyeurisme et fait de "Keep the Lights On" une véritable oeuvre d'art.
Les Inrockuptibles
L'un des plus beaux films indépendants américains de l'année.
Critikat.com
Malgré la justesse du ton, l'aspect lumineux très travaillé du film le condamne à une certaine froideur. [...] Mais la faille semble assumée par ce film personnel et, malgré tout, réussi.
Le Monde
Le dépouillement de "Keep the Lights on" ne relève pas de l'inexpérience ou de la timidité. Dès les premières séquences, la volonté de parvenir à la vérité à travers l'expression physique de la passion est évidente. (...) Au fil des ans, "Keep the Lights on" se transforme en roman de formation.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Ira Sachs signe la belle chronique d'une vie tournée vers ce qui permet de la réinventer sans cesse : l'amour et la création.
Les Fiches du Cinéma
Sous les atours d'un drame sans réelle ambition, "Keep the Lights On" parvient néanmoins à dépeindre une relation amoureuse avec pudeur et délicatesse.
Libération
La douceur du film et la sensibilité désaffectée de son trait ont de quoi séduire, mais l'apprêt de l'ensemble agace.
Positif
(...) la lenteur et l'absence de drames épuiseront la patience de maint cinéphile.
Première
Il y a dans ce film une noblesse d'approche, un respect pour les personnages et une maturité dans la restitution des sentiments qu'il faut saluer. (...) Le parti pris de tenir la même note tragico-érotico-dépressive débouche sur une monotonie dont l'émotion et l'empathie finissent par faire les frais.
Chronic'art.com
Auteurisme chatoyant d'un cinéma au premier abord très séduisant, et qui finit toujours par se dégonfler dans sa deuxième partie, une fois que son habileté ne suffit plus et qu'une histoire demande, en vain, à être menée à bien.
Marianne
Etrange qu'Ira Sachs, icône du cinéma underground new-yorkais ait pu penser que de telles lapalissades suffiraient à nourrir un scénario.
TéléCinéObs
Ira Sachs filme chaque cliché du genre comme s'il s'agissait d'un scoop, ahurissante virginité du regard qui fait osciller ce mélo entre impuissance crasse et gravité sursignifiante de petit élève zélé.