Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Trop policé et cul-serré pour donner vie à ses personnages (...) et trop timide dans sa mise en scène pour éblouir, Studio 54 n'est qu'un divertissement sympathique mais sans conséquence. Pour l'éloge de la nuit festive, on repassera...
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Gilles Médioni
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Réalisé par un tâcheron, Studio 54 égrène tous les clichés - drogue, éphèbes, travestis, orgies. Seule l'interprétation étonnante de Mike Myers (Austin Powers) en Steve Rubell, célèbre patron de la boîte, présente un intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Eric Leguèbe
Traité à la manière de La Fièvre du samedi soir, Studio 54 est un pèlerinage forcé pour ceux qui avaient 20 ans il y a vingt ans. Ryan Philippe tient fort bien le rôle du Rastignac disco.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Brigitte Hernandez
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
par Eric Dahan
Manque l'esprit, qui traversait La Fièvre du Samedi Soir : cette innocence de la transgression, ce sentiment d'urgence incroyablement érogène qui saisissait en entrant dans ces clubs, gays avant tout.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gilles Verdiani
La version Disney de Boogie Nights (...). La grosse différence, c'est le manque d'audace dans la mise en scène - ou peut-être le manque de moyens.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cinopsis.com
par Eric Van Cutsem
L'aspect trop polissé du film n'est hélas pas sauvé par un très bon Mike Myers, pour une fois un peu plus loin de ses rôles délirants d'Austin Powers (...)
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Obs
par François Forestier
Cocaïne, musique débile et personnages affligeants : franchement, on s'en fout complètement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Louis Guichard
(...) mollesse, fadeur et sages délayages musicaux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Trop policé et cul-serré pour donner vie à ses personnages (...) et trop timide dans sa mise en scène pour éblouir, Studio 54 n'est qu'un divertissement sympathique mais sans conséquence. Pour l'éloge de la nuit festive, on repassera...
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Réalisé par un tâcheron, Studio 54 égrène tous les clichés - drogue, éphèbes, travestis, orgies. Seule l'interprétation étonnante de Mike Myers (Austin Powers) en Steve Rubell, célèbre patron de la boîte, présente un intérêt.
Le Parisien
Traité à la manière de La Fièvre du samedi soir, Studio 54 est un pèlerinage forcé pour ceux qui avaient 20 ans il y a vingt ans. Ryan Philippe tient fort bien le rôle du Rastignac disco.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Manque l'esprit, qui traversait La Fièvre du Samedi Soir : cette innocence de la transgression, ce sentiment d'urgence incroyablement érogène qui saisissait en entrant dans ces clubs, gays avant tout.
Première
La version Disney de Boogie Nights (...). La grosse différence, c'est le manque d'audace dans la mise en scène - ou peut-être le manque de moyens.
Cinopsis.com
L'aspect trop polissé du film n'est hélas pas sauvé par un très bon Mike Myers, pour une fois un peu plus loin de ses rôles délirants d'Austin Powers (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Cocaïne, musique débile et personnages affligeants : franchement, on s'en fout complètement.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
(...) mollesse, fadeur et sages délayages musicaux.