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Un visiteur
2,0
Publiée le 3 janvier 2013
Pourquoi tant de critiques positives... On tourne en rond. Oui les acteurs portent le film, et heureusement, car il n'y a pas grand chose d'autre ! Un film à philosopher.
Que dire de ce film ? Pas simple de s'exprimer sur un "certain" regard. Celui d'une petite fille posé sur son monde déréglé : sauvage, animal, démuni mais digne et combatif pour continuer à exister. Laissez vous conter ...
De belles images et des acteurs convaincant ne suffisent pas à sauvé. De deux choses l'une : pu ce film est réservé à un public de sur intello du 7eme art ou c'est une juste un vrai bazars...certainement un peu des 2. Passez votre chemin à moins d'aimer les films très tordus.
Que de belles intentions dans ce film mais qui n'aboutissent jamais. Le scénario est confus, et les différents personnages n'arrivent pas à se rendre vraiment attachants. Si on passe à côté de la logique philosophico-écologique dès le début du film, alors le film est très long et propose une suite de séquences dénuées de sens. Malgré tout, la mise en musique est très belle et il y a quelques bonnes idées de mises en scène. Il manque vraiment un fil conducteur au film car le personnage joué par la petite Wallis est très intéressant, mais pas suffisament bien exploité. La caméra tremblote beaucoup, les décors sont parfois bien laids même si la lumière est souvent belle. Dommage tout ça, le message du film avait l'air bien beau mais le réalisateur a voulu convaincre les festivaliers plutôt que les spectacteurs.
Tout d'abord les "Aurochs" sont grotesques et les nombreux gros plan sur les animaux morts en décomposition c'est répugnant et plutôt inutile. Le scénario est creux, c'est à la limite du "je raconte ma vie au jour le jour", avec des petites mésaventures de la vie quotidienne. La pauvreté de ces gens dans un pays aussi riche fait peine à voir. Par ailleurs ces personnes semblent pour beaucoup atteintes de déraisons. On a plein d'espoir pour la petite fille mais malgré toutes ces pensées "philosophiques", elle ne se sort pas de ce milieu, elle ne retrouve pas celle qu'elle cherche...etc... quelle déception. Quant à son père il finit comme on s'y attend. Un film assez désarmant au final. L'ouragan passe très vite et n'a finalement que peu d'importance. Malgré tout ça, deux bon points pour la musique et la photographie.
Cette petite fable sur un petit groupe de laissés pour comptes,survivent comme ils peuvent et habitants un lieu inhabitable,n'a rien de vraiment charmante ni de poétique.C'est de la poésie au rabais,il y a de la volonté mais tout est mal utilisé et mal fabriqué.Il y a bien quelques petites idées qui fonctionnent par ci par là.Mais l’ensemble ne tiens pas la route,la petite fille Quvenzhané Wallis a certes une présence devant la camera,mais la narration en voix off est totalement inutile.Le père incarné par Dwight Henry a lui aussi une présence,mais pour le reste des comédiens c'est autre chose,ils sont lamentablement mauvais.Impossible d'y croire un instant.Cette histoire d'un père apprenant a sa fille comment survivre dans un mode sans pitié,ne marche que rarement.Les métaphores sont balourdes,grosso modo ce sont encore les plus pauvres qui pâtisses du réchauffement climatique.La sincérité que voudrait dégagé le film n'est jamais présente,tout sent le fabriqué pour un grand manque de naturel donné au récit.La BA ne m'avait pas convaincu,elle sentait le supreflux de l'émotion,c'est le cas du film.C'est l’avalanche de critique positive qui a titillé ma curiosité,ben je suis loin d'avoir trouvé ce film mémorable,il reste d'un niveau moyen sans plus,car il est loin d'avoir les qualités qu'on lui attribues.
une déception personnel a la hauteur de l engouement susciter par le sois disant grand film indé du moment ...le récit s enlise dans une métaphore peu inspirée au final dont on ne comprend parfois pas toujours vraiment le but recherché et dont la poésie évoquer par beaucoup et pour ma part limite indigeste ...reste certains plans certes filmer avec les moyens du bord mais vraiment inspiré, la musique et l interprétation de la jeune quenvenzhane wallis vraiment étonnante d intensité pour son jeune age, ce qui sauve pour ma part le film du ratage total .....
voilà un fim original, parfois déconcertant, filmé avec les moyens du bord (on est loin des budgets des superproduction), sans doute parfois caricatural, mais tout cela en fait une oeuvre attachante. Je trouve cependant très exagérées certaines critiques qui parlent de chef d'oeuvre, de pépite, de bijou, de film de l'année. Il y a quelque chose de léger dans cette narration, même si le film peut dérouter parfois, et tous les spectateurs ne seront pas sensibles de la même façon à ce faux ryrhme sur lequel se déroule l'histoire. Pour un premier film, il est sur que voilà un metteur en scène qu'on a envie de revoir, peut être avec une histoire plus fouillée et des personnages davantage travaillés, et qui laissent moins d'interrogations. Voilà pourquoi je donne une note juste moyenne à ce film: il y avait sans doute matière à faire quelque chose qui marque davantage, là on a l'aperçu d'un talent peut être en devenir.
C'est un film tourné à la façon d'un conte africain poétique. La photo est magnifique. La petite actrice est parfaite. Il manque quelque chose à la narration pour rendre les choses captivantes.
Suis-je donc le seul sur la planète cinéphile, de Sundance à Reykjavik, de Cannes à Deauville, à voir à quel point ce film est imparfait et même un peu roublard ?
On dirait.
Pourtant, il me semble évident que ceux qui s'extasient devant la petite Hushpuppy le font sur un mode qui n'a pas grand-chose à voir avec le cinéma, mais plus avec la réaction d'une pré-ado qui craque devant un petit chaton en lançant un perçant "il est trop mimiiii". Si la petite actrice au nom compliqué (Quvenzhané Wallis) est... la suite ici : http://www.christoblog.net/article-les-betes-du-sud-sauvage-113504637.html
Il arrive qu'on s'aperçoive qu'on est plutôt éloigné du goût majoritaire et, parfois, cela surprend. C'est ainsi qu'au moment où a été annoncé le palmarès de la Caméra d'Or au dernier festival de Cannes, j'ai été très surpris, voire choqué, que cette récompense aille à "Les bêtes du sud sauvage", un film très sympathique, certes, mais, à mon avis, tout à fait moyen. D'autant plus que concouraient pour cette récompense des films comme "Aqui Y Alla", "Broken", "Alyah", "Rengaine" et, surtout, l'incomparable film iranien "Une famille respectable". Le pire, c'est que ce film a également obtenu le Grand Prix du Jury à Sundance, le Grand Prix ainsi que le Prix de la Critique à deauville, plus d'autres récompenses moins prestigieuses à droite et à gauche. Je ne comprends pas !
...Le film arrive sur nos écrans couverts de prix (dont Caméra d'or à Cannes, Grand Prix à Deauville...). Normal, voilà un pur film de festivals estampillé Sundance (Grand Prix aussi). Le problème est que cela fait un peu trop film « indé de festival ». On peut dire que c'est plutôt bien fait, bien mis en scène, bien joué. Les acteurs principaux (non professionnels), inconnus, Ouvenzhané Wallis et Dwight Henry, sont très convaincants. L’histoire laisse plus perplexe, oscillant entre dure réalité, poésie, rêves et phantasmes, dans ce qui semble être un futur proche... La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-les-betes-du-sud-sauvage-112187940.html