L'Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet : Critique presse
L'Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet
Note moyenne
3,2
26 titres de presse
Le Figaroscope
Marianne
Positif
Elle
L'Obs
La Croix
Le Parisien
Le Point
Mad Movies
Ouest France
TF1 News
TéléCinéObs
Télérama
L'Express
Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Première
Studio Ciné Live
CinemaTeaser
Ecran Large
Le Monde
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Libération
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
Jean-Pierre Jeunet rêve l’Amérique en grand et raconte la fabuleuse aventure d’un petit génie de 10 ans.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Marianne
par Danièle Heymann
[Jean-Pierre Jeunet] utilise la 3D avec une efficacité et une subtilité bienfaisantes et permet la découverte de Kyle Catlett, interprète idéal de T.S. (...) énergie sensible et toupet d'enfer.
Positif
par Philippe Rouyer
Jeunet prend un plaisir fou à réinventer son cinéma dans une Amérique fantasmatique (...) Kyle Catlett [est] surprenant de justesse et de maturité (...)
Elle
par Françoise Delbecq
Dans l'art des petits bidouillages au charme insensé, Jean-Pierre Jeunet est champion. (...) L'Amérique profonde est belle, les couleurs vives à dominante rouge, vert et jaune nous rappellent les tableaux de Hopper.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le père d'Amélie Poulain apparaît calmé, lui qui appartenait plutôt à cette famille de cinéastes qui choisissent de monter sept plans quand à d'autres un seul suffit. Sa méthode était probablement la bonne, (...). Il est pourtant permis de lui préférer celle-ci, qui laisse aux personnages, un gamin inventeur génial (...), le temps d'exister.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Réussite esthétique, le film de Jeunet multiplie les prouesses visuelles (...)
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Enfin une belle 3D qui sert une belle histoire !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Jamais mièvre, il réussit presque toujours à doser le bon cocktail, entre ses tics et l'errance poétique de cet enfant perdu qui en fera rêver beaucoup d'autres.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Mad Movies
par Cédric Delelée
On baigne (...) dans un réalisme magique où les fantômes sont source de réconfort, le tout magnifié par la beauté renversante des grands espaces américains que le réalisateur se plaît à filmer comme une terre inviolée.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Ouest France
par La Rédaction
On retrouve d'image en image la patte du cinéaste. Une recherche subtile de la couleur, entre nostalgie et féérie, et des décors nourris de trouvailles et d'accessoires. Avec la technique de la 3 D, sollicitée comme rarement pour nous embarquer dans un imaginaire de tous les instants.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
TF1 News
par Olivier Corriez
Un film plein de charme, à la fois amusant, passionnant et émouvant, qui se déroule à la vitesse d'un train qui traverse les Etats-Unis, tout en douceur, empreint d'une certaine mélancolie, laissant le spectateur profiter des magnifiques paysages.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Fable picaresque, tendre et cruelle, aussi colorée que mélancolique. (...) "T.S. Spivet" nous rappelle que le cinéma de Jeunet est capable d'une grâce et d'une poésie qu'on ne lui soupçonnait plus.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Le voyage est tout à la fois exaltant et mélancolique. La tristesse y affleure, la fantaisie s'y invite. Le ton est grave et léger. Mais c'est bien ça que raconte Jeunet ici : l'étrangeté des êtres, des choses de la vie. Et des inventeurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Christophe Carrière
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le père d'"Amélie Poulain" prend davantage son temps, rendant le voyage en train un peu long, mais réussit à faire monter l'émotion aux larmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Jean-Pierre Jeunet réussit son pari visuel et livre un film ludique et parfois touchant, dont l'intérêt tient davantage aux acteurs qu'à l'intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Luc Chessel
Ce parfait rétrolibéralisme a pour seul mérite de faire revenir à nous l’actrice Judy Davis, astre névrotique des années 90.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
(...) les ressorts dramatiques sont comme cassés par la lourde machinerie mise en place et par une voix-off redondante. Le coeur de l'histoire - son rapport au deuil et à la complexité des liens filiaux -, ne bat que par intermittence.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Ambitieux mais handicapé par un traitement bancal.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Christopher Foltzer
Beaucoup trop “safe” et politiquement correct pour embarquer le spectateur dans cette quête initiatique qui ne prend jamais à bras le corps son véritable sujet (le deuil et la culpabilité). Reste un emballage formel de qualité et quelques trop rares moments d’émotion. C’est mince.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un film en 3D certes agréable à regarder, mais purement cosmétique, sans enjeu véritable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Trop court, sans grande péripétie, le périple déçoit. (…) la dernière partie (…) s’installe dans la facilité d’écriture à l’américaine, avec une série de rebondissements tire-larme et des caricatures injustifiées (…).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
On pensait que Jean-Pierre Jeunet ne pouvait pas tomber plus bas qu’avec Micmacs à tire-larigots, et, bonne nouvelle, on avait raison. La mauvaise nouvelle : il n’est pas remonté très haut.
Critikat.com
par Louis Blanchot
Jeunet pense délirer l’extravagance du monde dans le creux de sa main, mais n’enfante en vérité qu’un parc d’attractions affectif ultra-volontariste, avec ce sens de la supercherie ignoble consistant à refourguer son onirisme d’exposition universelle au prix d’un rêve d’enfant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Didier Péron
Un insupportable gamin à gifler qu’évidemment personne ne comprend et qui trimbale un lourd fardeau de culpabilité. (...) On ne sait pas très bien ce qui a passionné Jean-Pierre Jeunet dans le livre à succès de Reif Larsen - le succès, peut-être.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaroscope
Jean-Pierre Jeunet rêve l’Amérique en grand et raconte la fabuleuse aventure d’un petit génie de 10 ans.
Marianne
[Jean-Pierre Jeunet] utilise la 3D avec une efficacité et une subtilité bienfaisantes et permet la découverte de Kyle Catlett, interprète idéal de T.S. (...) énergie sensible et toupet d'enfer.
Positif
Jeunet prend un plaisir fou à réinventer son cinéma dans une Amérique fantasmatique (...) Kyle Catlett [est] surprenant de justesse et de maturité (...)
Elle
Dans l'art des petits bidouillages au charme insensé, Jean-Pierre Jeunet est champion. (...) L'Amérique profonde est belle, les couleurs vives à dominante rouge, vert et jaune nous rappellent les tableaux de Hopper.
L'Obs
Le père d'Amélie Poulain apparaît calmé, lui qui appartenait plutôt à cette famille de cinéastes qui choisissent de monter sept plans quand à d'autres un seul suffit. Sa méthode était probablement la bonne, (...). Il est pourtant permis de lui préférer celle-ci, qui laisse aux personnages, un gamin inventeur génial (...), le temps d'exister.
La Croix
Réussite esthétique, le film de Jeunet multiplie les prouesses visuelles (...)
Le Parisien
Enfin une belle 3D qui sert une belle histoire !
Le Point
Jamais mièvre, il réussit presque toujours à doser le bon cocktail, entre ses tics et l'errance poétique de cet enfant perdu qui en fera rêver beaucoup d'autres.
Mad Movies
On baigne (...) dans un réalisme magique où les fantômes sont source de réconfort, le tout magnifié par la beauté renversante des grands espaces américains que le réalisateur se plaît à filmer comme une terre inviolée.
Ouest France
On retrouve d'image en image la patte du cinéaste. Une recherche subtile de la couleur, entre nostalgie et féérie, et des décors nourris de trouvailles et d'accessoires. Avec la technique de la 3 D, sollicitée comme rarement pour nous embarquer dans un imaginaire de tous les instants.
TF1 News
Un film plein de charme, à la fois amusant, passionnant et émouvant, qui se déroule à la vitesse d'un train qui traverse les Etats-Unis, tout en douceur, empreint d'une certaine mélancolie, laissant le spectateur profiter des magnifiques paysages.
TéléCinéObs
Fable picaresque, tendre et cruelle, aussi colorée que mélancolique. (...) "T.S. Spivet" nous rappelle que le cinéma de Jeunet est capable d'une grâce et d'une poésie qu'on ne lui soupçonnait plus.
Télérama
Le voyage est tout à la fois exaltant et mélancolique. La tristesse y affleure, la fantaisie s'y invite. Le ton est grave et léger. Mais c'est bien ça que raconte Jeunet ici : l'étrangeté des êtres, des choses de la vie. Et des inventeurs.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
Le père d'"Amélie Poulain" prend davantage son temps, rendant le voyage en train un peu long, mais réussit à faire monter l'émotion aux larmes.
Les Fiches du Cinéma
Jean-Pierre Jeunet réussit son pari visuel et livre un film ludique et parfois touchant, dont l'intérêt tient davantage aux acteurs qu'à l'intrigue.
Les Inrockuptibles
Ce parfait rétrolibéralisme a pour seul mérite de faire revenir à nous l’actrice Judy Davis, astre névrotique des années 90.
Première
(...) les ressorts dramatiques sont comme cassés par la lourde machinerie mise en place et par une voix-off redondante. Le coeur de l'histoire - son rapport au deuil et à la complexité des liens filiaux -, ne bat que par intermittence.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
CinemaTeaser
Ambitieux mais handicapé par un traitement bancal.
Ecran Large
Beaucoup trop “safe” et politiquement correct pour embarquer le spectateur dans cette quête initiatique qui ne prend jamais à bras le corps son véritable sujet (le deuil et la culpabilité). Reste un emballage formel de qualité et quelques trop rares moments d’émotion. C’est mince.
Le Monde
Un film en 3D certes agréable à regarder, mais purement cosmétique, sans enjeu véritable.
aVoir-aLire.com
Trop court, sans grande péripétie, le périple déçoit. (…) la dernière partie (…) s’installe dans la facilité d’écriture à l’américaine, avec une série de rebondissements tire-larme et des caricatures injustifiées (…).
Cahiers du Cinéma
On pensait que Jean-Pierre Jeunet ne pouvait pas tomber plus bas qu’avec Micmacs à tire-larigots, et, bonne nouvelle, on avait raison. La mauvaise nouvelle : il n’est pas remonté très haut.
Critikat.com
Jeunet pense délirer l’extravagance du monde dans le creux de sa main, mais n’enfante en vérité qu’un parc d’attractions affectif ultra-volontariste, avec ce sens de la supercherie ignoble consistant à refourguer son onirisme d’exposition universelle au prix d’un rêve d’enfant.
Libération
Un insupportable gamin à gifler qu’évidemment personne ne comprend et qui trimbale un lourd fardeau de culpabilité. (...) On ne sait pas très bien ce qui a passionné Jean-Pierre Jeunet dans le livre à succès de Reif Larsen - le succès, peut-être.