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selenie
6 228 abonnés
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2,0
Publiée le 17 août 2017
Le projet serait venu du duo de scénaristes auxquels on doit pourtant le scénario du film "2 Fast 2 Furious" (2003). Disons surtout que surfer sur les cartons successifs de la dite saga donnent des idées surtout quand les scénaristes se trouvent comme producteur Pierre Morel, issu de l'écurie Luc Besson, réalisateur bourrin de 4 films à oublier. Une équipe qui voit le potentiel pas bien loin en se disant qu'on embaucherait bien en tête d'affiche un certain Scott Eastwood ! Ce dernier fils de, qui a débuté laborieusement dans des films de papa n'a pas encore connu les joies d'être tête d'affiche, a un nom prestigieux et surtout vient d'apparaitre dans... "Fast and Furious 8" (2017) ! La boucle est bouclée ! Site : Selenie
Des voitures sublimes, des acteurs et des actrices avec de "belles gueules" (Scott Eastwood (fils de Clint), Ana de Armas...), des paysages superbes du sud de la France et pas mal de rythme et d'action : tous les ingrédients semblent réunis pour passer un super moment de détente cinématographique. Le souci majeur est qu'au niveau scénario, ce n'est vraiment pas très original (pour ceux qui ont vu "60 secondes chrono" sorti en 2000 par exemple). Et l'intrigue est plutôt pauvre, voire improbable par moments ! Mais bon, lorsque l'on va voir ce type de film dans un état d'esprit léger et à la recherche d'un divertissement facile (ce qui était mon cas), l'objectif de se distraire pendant 1h36 est atteint. Je reste donc complaisant et accorde finalement une petite moyenne à cette oeuvre qui s'oubliera très vite. --> Site CINEMADOURG
Overdrive est ce que l’on pouvait attendre d’une production française qui tente de copier le cinéma hollywoodien, c’est-à-dire, un beau navet. Un étrange mélange entre 60 secondes chronos, la saga des Ocean’s et bien sûr avec une grosse dose de Fast And Furious. Ce film est tout bonnement une copie au rabais de la saga Fast And Furious, ou même un film discount et qui est en plus soldé à 50 %. Le scénario est risible, il y a un manque flagrant d’explications utiles à la fin et les scènes d’action ou de poursuite sont ridicule. Avec cette copie au rabais, on se retrouve avec une réalisation médiocre, et un casting qui suit cette longue pente descendante vers l’enfer. De ce casting, ce n’est uniquement Ana de Armas et Gaia Weiss qui s’en sortent réellement, car du côté des méchants, les acteurs ne sont pas convaincants et du côté du duo Scott Eastwood/Freddie Thorp, on a l’impression de voir le concours de l’acteur le moins crédible et ayant le moins de charisme possible. Un film qui nécessite de tellement mettre le cerveau en veille que c’est limite le coma.
Ce sont surtout les voitures de collection qui m'ont poussée à visionner ce film. Ce sont elles les véritables vedettes de ce film, sympathique au demeurant, mais un peu banal. Les acteurs ne sont pas mauvais, mais dans ce genre de scénario j'ai déjà vu mieux. Par contre toute cette collection de vieux modèles de voitures de sport m'ont fait rêver !
Pas grand chose à dire sur ce film qui marche clairement sur les traces de Fast and furious. C'est pas mal et ça se regarde, mais sans plus. Il n'y a pas de surprise, pas de fin inattendue, tout est cousu de fil blanc. La surprise du film, c'est le fils du grand Clint Eastwood et la ressemblance est frappant, elle n'est pas seulement physique, elle est aussi dans l'expression et notamment dans le regard. On ne va pas se mentir, il est canon, espérons pour lui qui trouve des rôles plus intéressants. Un film avec papa à la réalisation serait le bien venu pour bouster sa carrière.
Même en ayant des attentes très basses, après avoir vu la note moyenne Allocine, le film a réussi à me décevoir un peu.
Le problème clé est le fait que les personnages principaux (et secondaires) ont au global autant de charisme, personnalité et expressivité qu'une serpillière... C'est notamment le cas du fils Eastwood.
Le jeu des acteurs n'est pas toujours des plus convaincants, avec des scènes où les personnages se regardent dans le blanc des yeux en ne disant rien ou souriant (?!).
Quand à l'action (combats, échanges de tir, course poursuite, cascades), même si de nombreuses parties sont peu crédibles comme un peu attendu (le cas des tous les films du genre), la sauce ne prend pas, sans doute à cause des acteurs peu attachants.
Dommage de voir Scott Eastwood (portrait craché de son père, cela dit en passant) dans ce sous "Fast & furious" à la française. Sa présence réhausse l'intérêt du film mais celui-ci ne vole malheureusement pas bien haut. Bien dommage.
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1,5
Publiée le 7 juillet 2020
Ils n'ont pas grandi ensemble mais ils sont frères! Et surtout, les meilleurs pilotes de la profession! Les frères Foster ont une semaine pour voler des voitures de luxe! Pas de plan...juste être capable de s'adapter à n'importe quelle situation [...] Dans le genre « EuropaCorp » à la Canebière, "Overdrive" du colombien Antonio Negret fait de louables efforts pour labourer quelques banalitès politiquement correctes! Si on aime les Ferraris qui roulent à tombeau ouvert dans un parcours haut perchè de la citè phocèenne, alors ce film d'action est fait pour vous! Les autres trouveront le temps long avec des mèchants, aux traits caricaturaux, qui font plus sourire qu'autre chose ! Les problèmes posès par le couple Scott Eastwood (même regard, même sourire que son paternel) / Ana de Armas sont abordès au passage! Mais l'aficionado s'en fiche royalement! C'est cousu de fil blanc avec de l'action à gogo et de l'humour Carambar! Ça commence sur les chapeaux de roues et ça se finit comme il se doit! Un « Gone in Sixty Seconds » à la française à prendre tel quel! Le pauvre Moussa Maaskri n'a même pas eu la possibilitè de faire ses preuves alors que c'ètait peut-être lui le plus mèchant des mèchants...
"Overdrive" est un film décevant qui s'inspire sans se cacher de la saga "Fast & Furious" sans jamais l'égaler. Il n'est pas surprenant de retrouver des similitudes entre les deux vu que ce film est écrit par Derek Haas et Michael Brandt qui ont notamment fait le scénario de "2 Fast 2 Furious". On retrouve la même petite bande accro aux belles voitures, le style de ces dernières est différent ici, ils ont la même facilité à se mettre dans le pétrin, il y a les mêmes amourettes entre les personnages et surtout, ils ont le même talent pour voler des choses de valeur. J'avais aimé "Seconds Apart" et "Transit" les deux précédents films d'Antonio Negret donc j'attendais un film dans le même esprit que ce dernier à savoir un thriller très bien rythmé et nerveux seulement, on en est loin... Pour un film d'action, c'est quand même très léger à ce niveau-là. À part, la scène du début qui fait d'ailleurs penser à l'une dans F&F, celle sur le Vieux-Port et la course-poursuite finale, il n'y a rien et surtout rien d'impressionnant. Le pire étant quand même l'histoire qui est vraiment sans intérêt alors qu'elle me semblait pas mal sur le papier. Je ne comprends pas pourquoi les deux personnages passent leur temps à faire des choses qui n'ont rien avoir avec leur mission alors qu'ils n'ont qu'une semaine pour la réussir, c'est d'ailleurs incroyable le nombre de scènes pour meubler qu'il peut y avoir... Ce n'est pas mauvais pour autant, c'est juste une série B peu inspirée, un DTV jamais divertissant que j'oublierai rapidement.
Film français tourné en anglais, « Overdrive » cherche visiblement à lorgner du côté des productions d’Europacorp à destination de l’international. Avec un budget confortable mais loin d’un blockbuster américain (25 millions d’euros). Et à la production, Pierre Morel, lui-même tâcheron pour Europacorp. Parmi les autres producteurs, le duo Michael Brandt & Derek Hass, qui sont également attelés au scénario. « 2 Fast 2 Furious » figurant dans leur casier jud… ahem dans leur filmographie de scénaristes. « Overdrive » se veut ainsi comme un film de casse automobile façon « The Italian Job ». Mais c’est un euphémisme de dire qu’il n’a strictement aucun intérêt. A part peut-être des courses-poursuites sur les routes désertes (!) du Sud de la France, ce qui apporte un peu d’exotisme. Je dirai que l’ensemble est miné par deux problèmes majeurs. D’abord, le scénario. Le film n’a beau durer que 1h30, il est terriblement ennuyeux. Quelques cascades invraisemblables, mais surtout des dialogues foireux, de l’humour raté, et des personnages en carton meublent désespérément un long-métrage qui tente de nous faire croire qu’il est malin. En réalité, l’intrigue s’avère laborieuse au possible. Ceci afin de préparer le terrain pour un twist prévisible à 15 bornes, qui ne rend pas pour autant le reste du film plus crédible ou plus cohérent. Le deuxième gros souci, c’est que tout cela est porté par des acteurs affreusement mal dirigés. En tête, Freddie Thorp épouvantable en petit frère combinard (guère étonnant qu’il n’a que peu de rôles à son actif). Scott Eastwood (le fils du père) est exhibé fièrement sur l’affiche, histoire de tenter d’en faire enfin une star. Sauf que non, le bonhomme est totalement aux fraises. Ce n’est donc pas avec « Overdrive » qu’il va réussir à sortir des petits seconds rôles. On retrouve aussi la belle Ana de Armas, dans un personnage anecdotique. Difficile en la voyant jouer comme un pied d’imaginer qu’elle conquerra Hollywood en quelques années juste après ce film. Quant à Simon Abkarian, il surnage dans cette mélasse sans trop d’effort, incarnant un méchant gangster de service. Circulez, y’à rien à voir !
De belles voitures et des jolies filles... Voilà ! Pour le reste, Scott Eastwood ressemble à son père (physiquement du moins) et il y a deux ou trois courses poursuites. Pas suffisant pour cacher l'absence de scénario, une réalisation tout juste digne d'un clip et une musique envahissante et insupportable.
Cracher sur ce genre de productions, c'est un peu comme tirer sur une ambulance. On sait à qui ça s'adresse. A priori, pas à des intellos fréquentant les salles d'art et d'essai. Overdrive est un produit ultra-calibré dont la cible est les djeuns de quinze ans fans de jolies bagnoles dont les posters hantent les murs de leur chambre. Forcément, quand on a passé l'âge, quand les ersatz de Taxi ne nous amusent plus, ça pique un peu. Parce que sans vouloir paraître pédant (ce n'est pas le genre de la maison), c'est quand même vachement limité comme concept. Il y a le fils Eastwood dont la ressemblance avec le père est criante. Dommage que ce dernier ne prenne pas un peu plus le temps de mieux conseiller son fils. Mais Scott a une belle gueule. On ne peut pas lui enlever ça. Et c'est le cas de ses amis voleurs. Son frère est aussi beau gosse que lui. Le méchant est beau gosse (pas Abkarian, l'autre). Quant aux filles, mamma mia. Elles aussi jouissent d'un physique impeccable. Tout comme le cadre à Marseille, les calanques, la couleur de la mer. Les voitures puisque après tout on est dans un film de voitures. Rien à signaler. Il n'y a rien qui tâche. Des courses-poursuites à tombeaux ouverts, des hommes torses nus, des filles en bikini aux jambes interminables, des explosions. C'est du Besson époque Taxi ou Le Transporteur (on y retrouve même les habituels flics idiots, le reste du temps ils sont étrangement absents) sans que le scénario ne soit écrit par Besson. Du cinéma pour ado américain. En ce qui me concerne, à part les jambes de la blonde (une française apparemment) je n'ai rien retenu et je l'aurais probablement oublié dans une demi-heure.
Overdrive est une sorte de sous Fast & Furious mais sans les qualités d'actions et les personnages charismatiques. Il reste quoi alors ? le visage beau gosse du fils de la légende Clint ? Les filles ? les voitures ? Bref pas grand chose avec un scénario limité.
C’est un film américain tourné dans la région Alpes côte d’azur. C’est un film qui se situe entre le film Le transporteur et Fast and Furius. Là, c’est un film plus jeune et avec des acteurs bien plus jeunes. Il y a Scott Eastwood, le fils d’un géant du cinéma américain. Il y a Ana de Armas, la futur James Bond Girl. Pis il y a une parisienne, une belle blonde. Gaia Weiss a grandi à Londres et parle parfaitement le British. Après, il y a un gros budget pour les scènes et les cascades. Les quatre jeunes gens s’attaquent à la pègre de Marseille, sans plus. La french connections contre quatre jeunes gens. C’est sympa. C’est sans risque. Et surtout : c’est sans gêne. Mais, ce n’est qu’un film. Clint Eastwood était aussi sans gêne après tout.