Kedach ethabni (How big is your love) : Critique presse
Kedach ethabni (How big is your love)
Note moyenne
2,2
5 titres de presse
Studio Ciné Live
Télérama
Les Fiches du Cinéma
Première
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Studio Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Nicolas Didier
Il y a bien quelques faiblesses, côté interprétation, mais elles n'entament en rien la force du propos. Ni la sincérité de la réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Astrid Jansen
Un film joli et touchant, mais également un peu fourre-tout, auquel il manque avant tout une ambition un peu plus consistante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Frédéric Foubert
Drame sensible tourné à hauteur d'enfant, ce film souffre d'un gros problème : ses enjeux narratifs sont si ténus qu'ils n'offrent au spectateur aucune aspérité à laquelle se raccrocher. La gentillesse du propos, elle, est tout simplement désarmante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Isabelle Regnie
On imagine que la réalisatrice a cherché à dénoncer la violence symbolique de la société patriarcale, les ravages des non-dits qu'elle induit, mais elle le fait de manière bien trop timide, trop sage, sans jamais appuyer où cela fait mal (...). On sort de ce film dérouté par tant de vide, comme après un passage dans le coma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
Télérama
Il y a bien quelques faiblesses, côté interprétation, mais elles n'entament en rien la force du propos. Ni la sincérité de la réalisatrice.
Les Fiches du Cinéma
Un film joli et touchant, mais également un peu fourre-tout, auquel il manque avant tout une ambition un peu plus consistante.
Première
Drame sensible tourné à hauteur d'enfant, ce film souffre d'un gros problème : ses enjeux narratifs sont si ténus qu'ils n'offrent au spectateur aucune aspérité à laquelle se raccrocher. La gentillesse du propos, elle, est tout simplement désarmante.
Le Monde
On imagine que la réalisatrice a cherché à dénoncer la violence symbolique de la société patriarcale, les ravages des non-dits qu'elle induit, mais elle le fait de manière bien trop timide, trop sage, sans jamais appuyer où cela fait mal (...). On sort de ce film dérouté par tant de vide, comme après un passage dans le coma.