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    Les Bêtes du sud sauvage
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    448 critiques spectateurs

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    tilo83
    tilo83

    23 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 août 2014
    Désolé, mais je n'ai trouvé aucun intérêt à ce film. 2h à attendre en se disant que s'il est si bien noté, c'est la suite va forcement être fantastique, mais finalement non, c'est bien une arnaque, il ne se passe rien, les aurochs ne sont au final que des figurants dans cette bouse qui n'aurait jamais du sortir de son bayou...
    Petit-doigt
    Petit-doigt

    27 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 janvier 2013
    Affreux, sale, bête et... Niais. Une apologie de la fange, de la misère morale et de la bêtise crasse. Jugez plutôt la vision humaniste de ce bobo new-yorkais alter-mondialiste: il était une fois au Sud de la Louisiane sur une île dévastés par une tempête une petite noire et son père ivrogne qui vivaient dans des cabanes pourries, parmi leurs animaux et leurs immondices mais tout cela est naturelle et charmant puisque tout comme les bêtes nous sommes fait de chair comme l'a dit si bien la femme-chaman du village, d'ailleurs elle aurait pu dire "nous sommes merde et nous retournerons à la merde" que cela n'aurait fondamentalement rien changé à la vision qui transcende ce film... Bref un cataclysme déboule à cause de la fonte des pôles, la sempiternelle faute des hommes civilisés qui retombe sur les plus démunis, les innocents, les bons sauvages..attendez, démunis d'accord mais surtout con comme leurs pieds, vu qu'ils s'obstinent à vivre dans une zone dangereuse depuis longtemps évacuée. Enfin, passons, prouvant que n'avoir rien dans le ciboulot n'empêche de se montrer fier et vindicatif, le bande de sauvages va faire sauter la digue qui protège les hommes civilisés, ces salauds arrogants et matérialistes qui, comble de l'irrespect, osent essayer de leur venir en aide, alors l’alcoolo de père, à présent mourant, trouve les dernières forces pour arracher aux griffes du centre de secours sa fille que les blancs bigots tentait de scolariser, pardon de pervertir, alors qu'il avait probablement de grand projet pour son avenir comme lui apprendre à marcher à quatre pattes et à détecter à l'odeur les meilleurs coin à truffes du delta, j'imagine. On dirait un catalogue clichés racistes mais comme d'hab' dans ce cas de figure l'alibi consiste à accompagner le tout de blancs tout aussi tarés. Et puis pour enjoliver cette bouillasse infâme on a la petite fille, si mignonne, si paumée et si attendrissante dans sa stupidité de gamine... Je hais le chantage affectif et ça ne m'atteint pas. En tout cas j'ai tout compris de l'idéologie primitiviste nauséabonde que ce bobo-anarchiste-écolo tente de nous fourguer et c'est un rejet complet, beurk!
    LALALALALERE
    LALALALALERE

    17 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 décembre 2012
    Prétentieuse nullité.
    Ce film hautement ridicule aux images qui se ressemblent toutes, dans lequel on ne comprend rien, cumule faussement, avec un certain air de ne pas y toucher complètement hypocrite, les sommets de la bêtise. Pour dire, il y a un mec sur un bateau qui collectionne les emballages de hamburgers parce que ça lui rappelle qui il est quand il les a mangés!!!!
    Il existe des critiques qui ont comparé ce... ce quoi d'ailleurs?!!! à du Malick. Autant comparer une bouse de vache à du Rembrandt.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 mars 2013
    C’est un déluge de critique plus qu’élogieuses qui a plu ces dernières semaines sur Les Bêtes du Sud Sauvage, et on ne peut en effet qu’admirer les nombreuses réussites de ce premier film, une Quvenzhané Wallis (Hushpuppy) prodigieuse, pleine de malice, d’innocence enfantine (sur laquelle le film insiste un peu trop toutefois) face au monde qu’elle voit disparaître, le Bayou, emporté par un déluge, à celui qu’elle découvre, le monde dit moderne et évidemment dans la lutte face à ses peurs, personnalisée par des auroch, et la maladie de son père.

    De même il est évident que le talent de Ben Richardson, le chef operateur, et celui de mise en scène de Benh Zeitlin nous offrent des images magnifiques, des joyeux bordels de marginaux du Bayou qui explosent de joie de vivre aux scènes contemplatives post-apocalyptiques marécageuses et dégoulinantes. Le film joue énormément sur cette alternance entre apocalypses et quotidien, c’est ainsi que le réalisateur traite son travail sur la résistance : Hushpuppy est confrontée à cette alternance et doit subir ces apocalypses des degrés divers (la grande fête d’ouverture, l’incendie, la maladie de son père, le déluge, le départ forcé…) entrecoupés de scènes des plus communes (elle va à « l’école », prépare à manger, apprend à pêcher…). C’est aussi la résistance d’une communauté, qui préfère mourir au Bayou que vivre de l’autre coté, qui tentera tout pour garder leur « coin de paradis » en putréfaction, « home ». Cette recherche sur la résistance à deux niveaux baigne toutefois dans un onirisme voyant, palpable. Tout comme la voix off peut être pleine de sensibilité, le réalisateur joue trop sur son coté enfantin pour se justifier et l’utilise parfois de manière bancale, avec des phrases « marrantes » de description du monde moderne par une enfant qui ne l’a jamais connu, « ici quand les gens sont malades, on les accroche au mur » pour parler de la perfusion. Ca ne marche que parce que cela sort de la bouche d’une enfant.

    Alors que le travail de mise en scène est assez formidable et parvient souvent à ses fins, une musique héroïque et pompière a été ajoutée, ce qui brise instantanément la finesse de l’image, mais le réalisateur ne peut s’en prendre qu’à lui même, il est aussi le compositeur. On se demande beaucoup où veut en venir le réalisateur, après avoir créé un univers avec beaucoup de talent, que nous dit il de plus ? Entre les aurochs et leur personnalisation des peurs de Hushpuppy et la quête d’une mère morte ou disparue, en passant par un questionnement du spectateur sur l’éducation, le film brasse beaucoup de sujets plus ou moins sensibles mais ne délivre que peu de pistes d’interprétations.

    Les références y sont nombreuses, de Malick à la mythologie grecque, le réalisateur nous délivre un film bouillonnant d’idées et de plaisir du cinéma, souvent sensible, mais qui rate tout de même ses effets par trop de surenchère et nous laisse sur notre faim.

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    Juan 75
    Juan 75

    59 abonnés 366 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 décembre 2012
    Les critiques professionnels ont du trouver ce film terriblement Original. Faussement misérabiliste et bêtement poétique, je l'ai trouvé d'un ennui à périr ! Un film de festival dans le pire sens du terme qui nous fait prendre des vessies pour des lanternes.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 août 2013
    Que dire, si ce n'est le meilleur film que j'ai vu depuis "Melancholia".
    Ce n'est pas un film parfait (les chefs d'œuvre, à part ceux de Kubrick, ne le sont jamais : "Melancholia" ne l'est pas plus que "Mulholland Drive"… ou que ce film)
    C'est parfois surjoué (certains rôles secondaires)
    Le propos est parfois trop appuyé.
    Et alors ? Puisqu'il y la poésie, l'originalité, la beauté, des personnages forts et attachants, une histoire qui se tient et traitée comme une fable à la vie et à la nature (comme j’écris des fables, je sais que le principe est justement de grossir le trait), à la fois l’humour, la violence, le pathétique.
    Je viens de le revoir, cette fois en DVD et en VO, ce qui me confirme que c’est une œuvre complexe et riche, et que parfois en première vision, on ne saisit pas tout des détails car c’est un film très dense et surtout, malgré les annonces que c’est un film différent, on reste surpris et estomaqué tout au long.
    Certes, les acteurs principaux, la petite fille, Quvenzhané Wallis, et son père, Dwight Henry, sont fabuleux, mais leur jeu est magnifié par la manière : la petite fille est à la fois le personnage central, celle qui tient les dialogues, mais aussi celle qui pense en voix off, celle qui décrit en voix off, celle qui ne comprend pas non plus les adultes, et son père, et ce monde.
    C’est un film du cœur pour le cœur des humains, ce discours me touche, devrait tous nous toucher parce que ces catastrophes, n’est-ce pas notre propre avenir ? Et l’humanité est toujours aussi amorphe à réagir à la pire menace qui pèse sur elle.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 décembre 2012
    Encensé par la critique et récompensé au Sundance Film Festival, ce film partait avec un a priori favorable. Las, il se révèle être un ofni (objet filmique non identifié) filmé à la va comme je te pousse par un réalisateur new-yorkais (donc forcément bobo) qui mélange allègrement misérabilisme, catastrophisme, sociologie à deux balles et conte de fée ! Au final, un long métrage long, très long, au cadrage cahotique, et terriblement ennuyeux...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 juin 2013
    De la scène d'intro à la dernière image ce film est un chez-d'oeuvre du cinéma !

    Tout est parfait !

    Pour commencer le scénario et les dialogues (vu en VO, je ne peux pas vous dire pour la VF) sont très bien écrits . On nous parle des conséquences du réchauffement climatique mais sans nous faire la morale ni nous faire peur en nous montrant un futur apocalyptique. Tout est suggéré, tout est bien amené et je ne suis pas d'accord avec les personnes voyant une morale Riche = méchant pauvre = gentil dans ce film, ce n'est pas du tout le propos. C'est une histoire de personnes ne voulant pas suivre le troupeau et se battant pour rester ensemble là où elles se sentent bien. C'est l'histoire d'un père célibataire faisant ce qu'il peut pour assurer un avenir à sa fille. C'est l'histoire d'une fille voulant se battre pour protéger ceux qu'elle aime. Ce sont de belles histoires !

    J'en profite pour revenir aussi sur les effets spéciaux, certes ce n'est pas les vengeurs mais heureusement ! Ils collent parfaitement et ne sont pas là pour nous en mettre plein la vu. Pas besoin ! C'est comme si l'on reprochait à M. Gondry de faire des décors loufoques et des effets visuels originaux... Inimaginable !

    Les acteurs sont plus que bons, ils vivent vraiment leurs rôles et nous embarquent sans problème dans leur monde ! Certes Jennifer Lawrence incarne bien son rôle dans Happiness Therapy mais Quvenzhané Wallis méritait largement l'oscar !

    Et pour finir la musique, juste grandiose ! Elle nous berce du début à la fin du film et colle parfaitement ! Et nous ramène dans le film même plusieurs mois après.

    A regarder et à regarder de nouveau !
    plp56
    plp56

    2 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 juin 2013
    Je n'ai rien mais absolument rien compris !!!! Je ne comprends donc pas l'engouement...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 décembre 2012
    Ça m'apprendra à foncer les yeux fermés malgré
    un 4/5 des téléspectateurs :( j'ai quand-même tenu 40min car ma copine s'était endormie et je n'osais pas la réveiller mais j'ai craqué :)
    misterkaplan
    misterkaplan

    8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 janvier 2013
    "Le film bête du sud sauvage"... Décidément le festival de Sundance n'est plus ce qu'il était! les pépites comme "clerks" ou "Little miss sunshine" qui faisaient preuve d'humour, de subtilité, d'humilité...c'est loin tout ça!
    Ce film "les bêtes du sud sauvage", comment dire... une caricature du Bayou!
    A la vue du film, on se dit que le réalisateur doit mieux connaitre New-York que la Louisiane et vérification faite, Benh Zeitlin est effectivement originaire de la "grosse pomme"!
    Ce film, calculateur et prétentieux, dégouline de bons sentiments et de messages socio-démagos plutôt douteux...
    La jeune actrice est surement jolie et douée mais les mimiques et les postures qu'on lui fait prendre ainsi que les dialogues faussement naïfs et faussement enfantins qui lui sont rattachés lui enlèvent toute spontanéité et crédibilité...
    En plus de cela, la lenteur et le manque de cohérence dans sa construction ne font qu'alourdir cette oeuvre indigeste...aussi indigeste et soporifique que le plus mauvais numéro de "Thalassa"...
    Certains ont adoré la musique? C'est surement parce qu'ils ignorent l'existence de Sufjan Stevens car nous ne sommes pas très loin du plagiat...
    Alors, vous qui lisez cette critique, pour une fois, évitez (comme moi) de vous fier à celles des critiques professionnels, vous éviterez d'être embarqué dans un naufrage nauséabond!
    En tous cas, on pourra souligner l'avènement de Benh Zeitlin, un sacré manipulateur...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 décembre 2012
    Effectivement, tout ce que l'on a dit sur "Les bêtes du sud sauvage" était vrai. C'est bel et bien l'histoire que l'on attendait depuis très longtemps et le meilleur film de l'année. Habité par une envie bouillonnante, quasiment organique du cinéma, ce film offre tout, arrache tout et emporte tout sur son passage. C'est épique, puissant, touchant, ça frappe, ça mord, ça bouscule et longtemps après on y repense, on y songe et l'on se répète qu'il était une fois une Hushpuppy et qu'elle vivait avec son père dans le bassin. Bien au-delà de la performance de l'actrice et de sa réputation formatée, emballée qui a séduit tout un chacun dans les festivals, c'est tout le projet en lui-même, tout le collectif, toute cette aventure qui atteint une justesse rarement égalé. Pour ma part, c'est définitivement tout ce que j'aime. Et quelque part, le cinéma, c'est aussi ça. Une conjugaison de talent, partant en guerre contre la bienséance et les clichés pour offrir le meilleur. Un très grand film.
    BabsyDriver
    BabsyDriver

    80 abonnés 817 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 août 2013
    Comme l'annonçait si bien l'une des affiches du film, tout ce que vous avez pu entendre sur "Les Bêtes du Sud Sauvage" est bel et bien vrai ! D'une peinture a priori apocalyptique, Benh Zeitlin tire un film chargé d'espoir sur un monde à reconstruire, comme si Hayao Miyazaki avait emménagé en Louisiane. Un premier film fort, féroce et somptueux.
    matt240490
    matt240490

    83 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mars 2013
    Film méconnu mais qui sorti de l'ombre le jour où il fut nominé à l'Oscar du meilleur film et à l'Oscar de la meilleure actrice pour Quvenzhané Wallis, Les Bêtes du Sud Sauvage possède autant de bons que de mauvais côtés. Ainsi, en dépit de la prestation impressionnante de la jeune actrice, de son montage sonore qui lui donne des ailes ou du jeu d'acteur de Dwight Henry, la mise en scène trop chancelante, le manque de cohésion entre quelques axes qui se suivent ou son incapacité à nous émerveiller sont autant de déceptions qui enlèvent un certain charme, charme que l'on souhaitait subir au vu des recommandations.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 décembre 2012
    C'est une blague ou quoi? L'inculture srait descendue si loin dans le néant que ce film passerait ainsi pour un chef d'oeuvre? Je rève... Ce fiml incarne le vide parfait, il ne se passe rien, aucune histoire, aucune psychologie, aucune poésie, aucun acteur... Je repars voir un Kurosawa, un Tati ou un Bergman...
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