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Ce voyage sentimental, onirique et habité, sombre et lumineux, glauque et poétique constitue une adaptation remarquable et possiblement le meilleur film de son auteur. Il se pose tout du moins comme le plus sensible, le plus beau, le plus déchirant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
En choisissant la beauté, l'onirisme et la romance pour adapter les écrits de William S. Burroughs, Luca Guadagnino s'autorise la liberté la plus totale et révèle avec générosité la part la plus inavouable du célèbre auteur : celle de la lumière. Dans "Queer", loin du biopic ou de l'adaptation scolaire, tout est un poème.
On pensait que Luca Guadagnino ne ferait pas mieux ni plus émouvant que "Call Me by Your Name". C’est pourtant chose faite avec son nouveau film, "Queer".
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Queer n’est pas un film sur l’homosexualité et ses transgressions, ni une ordinaire romance. C’est un récit incandescent où le désir est une fièvre et la solitude un poison. Luca Guadagnino, en adaptant William S. Burroughs, ne cherche ni l’édulcoration ni la complaisance. Il épouse le trouble du récit, en une œuvre viscérale magistrale.
Capturant la solitude et les regrets de toute une vie à travers un voyage psychédélique entre désir, addiction et désespoir, Queer est peut-être le meilleur film de Luca Guadagnino.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Si l'image charme d'emblée, le charisme de Daniel Craig en alter-ego de William Burroughs fait le reste, comme un guide au cœur d'un monde interlope qui devient autant le sujet du film que l'intrigue émotionnelle.
Sans céder à la facilité, Guadagnino n’a recours qu’à la mise en scène ; à la lumière, au son, au mouvement. À une forme d’abstraction encore jamais vue chez lui, qui réaffirme le cinéma comme un art ludique où peuvent – et doivent – cohabiter tout à la fois le mainstream et l’expérimental. À une forme revêche et chaotique, une forme qui impose son propre langage – l’écrivain déchu ne faisait pas autre chose dans ses livres. « Une porte s’est ouverte », nous dit-on. Voilà sans doute, au fond, ce que le film a de plus queer.
Daniel Craig joue, en état second et en état de grâce. Il incarne Lee avec une intensité brute, animale, hallucinée. Il étonne dans le jeu de ce personnage hors normes, par son regard fiévreux, ses gestes hésitants, son corps perdu.
Adaptation d’un roman de William S. Burroughs, le film est d’une extrême fidélité à son matériau original pour les deux premiers tiers, puis en étoffe considérablement la dernière partie, située au cœur de l’Amazonie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La forme très stylisée, artificielle, de Queer correspond à la psyché de Lee, obsédé par le paraître. Et elle n’est pas désincarnée. Luca Guadagnino montre à nouveau sa science des corps, son attention à la sensualité. Il signe le portrait poignant d’un réprouvé venu chercher, dans un ailleurs de carton-pâte, une illusion de liberté.
POUR : La parade amoureuse entre l’homme mûr et le nouveau venu farouche recèle autant de suspense que de sensualité et offre à l’ancien interprète de James Bond une partition idéale pour tourner la page : il se livre à la fois essoré et émancipé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L’adaptation rétro du roman autobiographique de Burroughs lorgne moins vers le Festin nu viscéral et marrant de Cronenberg que vers des artifices du Querelle de Fassbinder : fétiches […], déambulations dans des maquettes grandeur nature et chromos orange de couchers de soleil – le poisseux en moins.
Queer se situe aux antipodes de l’esthétique un peu précieuse de Call Me by Your Name, comme si Guadagnino affrontait, à l’instar de son personnage, la vérité crue de son désir.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L’étendue de son talent s’appuie sur le jeu grimaçant de Daniel Craig, à la fois torride et frêle, le front constamment en sueur. Et son rire permanent provoque autant le malaise que la fascination, parfois l’ennui et l’exaspération, à l’image de Queer.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
S'il souffre de longueurs et déroute par ses parenthèses oniriques surréalistes, le récit, toujours sur le fil, déborde d'idées de mise en scène, et Luca Guadagnino filme le corps masculin comme personne.
Reste maintenant aux spectateurs à se faire une opinion. Si on n’a guère de doutes sur le fait qu’ils apprécieront la prestation ahurissante et courageuse de Daniel Craig, on est plus nuancés sur ce qu’ils pourront penser de ce long-métrage hors norme : sublimement filmé, « Queer » s’embourbe par moments dans de longs tunnels bizarres et délirants qui confèrent au non-sens.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Dommage que la deuxième partie, où le héros part en quête d'hallucinogènes dans la forêt amazonienne, se perde dans le psychédélisme… Reste que le film vaut la peine, surtout pour son portrait vertigineux d'un « baron de Charlus » ressemblant étrangement à James Bond.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Profitant d’un scénario audacieux, à la fois cruel et contemplatif, cosigné avec Justin Kuritzkes, Queer bénéficie d’une épatante performance de Daniel Craig. Transpirant, souvent ivre, héroïnomane sans cesse guetté par le manque, l’acteur britannique renonce au sex-appeal de James Bond et donne à voir un Burroughs dans toute sa pathétique quête d’amour.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
La prose obsessionnelle du poète beat, Guadagnino la traduit en lubricité poseuse qui rend interminable la stagnante première moitié, malgré un Daniel Craig bluffant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Adaptation du roman de William S. Burroughs, le film de Luca Guadagnino brille par son esthétique soignée mais peine à capturer la brutalité et la noirceur du texte original. Le film s’égare dans un vernis chic qui l’anesthésie.
Le cinéaste italien rate son adaptation du trip à l’ayahuasca autobiographique de William S. Burroughs, transformant l’inspiration clinique de l’auteur en imageries glamours.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Convaincante dans son entame et dans sa dernière ligne droite virant au trip hallucinogène, cette adaptation de William Burroughs signée Luca Guadagnino souffre hélas d’un ventre mou qui gâche le plaisir.
Dans la première partie, les deux protagonistes antipathiques se tournent autour dans un décor artificiel qui les transforme en figurines - bien qu’admirablement incarnées par un Daniel Craig troublant de langueur et le magnétique Drew Starkey. La deuxième se perd dans les méandres de l’addiction de Lee jusqu’à en éclipser l’amour désynchronisé que partagent les deux hommes.
La critique complète est disponible sur le site Première
La mise en scène, pourtant d'une beauté fracassante, par moments lynchienne, ne masque pas le vide d'une intrigue sentimentale torturée, doublée d'une interminable quête existentielle.
Bien loin du si subtil « Call Me by your Name », le nouveau film de Luca Guadagnino s’enfonce de nouveau dans une forme d’imposture cinématographique. Une vraie déception pour les fans du réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L’ex-James Bond perd de sa superbe en Américain venu se perdre dans un Mexique interlope. Il ne sauvera pas le film du surestimé Luca Guadagnino (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Culturopoing.com
Ce voyage sentimental, onirique et habité, sombre et lumineux, glauque et poétique constitue une adaptation remarquable et possiblement le meilleur film de son auteur. Il se pose tout du moins comme le plus sensible, le plus beau, le plus déchirant.
Konbini
En choisissant la beauté, l'onirisme et la romance pour adapter les écrits de William S. Burroughs, Luca Guadagnino s'autorise la liberté la plus totale et révèle avec générosité la part la plus inavouable du célèbre auteur : celle de la lumière. Dans "Queer", loin du biopic ou de l'adaptation scolaire, tout est un poème.
Public
Un hommage formidable à la Beat Generation.
Bande à part
On pensait que Luca Guadagnino ne ferait pas mieux ni plus émouvant que "Call Me by Your Name". C’est pourtant chose faite avec son nouveau film, "Queer".
CinemaTeaser
Toujours au bord du ridicule, radical par son récit maigre, Queer fascine par l’ambivalence de ses images.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Queer n’est pas un film sur l’homosexualité et ses transgressions, ni une ordinaire romance. C’est un récit incandescent où le désir est une fièvre et la solitude un poison. Luca Guadagnino, en adaptant William S. Burroughs, ne cherche ni l’édulcoration ni la complaisance. Il épouse le trouble du récit, en une œuvre viscérale magistrale.
Ecran Large
Capturant la solitude et les regrets de toute une vie à travers un voyage psychédélique entre désir, addiction et désespoir, Queer est peut-être le meilleur film de Luca Guadagnino.
Franceinfo Culture
Si l'image charme d'emblée, le charisme de Daniel Craig en alter-ego de William Burroughs fait le reste, comme un guide au cœur d'un monde interlope qui devient autant le sujet du film que l'intrigue émotionnelle.
La Septième Obsession
Sans céder à la facilité, Guadagnino n’a recours qu’à la mise en scène ; à la lumière, au son, au mouvement. À une forme d’abstraction encore jamais vue chez lui, qui réaffirme le cinéma comme un art ludique où peuvent – et doivent – cohabiter tout à la fois le mainstream et l’expérimental. À une forme revêche et chaotique, une forme qui impose son propre langage – l’écrivain déchu ne faisait pas autre chose dans ses livres. « Une porte s’est ouverte », nous dit-on. Voilà sans doute, au fond, ce que le film a de plus queer.
Le Dauphiné Libéré
Daniel Craig joue, en état second et en état de grâce. Il incarne Lee avec une intensité brute, animale, hallucinée. Il étonne dans le jeu de ce personnage hors normes, par son regard fiévreux, ses gestes hésitants, son corps perdu.
Le Monde
Adaptation d’un roman de William S. Burroughs, le film est d’une extrême fidélité à son matériau original pour les deux premiers tiers, puis en étoffe considérablement la dernière partie, située au cœur de l’Amazonie.
Les Fiches du Cinéma
Luca Guadagnino se frotte à la prose de Burroughs, pour un film qui, non sans humour, suinte la mélancolie et ne cesse de convoquer des fantômes.
Marie Claire
Un voyage qu'apprécieront tous.tes les admirateurs.rices de Craig et de Guadagnino.
Sud Ouest
La forme très stylisée, artificielle, de Queer correspond à la psyché de Lee, obsédé par le paraître. Et elle n’est pas désincarnée. Luca Guadagnino montre à nouveau sa science des corps, son attention à la sensualité. Il signe le portrait poignant d’un réprouvé venu chercher, dans un ailleurs de carton-pâte, une illusion de liberté.
Télérama
POUR : La parade amoureuse entre l’homme mûr et le nouveau venu farouche recèle autant de suspense que de sensualité et offre à l’ancien interprète de James Bond une partition idéale pour tourner la page : il se livre à la fois essoré et émancipé.
Abus de Ciné
Une recherche de liens portée par un formidable Daniel Craig.
Cahiers du Cinéma
L’adaptation rétro du roman autobiographique de Burroughs lorgne moins vers le Festin nu viscéral et marrant de Cronenberg que vers des artifices du Querelle de Fassbinder : fétiches […], déambulations dans des maquettes grandeur nature et chromos orange de couchers de soleil – le poisseux en moins.
Critikat.com
Queer se situe aux antipodes de l’esthétique un peu précieuse de Call Me by Your Name, comme si Guadagnino affrontait, à l’instar de son personnage, la vérité crue de son désir.
L'Humanité
L’étendue de son talent s’appuie sur le jeu grimaçant de Daniel Craig, à la fois torride et frêle, le front constamment en sueur. Et son rire permanent provoque autant le malaise que la fascination, parfois l’ennui et l’exaspération, à l’image de Queer.
Le Journal du Dimanche
S'il souffre de longueurs et déroute par ses parenthèses oniriques surréalistes, le récit, toujours sur le fil, déborde d'idées de mise en scène, et Luca Guadagnino filme le corps masculin comme personne.
Le Parisien
Reste maintenant aux spectateurs à se faire une opinion. Si on n’a guère de doutes sur le fait qu’ils apprécieront la prestation ahurissante et courageuse de Daniel Craig, on est plus nuancés sur ce qu’ils pourront penser de ce long-métrage hors norme : sublimement filmé, « Queer » s’embourbe par moments dans de longs tunnels bizarres et délirants qui confèrent au non-sens.
Le Point
Dommage que la deuxième partie, où le héros part en quête d'hallucinogènes dans la forêt amazonienne, se perde dans le psychédélisme… Reste que le film vaut la peine, surtout pour son portrait vertigineux d'un « baron de Charlus » ressemblant étrangement à James Bond.
Rolling Stone
Profitant d’un scénario audacieux, à la fois cruel et contemplatif, cosigné avec Justin Kuritzkes, Queer bénéficie d’une épatante performance de Daniel Craig. Transpirant, souvent ivre, héroïnomane sans cesse guetté par le manque, l’acteur britannique renonce au sex-appeal de James Bond et donne à voir un Burroughs dans toute sa pathétique quête d’amour.
L'Obs
La prose obsessionnelle du poète beat, Guadagnino la traduit en lubricité poseuse qui rend interminable la stagnante première moitié, malgré un Daniel Craig bluffant.
La Tribune Dimanche
En trois chapitres d'une qualité inégale, le film parvient cependant à restituer une ambiance qui oscille entre humour assumé et mélancolie profonde.
Les Inrockuptibles
Adaptation du roman de William S. Burroughs, le film de Luca Guadagnino brille par son esthétique soignée mais peine à capturer la brutalité et la noirceur du texte original. Le film s’égare dans un vernis chic qui l’anesthésie.
Libération
Le cinéaste italien rate son adaptation du trip à l’ayahuasca autobiographique de William S. Burroughs, transformant l’inspiration clinique de l’auteur en imageries glamours.
Nice-Matin
Théorique, « Queer » ne parvient que rarement à faire vibrer le lien entre ces deux hommes perdus, rejetés par un monde qui les étouffe.
Ouest France
Convaincante dans son entame et dans sa dernière ligne droite virant au trip hallucinogène, cette adaptation de William Burroughs signée Luca Guadagnino souffre hélas d’un ventre mou qui gâche le plaisir.
Paris Match
L'imagerie queer est à la limite du mauvais goût, son film au-delà du prétentieux, sorte de Fassbinder du pauvre.
Première
Dans la première partie, les deux protagonistes antipathiques se tournent autour dans un décor artificiel qui les transforme en figurines - bien qu’admirablement incarnées par un Daniel Craig troublant de langueur et le magnétique Drew Starkey. La deuxième se perd dans les méandres de l’addiction de Lee jusqu’à en éclipser l’amour désynchronisé que partagent les deux hommes.
Télé 2 semaines
Dommage, cette histoire [...] s'embourbe dans la fantasmagorie et l'abstraction.
Télé 7 Jours
La mise en scène, pourtant d'une beauté fracassante, par moments lynchienne, ne masque pas le vide d'une intrigue sentimentale torturée, doublée d'une interminable quête existentielle.
Télérama
CONTRE : Seulement, une fois acté qu’il s’agit d’un film d’amour sans retour, Queer s’éternise, s’englue dans de saoulantes scènes d’ivresse.
aVoir-aLire.com
Bien loin du si subtil « Call Me by your Name », le nouveau film de Luca Guadagnino s’enfonce de nouveau dans une forme d’imposture cinématographique. Une vraie déception pour les fans du réalisateur.
Le Figaro
L’ex-James Bond perd de sa superbe en Américain venu se perdre dans un Mexique interlope. Il ne sauvera pas le film du surestimé Luca Guadagnino (...).