Note moyenne
3,1
36 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

36 critiques presse

Culturopoing.com

par Vincent Nicolet

Ce voyage sentimental, onirique et habité, sombre et lumineux, glauque et poétique constitue une adaptation remarquable et possiblement le meilleur film de son auteur. Il se pose tout du moins comme le plus sensible, le plus beau, le plus déchirant.

La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

Konbini

par Flavio Sillitti

En choisissant la beauté, l'onirisme et la romance pour adapter les écrits de William S. Burroughs, Luca Guadagnino s'autorise la liberté la plus totale et révèle avec générosité la part la plus inavouable du célèbre auteur : celle de la lumière. Dans "Queer", loin du biopic ou de l'adaptation scolaire, tout est un poème.

Public

par Sarah Lévy-Laithier

Un hommage formidable à la Beat Generation.

Bande à part

par Olivier Bombarda

On pensait que Luca Guadagnino ne ferait pas mieux ni plus émouvant que "Call Me by Your Name". C’est pourtant chose faite avec son nouveau film, "Queer".

La critique complète est disponible sur le site Bande à part

CinemaTeaser

par Renan Cros

Toujours au bord du ridicule, radical par son récit maigre, Queer fascine par l’ambivalence de ses images.

La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

Dernières Nouvelles d'Alsace

par Nathalie Chifflet

Queer n’est pas un film sur l’homosexualité et ses transgressions, ni une ordinaire romance. C’est un récit incandescent où le désir est une fièvre et la solitude un poison. Luca Guadagnino, en adaptant William S. Burroughs, ne cherche ni l’édulcoration ni la complaisance. Il épouse le trouble du récit, en une œuvre viscérale magistrale.

Ecran Large

par Alexandre Janowiak

Capturant la solitude et les regrets de toute une vie à travers un voyage psychédélique entre désir, addiction et désespoir, Queer est peut-être le meilleur film de Luca Guadagnino.

La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

Franceinfo Culture

par Jacky Bornet

Si l'image charme d'emblée, le charisme de Daniel Craig en alter-ego de William Burroughs fait le reste, comme un guide au cœur d'un monde interlope qui devient autant le sujet du film que l'intrigue émotionnelle.

La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

La Septième Obsession

par David Ezan

Sans céder à la facilité, Guadagnino n’a recours qu’à la mise en scène ; à la lumière, au son, au mouvement. À une forme d’abstraction encore jamais vue chez lui, qui réaffirme le cinéma comme un art ludique où peuvent – et doivent – cohabiter tout à la fois le mainstream et l’expérimental. À une forme revêche et chaotique, une forme qui impose son propre langage – l’écrivain déchu ne faisait pas autre chose dans ses livres. « Une porte s’est ouverte », nous dit-on. Voilà sans doute, au fond, ce que le film a de plus queer.

Le Dauphiné Libéré

par Nathalie Chifflet

Daniel Craig joue, en état second et en état de grâce. Il incarne Lee avec une intensité brute, animale, hallucinée. Il étonne dans le jeu de ce personnage hors normes, par son regard fiévreux, ses gestes hésitants, son corps perdu.

Le Monde

par Boris Bastide

Adaptation d’un roman de William S. Burroughs, le film est d’une extrême fidélité à son matériau original pour les deux premiers tiers, puis en étoffe considérablement la dernière partie, située au cœur de l’Amazonie.

La critique complète est disponible sur le site Le Monde

Les Fiches du Cinéma

par Michael Ghennam

Luca Guadagnino se frotte à la prose de Burroughs, pour un film qui, non sans humour, suinte la mélancolie et ne cesse de convoquer des fantômes.

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Marie Claire

par Pauline Weiss

Un voyage qu'apprécieront tous.tes les admirateurs.rices de Craig et de Guadagnino.

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Sud Ouest

par Julien Rousset

La forme très stylisée, artificielle, de Queer correspond à la psyché de Lee, obsédé par le paraître. Et elle n’est pas désincarnée. Luca Guadagnino montre à nouveau sa science des corps, son attention à la sensualité. Il signe le portrait poignant d’un réprouvé venu chercher, dans un ailleurs de carton-pâte, une illusion de liberté.

Télérama

par Louis Guichard

POUR : La parade amoureuse entre l’homme mûr et le nouveau venu farouche recèle autant de suspense que de sensualité et offre à l’ancien interprète de James Bond une partition idéale pour tourner la page : il se livre à la fois essoré et émancipé.

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Abus de Ciné

par Olivier Bachelard

Une recherche de liens portée par un formidable Daniel Craig.

La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné

Cahiers du Cinéma

par Pierre Eugène

L’adaptation rétro du roman autobiographique de Burroughs lorgne moins vers le Festin nu viscéral et marrant de Cronenberg que vers des artifices du Querelle de Fassbinder : fétiches […], déambulations dans des maquettes grandeur nature et chromos orange de couchers de soleil – le poisseux en moins. 

Critikat.com

par Jean-Sébastien Massart

Queer se situe aux antipodes de l’esthétique un peu précieuse de Call Me by Your Name, comme si Guadagnino affrontait, à l’instar de son personnage, la vérité crue de son désir.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

L'Humanité

par Eléonore Houée

L’étendue de son talent s’appuie sur le jeu grimaçant de Daniel Craig, à la fois torride et frêle, le front constamment en sueur. Et son rire permanent provoque autant le malaise que la fascination, parfois l’ennui et l’exaspération, à l’image de Queer.

La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

Le Journal du Dimanche

par Stéphanie Belpêche

S'il souffre de longueurs et déroute par ses parenthèses oniriques surréalistes, le récit, toujours sur le fil, déborde d'idées de mise en scène, et Luca Guadagnino filme le corps masculin comme personne.

Le Parisien

par Renaud Baronian

Reste maintenant aux spectateurs à se faire une opinion. Si on n’a guère de doutes sur le fait qu’ils apprécieront la prestation ahurissante et courageuse de Daniel Craig, on est plus nuancés sur ce qu’ils pourront penser de ce long-métrage hors norme : sublimement filmé, « Queer » s’embourbe par moments dans de longs tunnels bizarres et délirants qui confèrent au non-sens.

La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

Le Point

par La Rédaction

Dommage que la deuxième partie, où le héros part en quête d'hallucinogènes dans la forêt amazonienne, se perde dans le psychédélisme… Reste que le film vaut la peine, surtout pour son portrait vertigineux d'un « baron de Charlus » ressemblant étrangement à James Bond.

La critique complète est disponible sur le site Le Point

Rolling Stone

par Sophie Rosemont

Profitant d’un scénario audacieux, à la fois cruel et contemplatif, cosigné avec Justin Kuritzkes, Queer bénéficie d’une épatante performance de Daniel Craig. Transpirant, souvent ivre, héroïnomane sans cesse guetté par le manque, l’acteur britannique renonce au sex-appeal de James Bond et donne à voir un Burroughs dans toute sa pathétique quête d’amour.

La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone

L'Obs

par Nicolas Schaller

La prose obsessionnelle du poète beat, Guadagnino la traduit en lubricité poseuse qui rend interminable la stagnante première moitié, malgré un Daniel Craig bluffant.

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La Tribune Dimanche

par Aurélien Cabrol

En trois chapitres d'une qualité inégale, le film parvient cependant à restituer une ambiance qui oscille entre humour assumé et mélancolie profonde.

La critique complète est disponible sur le site La Tribune Dimanche

Les Inrockuptibles

par Jacky Goldberg

Adaptation du roman de William S. Burroughs, le film de Luca Guadagnino brille par son esthétique soignée mais peine à capturer la brutalité et la noirceur du texte original. Le film s’égare dans un vernis chic qui l’anesthésie.

La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

Libération

par Luc Chessel

Le cinéaste italien rate son adaptation du trip à l’ayahuasca autobiographique de William S. Burroughs, transformant l’inspiration clinique de l’auteur en imageries glamours.

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Nice-Matin

par Cédric Coppola

Théorique, « Queer » ne parvient que rarement à faire vibrer le lien entre ces deux hommes perdus, rejetés par un monde qui les étouffe.

Ouest France

par Thierry Chèze

Convaincante dans son entame et dans sa dernière ligne droite virant au trip hallucinogène, cette adaptation de William Burroughs signée Luca Guadagnino souffre hélas d’un ventre mou qui gâche le plaisir.

Paris Match

par Fabrice Leclerc

L'imagerie queer est à la limite du mauvais goût, son film au-delà du prétentieux, sorte de Fassbinder du pauvre.

Première

par Lucie Chiquer

Dans la première partie, les deux protagonistes antipathiques se tournent autour dans un décor artificiel qui les transforme en figurines - bien qu’admirablement incarnées par un Daniel Craig troublant de langueur et le magnétique Drew Starkey. La deuxième se perd dans les méandres de l’addiction de Lee jusqu’à en éclipser l’amour désynchronisé que partagent les deux hommes.

La critique complète est disponible sur le site Première

Télé 2 semaines

par Margot Loisel

Dommage, cette histoire [...] s'embourbe dans la fantasmagorie et l'abstraction.

Télé 7 Jours

par Laurent Djian

La mise en scène, pourtant d'une beauté fracassante, par moments lynchienne, ne masque pas le vide d'une intrigue sentimentale torturée, doublée d'une interminable quête existentielle.

Télérama

par Marie Sauvion

CONTRE : Seulement, une fois acté qu’il s’agit d’un film d’amour sans retour, Queer s’éternise, s’englue dans de saoulantes scènes d’ivresse.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

aVoir-aLire.com

par Laurent Cambon

Bien loin du si subtil « Call Me by your Name », le nouveau film de Luca Guadagnino s’enfonce de nouveau dans une forme d’imposture cinématographique. Une vraie déception pour les fans du réalisateur.

La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

Le Figaro

par Eric Neuhoff

L’ex-James Bond perd de sa superbe en Américain venu se perdre dans un Mexique interlope. Il ne sauvera pas le film du surestimé Luca Guadagnino (...).

La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
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