Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
fabrice d.
26 abonnés
1 510 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 30 août 2017
C'est vrai qu'on s'ennuie un peu dans ce film. Je n'ai pas trouvé l'interprétation de Watts convaincante. J'ai en en fait trouver l'ensemble du film un peu mièvre. Peut-être que ça s'est passé comme ça dans la vraie vie, en tout cas ça ne fait pas vraiment rêver si c'est le cas. Il y a cependant de bons moments dans ce film mais ce n'est pas assez pour tout rattraper.
D’un sujet qui exigeait une frontière poreuse entre temps de l’apparition publique et temps de la vie privée au nom d’une reconquête de l’intimité, Oliver Hirschbiegel tire une œuvre surchargée d’effets esthétiques et mélodramatiques parfaitement réalisés, mais au clinquant excessif. Un ralenti sur la princesse faisant de la course à pied, un gros plan sur une casserole en train de bouillir, rien de tout cela ne fait sens, accole de façon maladroite un style de type publicitaire à la réalité sensible. L’ombre médiatique qui plane sur Diana suffisait à incarner la paranoïa d’une femme subissant davantage son destin qu’elle ne le dirige selon son bon désir. Et du désir, que dire sinon qu’il brille par son extrême banalité ? Le film s’inscrit dans la très actuelle vague artistique dont l’objectif est de contrebalancer le destin extraordinaire de grands hommes et de grandes femmes par une plongée dans leur quotidien morose : une princesse normale qui cuisine des pâtes, commande Burger King et regarde le football avec son amant. Réussir cette entreprise d’humanisation demande une capacité à proposer, derrière le fard médiatique et historique, une profondeur émotionnelle. Sur ce point, Diana n’est pas Jackie, et son mélodrame souffre de tous les écueils du genre, n’ayant pas grand-chose à raconter, exception faite d’un enchaînement de scènes tantôt touchantes tantôt blafardes, aux répliques assez mal écrites. Après la banalité du Mal que portait La Chute, remarquable huis clos dans les entrailles de la folie nazie en plein déclin, Hirschbiegel capte la banalité de la vie de princesse avec un éclat moins certain. Pourtant, reconnaissons au film une lucidité quant à son approche mélodramatique : la clausule fonctionne, tout comme la relation entre les deux protagonistes principaux. Le principal problème réside dans la déviation que Diana fait subir à son récit : en se concentrant sur la passion amoureuse au sein d’une société qui l’interdit plutôt que sur cette même société empêchant deux amants de construire un destin commun, il recycle les artifices de la romance et généralise la grandeur qu’un tel sujet offrait. À l’image de ce très beau plan-séquence initial au terme duquel Diana se retourne, comme terrifiée à l’idée que son ombre médiatique la poursuive, mouvement en forme de cassure que la caméra traduit à merveille par un subit travelling arrière ; or il n’en est rien, car on apprendra plus tard que ce n’est pas tant son ombre que l’héroïne guettait mais l’élu de son cœur...
J'y suis allée craintive mais intriguée par le débat suscité au Masque parmi les critiques. Et bien il y a certes de quoi discuter . Discutable pour moi le choix des acteurs qui modifie le rapport aux personnages devenus stéréotypés : Hasnat à l'esthétique valorisé joue imperturbable et glamourisé; Diana parait plus par son physique une "college girl" déçue mais sympathique qu'une aristocrate profondément blessée en recherche de vengeances compensatrices amoureuses et multi media , malgré toute sa sensibilité Naomi Watts rayonne solaire et volontariste, pour moi Diana était plus nocturne et mystérieuse: La beauté de la princesse de GALLES portait les traces observables et attractives de sa quête d' amour . Par contre je ne m'offusque pas du parti pris "feuilletonesque" de cette romance car le film est plutôt conforme a l'idée que l'on se fait de l'imaginaire de la vraie Diana. En conclusion Naomi Watts s'en tire plutôt bien et rend la princesse sympathique excusable de ses cotés manipulateurs . Cela aurait fait un bon télé film.
C'est un film moyen dans l'ensemble. Malgré un casting Intéressant et j'y inclut actrice principale, le film a une mise en scène non adapté et cela rend le film lourd et long à regarder. C'est dommage car il y avait clairement mieux à faire avec une histoire pareille.
Non pas que j’attendais ce film avec impatience mais j'étais curieux de voir ce que Oliver Hirschbiegel, réalisateur allemand de L'expérience et La chute, avait pu faire des dernières années de Diana. Et puis la vie des princesses, je m'en fiche un peu...Fût-elle morte sous le pont de l'Alma. Et puis il y a Naomi Watts. Elle n'a rien à se reprocher. Elle est comme toujours...
Le film n’est pas mauvais en soi mais je dirais que ce n’est pas forcément la période de sa vie qui intéresse le plus. Je pense qu’ils auraient pu faire un film plus global sur sa vie plutôt que de intéresser à sa vie amoureuse et à ses dernières semaines. C’est fort dommage car c’est vraiment bien joué de la part de Naomi Watts et également celle de Naveen Andrews. J’avoue ne pas avoir entendu parlé de cette relation avec le docteur mais bon je pense qu’il aurait vraiment été préférable de montrer tout ce qu’elle a pu faire dans sa vie et la retracer correctement plutôt que de montrer ce genre de souvenirs. C’est quand même un bon film à voir.
J'ai été assez déçu par ce film. Cette actrice fait le nécessaire pour ressembler à la vrai princesse de Galles. La vrai Diana était largement supérieur au personnage décrit dans ce film. J'avoue sincèrement que je me suis ennuyée. Elle avait un rôle hyper important à jouer pour tous ce qui concerne les œuvres humanitaires. Rien ne prouve qu'elle aurait une liaison avec un chirurgien d'origine indienne. Elle fait tout pour le séduire puis pour le rendre jaloux; Bien jouée mais manque de véracité.
Ça aurait pu être un très bon film. Ça aurait pu. Pour parler vulgairement, il y avait matière à faire un beau film, empreint de romantisme et de drames. Il y avait une histoire à exploiter, une part de la vie de cette femme qui était intéressante à montrer. Et si ce film n'est pas bon, ce n'est sûrement pas la faute des comédiens qui sont excellents. Notamment Naveen Andrews qui est absolument épatant. Quand on le voit dans Lost et qu'on le retrouve dans ce film, on n'a pas l'impression de voir le même acteur. Il nous offre dans ce biopic une performance incroyable. Naomi Watts n'est pas en reste même si on ne peut s'empêcher d'en demander plus de sa part. Non, si le film n'est pas bon, c'est en grande partie à cause de la réalisation, du scénario, du manque de rythme. La mise en forme et la mise en scène ne sont pas dignes d'une telle histoire, d'une telle ambition. A plusieurs reprises, le spectateur décroche tellement le fil se déroule lentement, trop lentement. Ce film, partant d'une bonne idée, demeure globalement médiocre !!
Il fallait s’y attendre, le destin incroyable de la princesse de Galles Diana Spencer est dans les salles. Tout comme Steve Jobs, sans recul dans l’histoire, le biopic avait tout pour décevoir avant d’être vu. L’ombre de la princesse Diana planant encore un peu partout, il aurait fallu attendre encore une bonne dizaine d’années pour que les langues se délient ou avoir un point de vue plus global. Mais Oliver Hirschbiegel était pressé. Au final, un film mi-figue mi- raison qui ne devrait pas plaire à tout le monde...
Un film noyé dans l'eau de rose, c'est ma première impression. Une histoire édulcorée pour ne froisser personne, surtout pas la famille royale! Du coup, on apprend pas grand chose sur cette ptite dame alors que c'était ce qui m'intéressait principalement. Il reste une histoire d'amour pas bien passionnante, entre la princesse, qui essaye tant bien que mal de contrôler son image devant les médias et ce chirurgien qui a du mal à accepter sa nouvelle notoriété. C'est un peu léger pour accrocher jusqu'au dénouement. Naomi Watts fait le job mais sans reste un peu trop fade pour relever le niveau de ce film bien léger. Bref, Une déception!
Noyé dans un voile de parfum romantique à en devenir écoeurant et enfermé dans dans des dialogues inintéressants c'est à peu prêt la peinture que je peux faire de ce film. Centré sur deux protagonistes Diana et Hasnat khan avec qui elle aurait eu une liaison secrète,l'histoire d'amour dès les premiers instants nous asphyxie par une fausse subtilité qui n'a de rythme que leurs roucoulades. Malgré la presque omniprésence du personnage de Diana il y a la sensation d'un traitement trop en surface. La plus part des échanges entre les personnages sont trop généralement des banalités qui n'aident pas ou n'aident que trop peu la trame narrative. Naomi Watts n'est pas mauvaise mais sa performance ne relève pas du tout le film. Je pense qu'il y avait meilleur moyen de rendre hommage à la "Queen of hearts"
Quel intérêt d'appeler ce film Diana, quand on aurait pu l'appeler "La vie sexuelle de Diana" ? on a donc une vision très restreinte de la vie de Diana avec ses hommes, ses amants, ses caprices... Belle interprétation de Naomi Watts, qui est forte en imitation, en dehors de cela, la mise en scène, les dialogues ou la musique sont vraiment catastrophiques. On dirait une vision de sa vie par les mêmes paparazzi qui l'ont tué..
Moi qui m'attendais à en apprendre sur la vie de cette princesse, Ben j'ai été plus que déçu. Déjà, seuls les deux dernières années de sa vie sont traitées alors que ce ne sont pas forcément les plus intéressantes... Et au final, ce n'est qu'un film d'amour entre deux êtres "normaux". Bof bof tout ça...