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Un visiteur
0,5
Publiée le 15 janvier 2013
Au secours! une caméra qui bouge sans cesse (mal de mer assuré) une complaisance à montrer la pauvreté sans message constructif pour aller avec, une fausse poésie à 2 franc 6 sous: bref film à fuir. Même si la jeune actrice est effectivement attachante
Un film peu glorieux a la morale douteuse et a cent mille lieu d'un terrence mallick qui dans "la ligne rouge"nous fait voir avec de magnifiques images et un réalisme percutant la souffrance des hommes ou au contraire meurt absurdité face a une catastrophe qu'est la guerre.
Ici face a une catastrophe qui est une tempête seul l'absurdité de l'humain est montré et leur pire est que le réalisateur essayer de nous faire adhérer a cette absurdité de l'homme car elle est noyé sous une musique mélodramatique ainsi que de très belles images poétique et un coté fantastique rendant le film pas réaliste pour un sous. Reste seulement une bonne interprétation de la jeune comédienne.
Je m'explique :
la liberté des personnes du bayou : oui! mais a quel prix? ils sont tous alcooliques, certainement d'autres sont malades comme le pere, ils vivent dans une précarité sans nom, quasiment condamne a mort a chaque tempête. la plupart de ceux qui ne veulent pas fuir le danger meurt a la moindre catastrophe car ils sont vulnérables au bord de l'eau dans leurs maison en tôle' mais dans le film c'est pas grave qu'ils soient mort car "ils essayent de respirer au fond de l'eau". et puis comme par hasard tous les potes du mari qui sont bornés et preferent picolés sans rien faire (ils disent bien au début du film qu'ils sont quasiment tout le temps en vacances, a faire le fête, a picoler) survivent a la tempête. alors qu'ils n'ont rien fait pour plutôt que d'essayer de se prémunir face a une catastrophe a venir, plutôt que d'essayer de sauver les siens ils traitent ceux qui veulent partir pour essayer de sauver leur famille de lâche, de mauviettes. il préfère pourrir, mourrir seules dans leurs bicoque ou a plusieurs dans le bar du coin mais dans tous les cas a picoler. et pui après la catastrophe ont va kan même se renseigner si chacun dans son coin a réussi a survivre ou pas et si oui tant mieux si nan tant pis. du fait de cette précarité et du fait de rien vouloir faire face aux événements qui arrivent (tu es malades : tu te soigne pas et tu picole et tu attend la mort/ une tempête arrive : tu fuis pas! et tu peux rien faire pour te protéger car tu as rien pour Et tu picole alors tu es trop saoul pour faire quelque chose) alors dans cette vie c'est chacun pour sa gueule : il y'a le moins d'amour possible, il faut pas s'attacher pas avoir de faiblesses alors sa commence avec la mère qui fuit et abandonne son petit dés la naissance puis sa continue avec le père qui sait qu'il va crever car il est malade alors il est violent avec sa fille' il lui refuse tout câlin, il la gifle quand elle l'énerve car elle veut parler (la colère amenant l'enfant en manque d'amour a faire bruler sa maison, a taper son père....). ç'est exactement le même discours que dans le film deux jours a tué : aller jusqu'à se faire haïr pour que l'on ne manque pas aux autres pour qu'ils arrivent a se débrouiller tout seul lorsque l'on ne sera plus la, une vision que je n'avais pas trop apprécié dans le film deux jours a tuer et donc pareil dans se film. a un moment un pote du père veut fait manger delicatement un crabe avec un couteau a la file pour la beauté, la précision du geste mais non le père sort De ses gonds en voyant cela et il fait comprendre a sa fille qu'il faut être un animal! pour vivre il faut être sauvage! déchiqueter le crabe puis le gober goulument...mouais. alors vu que c'est un film bah tout se passe bien le petite elle aime a fond son papa malgré qu'il soit froid alcoolique, violent et qu'elle a pas de mere. malgrès ça dans le film elle reste gentille et ne se plain de rien, la pauvreté la précarité la mort la violence, l'alcoolisme, l'abandon d'une mère' tout est poétique grâce a une belle musique et de jolie images et donc peu de réalisme. dans la vraie vie je crois( en Exagèrant un peu) qu'elle prendrait un colt pour tuer son père et deviendrait une sacré peste au caractère de merde incontrôlablenqui en ferait qu'a sa tête!car son père ne la traite pas a vivre comme un humain mais comme un animal!
Si Huckleberry Finn avait poursuivi son voyage, nul doute que c'est là, dans le Bayou du Grand Bassin qu'il aurait trouvé le paradis, mais comme Mark Twain a préféré la notoriété aux palétuviers, c'est une petite black, Hushpuppy, qui, 130 ans plus tard, raconte la suite. Tandis que son père chasse la tempête à coups de fusil dans la nuit orageuse, le spleen à coups de bourbon dans sa gorge poreuse et le cancer à coups de gueule dans la nature spongieuse, Hushpuppy, six ans, des bottes en caoutchouc trop grandes et le front buté des enfants bios élevés en liberté, s'invente le retour des Aurochs libérés par la fonte des glaces, esprits vengeurs d'une nature rebelle aux hommes, forces chamaniques impitoyables et démesurées dont la fillette aura bien besoin pour survivre au milieu des zombies asociaux quoique affectueux qui l'entourent. [...] La suite te d'autres ctritiques absurdes sur http://ad-absurdum.eklablog.net/les-betes-du-sud-sauvage-a65155823?logouthttp://ad-absurdum.eklablog.net/les-betes-du-sud-sauvage-a65155823?logout [...] Mais qui donc nous sortira de ce bourbier existentiel dont les marécages de la Louisiane ne sont que le symbole visqueux et malodorant ? Les enfants bien sûr ! Qui d'autre ? Nous sommes aux States, que diable ! Gloire soit rendue à la sagesse et la lucidité des rejetons, dont l'innocence et la vitalité sont les seuls remparts efficaces contre la pulsion auto-destructrice post adolescence selon Walt Disney et les autres nobelisables de l'infantilisme transgénérationnel. Ah, rester enfant ! En conserver la force, l'utopisme, la pureté et les dents de lait ! Le rêve de tout un peuple drapé dans ses rayures et ses étoiles comme dans le pyjama d'un enchanteur. Un rêve si facile à réaliser si seulement ces gens consentaient à mourir tôt au lieu de vouloir en plus vivre vieux, poussant ainsi le paradoxe du jeunisme au bord de l'indécence gérontophile. Un phénomène qui n'épargne personne. Même Sundance, le festival de cinéma indépendant le plus intelligent à l'ouest de la statue de la Liberté selon Télérama et la serveuse de la Charcuterie du Cimetière**, se doit, de Little Miss Daisy à celui-ci, de couronner des films dont le héros est une enfant. [...] La suite te d'autres ctritiques absurdes sur http://ad-absurdum.eklablog.net/les-betes-du-sud-sauvage-a65155823?logouthttp://ad-absurdum.eklablog.net/les-betes-du-sud-sauvage-a65155823?logout [...]
trés trés mitigé sur ce film,certe le réalisateur est tout jeune et il me semble bien que sa soit sa premiere derriere la caméra,le résultat s'en trouve trés moyen,il film manque de maitrise et ça va un peu dans tout les sens,la performance de la jeune actrice est forcément a souligné mais ça ne fais pas tout.
Précédé d'un jolie réputation et du pub croissante à son égard, je me dis que la chance m'a donné le droit d'apercevoir ce joyau. (Merci UGC)
Suite aux premières images, j'hésite entre le sud des États-Unis ou l'Afrique du Sud. L'accent donnant favori pour les USA mais le décor pour un morceau d'Afrique reculé, presque imaginaire. Et cela n'est pas anodin. Car ce film est une ode à la vie et à la nature. Une odyssée que devra réaliser la petite Q.Wallis. Une grande toute petite qui tient le film sur ses épaules menus. Son innocence, sa candeur, sa peine...Elle transmet tout. Elle nous ensorcelle dans ce voyage contre le déluge qui approche.
Le film semble osciller entre fantastique et réalisme sociale. Mais la magie du cinéma prend le pas, notamment avec les aurochs, et le but n'est pas là. C'est un voyage initiatique que le père, D.Henry fait passer à sa fille. Comme The Impossible, l'eau va tout ravager pour faire grandir l'enfant qui subi la Nature contre laquelle on ne peut pas se battre (même si là, les Hommes sont aussi responsables).
La poésie, la justesse et le réalisme des acteurs donne un vrai sens au film et nous envoie, pendant un temps, dans la fiction, la vraie, celle qui transporte, nous procure de l'émotion et nous touche. Fort, poétique et magique sont les mots pouvant définir cette pépite.
Déjà les films caméra à l’épaule, j’ai du mal à supporter. Ici la caméra bouge, bouge, bouge tout le temps. Mal de mer assuré en peu de temps. Quand en plus, les défauts des films amateurs (mise au point lente et difficile, éblouissement dû au contre-jour, trucages même pas au niveau de la série Z des power rangers) sont recherchés exprès, je reste perplexe. Cela apporte quoi que la forme soit mal fichue ? Quant au fond et bien il est resté incompréhensible pour moi. Du grand n’importe quoi à l’image des baraques des protagonistes : crado, fouillis et insensé. Enfin, le personnage du père qui veut élever sa fille à la dure (interdit de pleurer !) et bien cela a fonctionné super bien sur moi : j’ai gardé l’œil sec jusqu’au bout (alors que j’ai la larme facile), même quand le père meurt. J’ai atteint le degré zéro émotion. Bravo pour cet exploit ! Dommage que c’était un peu long. Quand on regarde sa montre ce n’est pas bon signe.
Il est fort probable que nous revoyions dans le futur cette formidable petite actrice dont nous avons assisté ici à la naissance.
Pour le reste, le film est souvent maladroit (la métaphore des cochons :-/), et le cinéaste se regardant trop filmer : son chef d'œuvre manque carrément de modestie ! Quant au style "caméra a l'épaule", nauséeux s'abstenir.
Donc globalement c'est très moyen et surtout très surcoté.
Tout ça pour ça !!!! Encore un film dont je ne comprends pas l'engouement, je crois qu'on nous livre tellement de choses similaires ces derniers temps, que la moindre originalité est sur-notée comme pas possible... Suite aux critiques, je m'apprêtais à voir un très bon film, au lieu de ça je tombe sur cette histoire qui n'a rien d'extraordinaire. "Les bêtes du sud sauvage" est cucul comme pas possible, les lignes de narration mignonnes façon Walt Disney pour 8-10 ans, whaaa c'est beau... La gamine m'a épuisé pendant une heure trente avec ses mimiques agaçantes, c'est un film gentillet, ni plus ni moins. Le scénario est ultra-simple, le cadrage j'aurais pu le faire moi-même entre deux sandwichs, la prestation de la petite (même si elle m'a insupporté) reste bonne pour une enfant de 6 ans sans pour autant mériter une nomination aux Oscars, on aperçoit une ou deux jolies scènes et la musique colle bien à l'univers, voilà tout. Maintenant, comme le font tout au long du film les vétérans du village, je vais aller boire un coup pour oublier cette déception.
"Le film bête du sud sauvage"... Décidément le festival de Sundance n'est plus ce qu'il était! les pépites comme "clerks" ou "Little miss sunshine" qui faisaient preuve d'humour, de subtilité, d'humilité...c'est loin tout ça! Ce film "les bêtes du sud sauvage", comment dire... une caricature du Bayou! A la vue du film, on se dit que le réalisateur doit mieux connaitre New-York que la Louisiane et vérification faite, Benh Zeitlin est effectivement originaire de la "grosse pomme"! Ce film, calculateur et prétentieux, dégouline de bons sentiments et de messages socio-démagos plutôt douteux... La jeune actrice est surement jolie et douée mais les mimiques et les postures qu'on lui fait prendre ainsi que les dialogues faussement naïfs et faussement enfantins qui lui sont rattachés lui enlèvent toute spontanéité et crédibilité... En plus de cela, la lenteur et le manque de cohérence dans sa construction ne font qu'alourdir cette oeuvre indigeste...aussi indigeste et soporifique que le plus mauvais numéro de "Thalassa"... Certains ont adoré la musique? C'est surement parce qu'ils ignorent l'existence de Sufjan Stevens car nous ne sommes pas très loin du plagiat... Alors, vous qui lisez cette critique, pour une fois, évitez (comme moi) de vous fier à celles des critiques professionnels, vous éviterez d'être embarqué dans un naufrage nauséabond! En tous cas, on pourra souligner l'avènement de Benh Zeitlin, un sacré manipulateur...
De belles images pour un hymne à la nature et un conte réaliste tellement bien mené par la petite Quvenzhané Wallis ! La musique est belle mais la caméra épaule gâche le plaisir.
Malgré une réalisation maladroite et un propos plutôt racoleur et démagogique, on parvient à s'intéresser et s'émouvoir de ce moment de vie dans les bassins de la Nouvelle-Orléans avant, pendant et après l'Ouragan Kathrina. Un hymne à la nature et à la vie plutôt original.
Très bon film, je lui met une bonne note. Première réalisation réussie pour Benh Zeitlin. Un film américain comme ils en produisent rarement. quasiment tout est filmé en caméra à l'épaule. L'histoire est profonde et le misérabilisme est absent. une vrai histoire vivante et touchante. Rapport au père, rapport à la mère, rapport à sa terre ... beaucoup de thème dans les principes de mises en scène qui donne au film le statut de grand.
"Je ne suis qu'une toute petite partie de l'univers", voilà qui résume bien le film. Un conte ancré dans la vie réelle. Situé dans les bassins de la Nouvelle Orléans avant et pendant l'ouragan Katrina, ce film émerveille par la fluidité et la simplicité de son histoire vue a travers les yeux d'une fillette noire de 6 ans, Hushpuppies. Simplicité ne veut pas dire facilité tant les thèmes abordés ici sont riches et multiples : la place qu'on occupe dans l'univers, la misère, l'alcoolisme, la transmission et l'héritage de valeurs simples mais fondatrices, l'amour filial, la recherche d'une maman disparue, l'attachement à une terre pourtant hostile mais où on se sent libre et qu'on ne veut pas quitter car on y est chez soi malgré la difficulté d'y survivre... Oui les thématiques sont nombreuses et ce film fait réfléchir et on n'en sort pas indemne. Les 2 acteurs principaux, amateurs pourtant, sont magnifiques de justesse et on suit leurs pérégrinations avec parfois un sourire, parfois une larme mais toujours avec de l'émotion. 4/5
Je savais pas qu'on en faisait encore des comme ça...
HYPNOTIQUE, c'est le mot qui s'applique a ce film ainsi qu'aux performances de Q. Wallis et D. Henry, acteurs amateurs n'en étant qu'à leur premier film