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    Les Bêtes du sud sauvage
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    449 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 août 2013
    Tant d'éloges pour si peu de plaisir. Impossible pour moi de m'en imprégner. Pourtant l'affiche donnait envi...
    Unc-Scrooge
    Unc-Scrooge

    52 abonnés 614 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 août 2013
    Il est vrai qu’à côté de tous les blockbusters qui déferlent sur nos écrans à une cadence infernale, Beasts of the Southern Wild est une œuvre différente, originale, contradictoire même. Et c’est d’abord son succès qui étonne: premier (petit) film de Behn Zeitlin (2 millions de budget), les 90min proposées ici ont malgré tout réussi à attirer les regards de la presse du monde entier ainsi que des jurys professionnels… Mais lorsque l'on regarde cette œuvre, on comprend vite le succès critique du film : visuellement et musicalement très réussi, proposant quelques magnifiques plans, le film se distingue surtout grâce à son actrice principale, Quvenzhané Wallis. Du haut de ses 6 ans, cette gamine nous éblouit par son talent, mélangeant à la fois la candeur de son âge et un professionnalisme qui n’a rien à envier aux plus grandes et l’a positionnée en candidate sérieuse des derniers oscars. Oui mais voilà, The Beasts of The Southern Wild est gâché par un scénario bien trop léger et prévisible mais aussi par un réalisateur qui se perd dans son message, nous entraînant tour à tour sur le terrain du paternalisme puis de l’écologisme, du social ou encore du parcours initiatique. Et puis, au milieu de ces aurochs qui au final ne font que’occuper la pellicule, Behn Zeitlin cherche à tout pris à provoquer les larmes du spectateur, au risque de le mettre progressivement mal à l’aise et de le couper de son film. Plus que divisé, il y a de quoi ressortir mitigé de ce film magnifique, pathétique, incroyablement bien joué, scénaristiquement vide, humain, mélodramatique à outrance, sublime et pourtant très lent…
    eldarkstone
    eldarkstone

    232 abonnés 2 108 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 juin 2013
    Avis assez mitigé sur ce soit-disant " chef-d’œuvre " ... S'il est clair que l'idée de voir et ressentir l'histoire aux travers les yeux d'une enfant est intéressant, si certains passages sont durs et beaux, j'ai eu parfois du mal à voir à tenir sans légèrement m'ennuyer ou à voir ce qui est " magnifique ", je trouve qu'il manque un peu de fond, pas réellement de fil conducteur tout le long ...
    Akamaru
    Akamaru

    3 154 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 mai 2013
    Les critiques étaient plus élogieuses que jamais. Les festivals ont couronnés de prix ce premier long de Benh Zeitlin. La promo vantait une fable naturaliste et écologique renverdante à travers les yeux d'une enfant du bayou. Eh bien,après une telle unanimité,je ne peux qu'être déçu,avec le sentiment de m'être fait rouler dans la farine. Certes,Hushpuppy,5 ans et une moue irrésistible,est une héroïne inoubliable,mais il me semble qu'elle s'exprime avec trop de philosophie et d'aplomb pour une enfant de son âge. De plus,la mise en scène très démonstrative,ressemble à un chantage à l'émotion,et pire,fustige la civilisation. "Les bêtes du sud sauvage" se rattrape dès qu'il se positionne sur le terrain de la poésie,avec apparition d'aurochs imaginaires ou pensées pour une mère absente. Le film est aussi un hymne à la solidarité entre les plus pauvres,et évidemment un hommage à ceux qui vivent encore entre mer et terre en Louisiane. De même,on apprécie la fougue de Hushpuppy dont la caméra suit chacun des pas à la trace. Mais ça ne me fera pas oublier,qu'il ne s'agit pas du film-phénomène annonçé et qu'il distille une idéologie douteuse.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    114 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 mai 2013
    Les bêtes du sud sauvage, un film indépendant, un vrai pour le coup, qui aura connu un succès critique retentissant, allant même jusqu’au Oscars, concourir pour la statuette de meilleur film et meilleur réalisateur, entre autre-chose. Oui, les oubliés, les sinistrés, les déshérités, peuple de sauvages séparés de la civilisation, des gens les pieds aux sec, par une énorme digue, un mur. C’est là que vit l’enfant Ushpuppy, auprès de son père, fou de son état, s’ennuyant d’une mère disparue, craintive des forces de la nature, des conséquences d’actes irréversibles sur l’environnement, sur son monde à elle. Benh Zeitlin nous emmène sur des sentiers semés d’embûches, glissant, si bien qu’une partie du public aura lâché la petite frisée, le cinéaste et sa poésie, bien avant d’avoir franchi le cap de l’heure de visionnage. C’est, il est vrai, un peu mon cas.

    C’est malgré tout charmé par des images sublimes, illustrant souvent la misère, et quelques belles phrases, touchantes, que je suis resté captivé jusqu’à la fin. Curieux de connaître les aboutissants d’un tel travail, décharné, complexe et très personnel, j’aurai franchi le cap de l’agacement, de l’ennui, pour percer le mystère, par curiosité. L’essence même du film se trouve dans la poétique, dans l’imaginaire d’un cinéaste marginal qui tente de constituer un récit à l’aide de morceaux irrationnels, parvenant même parfois à émouvoir, je dis bien parfois. Oui, bon nombre seront resté bouche bée devant la naïveté de l’enfant, ses mignonnes prises de tête, ses mimiques drôles ou touchantes. J’ai pour ma part été plutôt intrigué par l’univers, les décors, filmés par Zeitlin, l’enfant actrice n’ayant été qu’un être chaleureux dans un univers captivant.

    Drôle de film, oui, c’est sans doute cela qui aura poussé les inconditionnels d’un cinéma néo-idéo-indépendant à promouvoir celui-ci auprès du grand public. Si l’on apprécie certaines séquences, si l’on admet le charme de la situation, si l’on accepte de tenter d’infiltrer le processus de création du cinéaste, l’on sort finalement indifférents d’un séance de visionnage qui verra parfois nos mirettes lorgnés sur notre montre, sur le lecteur en mode Display, le tout pour savoir si Zeitlin finira par aboutir quelque part.

    A vous de trouver le sens des bêtes du sud sauvage, titre magnifique au passage. Si je n’ai nulle intention de démolir ici la réputation d’un film couronné de succès, je prévient autrui d’un risque de déception, d’étonnement alors que tous s’attendent à un monstrueux travail indépendant, prenant et très concret. C’est un peu tout le contraire. Ben Zeitlin devient du coup une sorte de David Lynch, de David Cronenberg du ciné Indé US, soit un réalisateur loufoque mais pas pour autant détraqué. 10/20
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 avril 2013
    Ennuyeux. Lent. Peu d'action. Film qui ne vaut pas réellement la peine d'être vu. Honnêtement, j'ai du mal à comprendre toutes les nominations et les récompenses car ça casse pas trois pattes et un canard.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 15 avril 2013
    Vu tout ce qui en a été dit, le nombre de critiques positives et la nomination aux oscars, je pensais avoir trouvé une petite perle. Mais je suis complètement passé à côté de ce film. Beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. J'ai du mal à comprendre pourquoi avoir appelé ce film ainsi alors qu'au final on ne voit les Bêtes que 5 minutes sur tout le film et qu'elles ne servent pas à grand chose au final. ( Avant de le voir, ou au début du film du moins je pensais que la fillette se réfugierait dans un monde remplit de bêtes sauvages pour fuir la réalité et l’alcoolisme de son père. Mais en fait c'était pas du tout ça. ). J'ai du mal à comprendre l'engouement autour du jeu de la fillette d'ailleurs, elle ne m'a pas semblé extraordinaire. Mais bon, comme je suis passé à côté, ça explique surement ce point de vue ^^. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 13 avril 2013
    Une jolie bande son, une petite fille au charisme exceptionnelle et un thème écologique très actuel font de ce film une vrai curiosité. On hésite tout au long de cette chronique à envier ou à plaindre les habitants de cet étang, tellement leurs conditions de vie semblent pitoyables et pourtant on a envie de les encourager à se battre pour ça! A part ça, le film à tendance se perdre un peu et on se demande bien à quoi servent ces monstrueuses bêtes du sud sauvage.
    Jé F
    Jé F

    4 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 avril 2013
    Sans queue ni tête. Pas réellement de scénario. Aucune explication sur ce que font ces personnages ou mileu d'un marais, et pourquoi ils persistent à y rester ... ??
    Thierry-Gautier
    Thierry-Gautier

    44 abonnés 149 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mars 2013
    Les quelques plans superbes tirés des rêves de la petite fille ne suffisent pas à donner de la poésie à cette fable sociale désespérante sur le lumpenprolétariat du bayou de Louisiane. On baigne dans les détritus et dans l'alcool. Finalement, un film sur les défaillances de l'ASE (l'aide sociale à l'enfance) américaine.
    matt240490
    matt240490

    87 abonnés 1 063 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mars 2013
    Film méconnu mais qui sorti de l'ombre le jour où il fut nominé à l'Oscar du meilleur film et à l'Oscar de la meilleure actrice pour Quvenzhané Wallis, Les Bêtes du Sud Sauvage possède autant de bons que de mauvais côtés. Ainsi, en dépit de la prestation impressionnante de la jeune actrice, de son montage sonore qui lui donne des ailes ou du jeu d'acteur de Dwight Henry, la mise en scène trop chancelante, le manque de cohésion entre quelques axes qui se suivent ou son incapacité à nous émerveiller sont autant de déceptions qui enlèvent un certain charme, charme que l'on souhaitait subir au vu des recommandations.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 mars 2013
    C’est un déluge de critique plus qu’élogieuses qui a plu ces dernières semaines sur Les Bêtes du Sud Sauvage, et on ne peut en effet qu’admirer les nombreuses réussites de ce premier film, une Quvenzhané Wallis (Hushpuppy) prodigieuse, pleine de malice, d’innocence enfantine (sur laquelle le film insiste un peu trop toutefois) face au monde qu’elle voit disparaître, le Bayou, emporté par un déluge, à celui qu’elle découvre, le monde dit moderne et évidemment dans la lutte face à ses peurs, personnalisée par des auroch, et la maladie de son père.

    De même il est évident que le talent de Ben Richardson, le chef operateur, et celui de mise en scène de Benh Zeitlin nous offrent des images magnifiques, des joyeux bordels de marginaux du Bayou qui explosent de joie de vivre aux scènes contemplatives post-apocalyptiques marécageuses et dégoulinantes. Le film joue énormément sur cette alternance entre apocalypses et quotidien, c’est ainsi que le réalisateur traite son travail sur la résistance : Hushpuppy est confrontée à cette alternance et doit subir ces apocalypses des degrés divers (la grande fête d’ouverture, l’incendie, la maladie de son père, le déluge, le départ forcé…) entrecoupés de scènes des plus communes (elle va à « l’école », prépare à manger, apprend à pêcher…). C’est aussi la résistance d’une communauté, qui préfère mourir au Bayou que vivre de l’autre coté, qui tentera tout pour garder leur « coin de paradis » en putréfaction, « home ». Cette recherche sur la résistance à deux niveaux baigne toutefois dans un onirisme voyant, palpable. Tout comme la voix off peut être pleine de sensibilité, le réalisateur joue trop sur son coté enfantin pour se justifier et l’utilise parfois de manière bancale, avec des phrases « marrantes » de description du monde moderne par une enfant qui ne l’a jamais connu, « ici quand les gens sont malades, on les accroche au mur » pour parler de la perfusion. Ca ne marche que parce que cela sort de la bouche d’une enfant.

    Alors que le travail de mise en scène est assez formidable et parvient souvent à ses fins, une musique héroïque et pompière a été ajoutée, ce qui brise instantanément la finesse de l’image, mais le réalisateur ne peut s’en prendre qu’à lui même, il est aussi le compositeur. On se demande beaucoup où veut en venir le réalisateur, après avoir créé un univers avec beaucoup de talent, que nous dit il de plus ? Entre les aurochs et leur personnalisation des peurs de Hushpuppy et la quête d’une mère morte ou disparue, en passant par un questionnement du spectateur sur l’éducation, le film brasse beaucoup de sujets plus ou moins sensibles mais ne délivre que peu de pistes d’interprétations.

    Les références y sont nombreuses, de Malick à la mythologie grecque, le réalisateur nous délivre un film bouillonnant d’idées et de plaisir du cinéma, souvent sensible, mais qui rate tout de même ses effets par trop de surenchère et nous laisse sur notre faim.

    lire mes autres critiques sur :
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    gregbutton

    29 abonnés 698 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mars 2013
    Je pense etre passé à côté de ce film. Bien réalisé, bien fait, un peu de poésie, le rapport à l'enfance qui se construit, les difficultés tout ça tout ça.. Mouais.. Je n'ai pas bien saisit toutes les métaphores non plus. Le pere et la fille sont trés attachants par contre. Par contre merde bouger la camera pour faire réaliste ne prends pas.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 23 février 2013
    bon,encore un pour lequel je n'ai pas compris ce qui emballait les critiques! oui c'est pas mal mais c'est quoi ce sujet manicheen? de l'emotion? a part l'hysterie alcoolisée dans laquelle ils se noient et qui sert de modele a cette petite comme modele de partage et de joie!!!
    il faut vraiment de la bonne volonté pour voir en arriere plan l'integration de cette animalité sauvage en force interieure...mais , bon c'est vraiment en cherchant bien!!! ça n'avait pas besoin de tout ça!
    Yves G.
    Yves G.

    1 518 abonnés 3 533 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 février 2013
    Caméra d'Or à Cannes, grand prix au festival de Sundance, recommandé par Obama lui-même, "Les bêtes du Sud sauvage" est précédé par une critique louangeuse.
    Son héroïne, une gamine de six ans, est même évoquée pour l'Oscar de la meilleur actrice.
    Il faut reconnaître que le film est original.
    Dans la Louisiane du Sud, à l'embouchure du Mississipi, la petite Hushpuppy vit avec son père en marge de la société. Avec une bande de marginaux, ils ont construit des cabanes sur pilotis pour se protéger du prochain ouragan (Katrina ?).
    Sentant sa fin venir, le père apprend à sa fille les rudiments de survie.
    Roman initiatique, conte fantastique, fable écolo, "Les bêtes du sud sauvage" mélange les genres.
    La mise en scène du new-yorkais Benh Zeitlin est furieusement tendance : caméra à l'épaule, plan serrés, images surexposées ....
    L'ensemble sent pourtant trop le procédé pour être honnête. Et la jeune actrice est trop horripilante pour susciter l'adhésion sans réserve.
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