A travers les branches d'un arbre : Critique presse
A travers les branches d'un arbre
Note moyenne
1,7
7 titres de presse
L'Humanité
Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
Le Monde
Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
On pense à ces films déambulatoires et déclamatoires des années 1970, voire à certains Godard, Suisse oblige. (...) La balade pourrait même être plaisante si toute cette littérature poétisante ne parasitait pas le réel. Trop de mots.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Isabelle Fargette
Une méditation solitaire et poétique sur le passage de l'enfance à l'âge adulte. Inégal, parfois répétitif, mais attachant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Marginale dans sa forme, parfois poétique, cette errance absconse dans les pas d'un jeune homme à la folie douce souffre malheureusement d'une interprétation forcée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
par Jean-François Rauger
"A travers les branches d'un arbre" est une sorte de film d'art ou d'artiste, une rêverie adolescente (...) Bref, sans doute, une des choses les plus difficiles à réussir au cinéma sans succomber à une forme d'afféterie et éviter un flot de banalités. Ce qui n'est pas le cas ici.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Scénario absent, interminables logorrhées, acteurs en dérive et mise en scène au hasard pour un cinéma poseur et conceptuel.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Mathilde Blottière
Jeu artificiel, soliloques pénibles... Comment ne pas songer aux cruelles parodies de cinéma d'auteur dont Les Inconnus nous ont longtemps régalés ? On a beau se garder de tout anti-intellectualisme poujado, il faut reconnaître que Daniel Duqué y prête le flanc.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
On pense à ces films déambulatoires et déclamatoires des années 1970, voire à certains Godard, Suisse oblige. (...) La balade pourrait même être plaisante si toute cette littérature poétisante ne parasitait pas le réel. Trop de mots.
Le Figaroscope
Une méditation solitaire et poétique sur le passage de l'enfance à l'âge adulte. Inégal, parfois répétitif, mais attachant.
Les Fiches du Cinéma
Marginale dans sa forme, parfois poétique, cette errance absconse dans les pas d'un jeune homme à la folie douce souffre malheureusement d'une interprétation forcée.
Le Monde
"A travers les branches d'un arbre" est une sorte de film d'art ou d'artiste, une rêverie adolescente (...) Bref, sans doute, une des choses les plus difficiles à réussir au cinéma sans succomber à une forme d'afféterie et éviter un flot de banalités. Ce qui n'est pas le cas ici.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Scénario absent, interminables logorrhées, acteurs en dérive et mise en scène au hasard pour un cinéma poseur et conceptuel.
Télérama
Jeu artificiel, soliloques pénibles... Comment ne pas songer aux cruelles parodies de cinéma d'auteur dont Les Inconnus nous ont longtemps régalés ? On a beau se garder de tout anti-intellectualisme poujado, il faut reconnaître que Daniel Duqué y prête le flanc.