Avis : Elle est trop bien - Page 3

En 1998, les teen movies ne sont plus vraiment à la mode, après que John Hughes aie quelque peu arrêté d’en faire. Cependant, un projet inspiré du Pygmalion de George Bernard Shaw en relança la mode.

Ce projet, c’est évidemment Elle est trop bien, au casting bourré à craquer de futures (ex)stars du cinéma ou de la chanson, parodié en long, en large et en travers dans le très drôle Not Another Teen Movie. Elle est trop bien est en tout cas un film qui a bien su cibler son public : le film est réservé aux clients des teen movies romantiques, un peu niais mais furieusement drôle, tout en restant dans les sillons du genre. La première heure est presque originale, avec des rebondissements plutôt bien vus et quelques idées de mise en scène qu’on n’a pas l’habitude de retrouver dans ce genre de film : par exemple, quand Jodi Lyn O’Keefe raconte son histoire à Freddy Prinze Jr., les deux acteurs se retrouvent immergés dans le souvenir de celle-ci. Ce genre d’effet est éventé dans certains films, mais assez inattendu ici. Robert Iscove y inclut même une scène de danse pendant la prom night tout aussi inattendue mais tout aussi réussie. Et si le spectateur est attentif, il peut y voir dans les coins de l’écran des personnages présents dans d’autres scènes, sur cette même séquence de la prom night, ce qui est aussi un point à signaler.

L’interprétation est excellente, la mise en scène originale (Robert Iscove se montre même habile sur les scènes de soccer)… Que demandez de plus à un teen movie qui s’appelle She’s All That ?

Durant des années, j'ai vu la K7 sur l'étagère du vidéo club, je ne saurais dire pourquoi j'étais si attirée. Peut-être par la présence de jaune. En tous les cas, j'ai toujours voulu découvrir ce film sans savoir de quoi il traitait, ni même le casting. Aujourd'hui, le vidéo club a fermé mais j'ai tout de même pu découvrir ce film dont je n'attendais pas grand chose. Comédie pour pré-ados américains classique. Il n'y a pas grand chose de neuf, une jeune fille impopulaire va devenir la coqueluche du lycée grâce à un pari, mais le protagoniste va en tomber amoureux... Ce qui était intéressant dans ce film, c'était de découvrir au fur et à mesure le casting avec des "ah !", "oh !", "Mais oui je le connais !" pour un Paul Walker, une Sarah Michelle Gellar ou encore un Kieran Culkin. Même si le film n'est pas très original, j'ai passé un bon moment devant ce film.

Petit film bien sympatique à l'ambiance estudiantine "Elle est trop bien" vous procurera un très bon moment.

Une comédie sentimentale classique, très orientée teen-ager. C'est sympa, ça se laisse regarder, ça nous fait retomber en adolescence, c'est mignon tout plein, même si très prévisible.

Un énième teenmovie... mais qui bizzarement est l'un des meilleurs de ces dix dernières années.
Rien de bien original, on a droit aux clichés habituels et la mise en scène est du à un technicien sans génie mais assez solide pour gérer les starlettes et petites vedettes du film. Le film est une comédie sentimentale sympa qui aurait gagné à moins de mièvrerie vers la fin.
Gros bonus pour Rachel Leigh Cook sublimissime.

Le réalisateur Robert Iscove parvient à nous séduire et à nous amuser. Cela est essentiellement dû à ses comédiens, Freddie Prinze Jr et Matthew Lillard entre autre, qui utilisent leur talents avec une habileté certaine et ce sans jamais se prendre la tête.
On passe donc un moment très agréable avec cette petite comédie jamais vulgaire drôle et fraîche...

petit teen movie sympathique bien que l'acteur feddie prince est quant meme mauvais et pas expressif pour un sous, reste l'actrice principale qui s'en sort bien. Sinon je met 2 etoiles car l'ensemble se laisse regarder et l'humour n'est pas potache

Comédie romantique attachante, surtout grâce au personnage de Rachel Leigh Cook, que l'on voit baladée dans tous les sens.
Dans le même veine des comédies romantiques pour ado comme 10 things I hate about you, avec une bande son typique des années 90s

Un film très banal sans réel interêt. C'est le genre de teen movie basique, ça fait le meme sentiment que de manger un sandwich au pain. Bref c'est sans prétention de toutes manières, c'est rempli de clichés, de bal de fin d'année de joueurs de football beaux gosses et de scènes supers drôles (il mange une pizza au poil de couille! wouhou !). Donc ce film est à visionner soit par erreur soit pour faire plaisir à sa bien aimée ou petite soeur.

Basique, banal et le scénario est vraiment nul. Mais c'est distrayant.

Une des première crétinerie pour adolescents. Au menu : acteurs trentenaires peu crédibles en préadultes, scénario à l'eau de rose et humour ras des paquerettes. Ames sensées passez votre chemin.

Cette comédie ciblée "ados" n'est pas inoubliable mais néanmoins fait passer un bon moment. On est quand même loin de modèles du genre comme "Can't Buy me Love" (1988, avec Patrick Dempsey) et "Soul Man" (1986, avec C. Thomas Howell) sur le même thème mais un cran au-dessus.
Quant à la métamorphose physique de l'héroïne, je suis toujours stupéfait de ce que l'on peut faire subir à une belle actrice pour la rendre laide (cf. Julia Ormond dans le "Sabrina" de Sydney Pollack) : c'est une fois de plus une réussite car Rachel LEIGH COOK est vraiment repoussante au début du film et "à craquer" à la fin !
En conclusion, ce film ne mérite pas que l'on paye sa place pour aller le voir : il devrait directement passer à la télé... A propos de télé, on peut trouver dans ce film un motif de satisfaction : une satire des émissions télés américaines incroyablement réaliste.

De toutes les bluettes romantico-estudiantines, ce n'est pas la pire... Bon, il est vrai que le pari au départ n'était pas risqué puisque Rachel Leigh Cook est jolie derrière ses grosses lunettes fumées. Donc puisque la fin est déjà ultra téléphoné et que le principe du film n'est pas "les chirurgiens de l'espoir", on échappe pas aux clichés de ce genre de film comme la danse commune (à croire que tous les élèves sortent de "Fame"), des bons voire des très bons sentiments (Aller au delà de l'apparence) ou encore du super héros lycéen qui finalement, daigne replonger dans le monde des petites gens. Le dernier cliché pour la forme est le père du héros ultra compréhensif... Une vie rêvée ! Soyons sport, cela dit ! La fin nous épargne d'autres clichés... Comme le baiser final sous un tonnerre d'applaudissement. Ouf !

c est LE film qu il vous faut voir à l'age de 12 ans pendant une de vos soirées pijama. Sinon ça ne fonctionne pas

Le "Teenage Movie" Américain dans toute sa splendeur. C'est souvent la même histoire : Le mec populaire du lycée se retrouve à invité le laideron intellectuel de service (Qui se révèle être une bombe comme par magie !) pour le bal de promo de fin d'année. Ça transpire la guimauve et le stéréotypé du début à la fin et c'est surtout globalement insupportable. A réserver exclusivement aux amateurs du genre !